49 ans
région parisienne
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Pour ma part, il y a clairement un lien. A un moment de ma vie, j'ai mangé parce que c'était au moins quelque chose que je pouvais contrôler moi-même. Pour le reste, on me disait ce que je devais faire, comment je devais être. Pour la nourriture aussi, en réalité, mais concernant la bouffe, c'est le premier secteur où j'ai commencé à me révolter en sous-main en mangeant ce que j'avais envie de manger, et non ce que l'on me disait de manger.
Mes rapports avec la nourritures étaient dirigés par deux motivation presque opposées: d'une part, c'était une liberté pour moi, je mangeais comme je le voulais (en cachette) ce qui me faisait envie, d'autre part, la critique perpétuelle sur mon poids me faisait déprimer, et je mangeais aussi pour oublier. A cette époque, c'était très ambivalent pour moi.
Mes rapports avec la nourritures étaient dirigés par deux motivation presque opposées: d'une part, c'était une liberté pour moi, je mangeais comme je le voulais (en cachette) ce qui me faisait envie, d'autre part, la critique perpétuelle sur mon poids me faisait déprimer, et je mangeais aussi pour oublier. A cette époque, c'était très ambivalent pour moi.