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Histoire d'un gars qui raconte sa vie et ...

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A la suite de cette évaluation, l’EMEA a conclu que dans le traitement de la dépression majeure :
les études chez l’enfant et l’adolescent montrent un effet bénéfique du Prozac® ;
le  
Prozac® doit être utilisé en association à un traitement psychothérapeutique chez les patients n’ayant pas répondu à 4 à 6 séances de psychothérapie seule ;
la dose initiale de Prozac® doit être de 10 mg par jour et peut être augmentée jusqu’à 20 mg par jour après une à deux semaines de traitement ;
en cas d’absence d’amélioration clinique après 9 semaines, le traitement par Prozac®devra être reconsidéré ;
des études complémentaires chez l’animal en termes de développement sexuel, de comportement émotionnel et de toxicité testiculaire devront être réalisées ;
Par ailleurs, le laboratoire va mettre en place une surveillance spécifique de la sécurité d’emploi, en particulier du développement sexuel, chez les enfants traités ;
les prescripteurs et les parents doivent surveiller étroitement les enfants et les adolescents traités et rechercher tout comportement suicidaire, particulièrement en début de traitement.

L’Afssaps a diffusé en février 2006 une Mise au point sur le bon usage des antidépresseurs au cours de la dépression chez l’enfant et l’adolescent.
Elle rappelle que le traitement de première intention de la dépression chez l’enfant et l’adolescent est la psychothérapie. Dans les situations où la psychothérapie s’avère insuffisante, un traitement médicamenteux peut être entrepris en association avec elle. Ce traitement doit de plus être accompagné d’une surveillance étroite du patient et de la recherche de tout signe d’apparition d’un comportement suicidaire.
L’arrêt du traitement ne doit pas se faire à l’initiative du patient ou de sa famille sans accompagnement du médecin. Il n'est pas nécessaire d'introduire un arrêt progressif du traitement aucune dépendance médicamenteuse n'étant associée à la prise de cet anti dépresseur; cependant le médecin devra évaluer la dépendance psychologique et agir en conséquence.
60 ans 91 25732
Avec le lien complet c'est encore mieux et puis ça prend moins de place ! ;) http://agmed.sante.gouv.fr/htm/10/filcoprs/060601.htm
C
53 ans 1965
:lol: Dernière solution du combattant : nous faire un joli copier coller sans donner les références.

cornflakegirl en mode jubilatoire :mrgreen:
48 ans 17521
Patty-Cerise a écrit:
Avec le lien complet c'est encore mieux et puis ça prend moins de place ! ;) http://agmed.sante.gouv.fr/htm/10/filcoprs/060601.htm


Xenium !!! :shock: t'es carrement gonflé de copier-coller des trucs sans citer tes sources... à ce compte-là, moi aussi je vais me prétendre médecin, c'est facile et ça coute rien...

ton attitude est lamentable... :bad-words:
C
53 ans 1965
Patty-Cerise a écrit:
Avec le lien complet c'est encore mieux et puis ça prend moins de place ! ;) http://agmed.sante.gouv.fr/htm/10/filcoprs/060601.htm



:shock: :shock: :shock: :shock: :shock:
Il a fait pire que copier coller

Il se fou littéralement de nos gueules!!!!!!! (Bon, je le savais déjà moi)

Voilà ce que XeniuM dit :

Citation:
Ce traitement doit de plus être accompagné d’une surveillance étroite du patient et de la recherche de tout signe d’apparition d’un comportement suicidaire.
L’arrêt du traitement ne doit pas se faire à l’initiative du patient ou de sa famille sans accompagnement du médecin. Il n'est pas nécessaire d'introduire un arrêt progressif du traitement aucune dépendance médicamenteuse n'étant associée à la prise de cet anti dépresseur; cependant le médecin devra évaluer la dépendance psychologique et agir en conséquence.


Et voilà ce que l'article en question dit :

Citation:
Ce traitement doit de plus être accompagné d’une surveillance étroite du patient et de la recherche de tout signe d’apparition d’un comportement suicidaire.
L’arrêt du traitement ne doit pas se faire à l’initiative du patient ou de sa famille sans accompagnement du médecin. Il sera toujours progressif pour prévenir le risque de rechute et sera programmé avec le patient et son entourage.


Je vous laisse juger.... :sifl:

:teddy:
40 ans Suisse 316
(je fais irruption dans ce post)

Moi ce que je vois pour le moment c'est que vous êtes en train de dévier le sujet ... :?

Perso je préférerais savoir que deviens Dark-Heaven ....
433
cornflakegirl a écrit:


Je vous laisse juger.... :sifl:

:teddy:



Ca fait un moment que j'ai jugé le bonhomme :roll: :roll: (modo un jour modo tjrs :lol: :lol: :lol: j'ai des restes de la modération d'un autre site et sans donner de leçon à personne ça fait longtemps que je sais ce que j'aurais fait..)

Mais Valichon a raison recadrons ;)
D
52 ans 8
Je vais pas rentrer dans ce debat, je dirai juste que Nicolas me fait penser a un cuisinier venu ici.
Valichon, je vais mieux, je n'ai en fin de compte pas encore arreté le prozac. J'ai reduis de moi même les doses et j'attends de voir si l'effet va changer. De toute façon j'avais decidé d'attendre fin Aout pour l'aniversaire de ma soeur, seule personne qui m'aime et je ne veux pas gacher ses 40 ans. Pour la suite, il y a le temps de voir. Je crois réaliser toute l'utopie que j'ai construit sur ma vie. J'ai peur d'etre devenu (ou pire d'avoir toujours été) quelqu'un de narcissique et égocentrique, ne vivre a travers les autres juste pour une image de moi me degoute. Et là je repars dans un laius pour parler de moi moi moi et moi. Bref, je commence a comprendre pourquoi je suis seul, et pourquoi je me suis toujours senti seul. Globalement je progresse.
C
53 ans 1965
Ne focalise pas sur des défauts.
D'ailleurs est ce des défauts?

Vu ton état, tu penses pas que l'image que tu as de toi n'es pas influencée par tes souffrances?

C'est un cerle sans fin, plus on focalise sur nos pseudo défauts, plus on culpabilise, plus on perd confiance en soi et plus on focalise sur nos défauts.

J'ai passé des jours et des nuits à ne penser qu'à la mort.
:arrow: D'abord quand tout me semblait fermé dans ce monde.
:arrow: Ensuite par solitude.
:arrow: Et puis avec le plus grand détachement, avec logique et calme.
:arrow: Pendant mes crises d'angoisses.
:arrow: Pour un oui, pour un non.
:arrow: ...

Mais j'ai trop vu la mort de près...
La mort de mes deux grands pere.
Le suicide de deux de mes copines ces trois derniers mois.
Des tentatives de suicides de plusieurs de mes connaissances.
Je l'ai trop vu de près et je me suis dit que de l'avoir voulu c'était stupide.

Ce qui m'a gardé en vie, ce n'est pas l'espoir, mais la curiosité...: vouloir mourir le soir, les heures passent, vouloir voir le jour se lever, entendre une dernière fois le bruit de la mer, sentir une dernière fois l'odeur de l'herbe après la pluie, embrasser une dernière fois un homme, avoir envie de faire des cours de danse, écouter son album préféré,...et pour finir restée en vie...
47 ans Roubaix 705
Tu sais la dépression induit naturellement un comportement de repli sur soi, un peu égocentrique. Il ne faut pas culpabiliser, c'est normal. Et puis je pense qu'une tendance à l'introspection est souvent à l'origine des troubles, mais on a aussi une tendance à l'empathie, alors je ne pense pas que ça fasse de nous des gesn si horribles !
;)
42 ans 3006
Dark-Heaven a écrit:
Je vais pas rentrer dans ce debat, je dirai juste que Nicolas me fait penser a un cuisinier venu ici.
Valichon, je vais mieux, je n'ai en fin de compte pas encore arreté le prozac. J'ai reduis de moi même les doses et j'attends de voir si l'effet va changer. De toute façon j'avais decidé d'attendre fin Aout pour l'aniversaire de ma soeur, seule personne qui m'aime et je ne veux pas gacher ses 40 ans. Pour la suite, il y a le temps de voir. Je crois réaliser toute l'utopie que j'ai construit sur ma vie. J'ai peur d'etre devenu (ou pire d'avoir toujours été) quelqu'un de narcissique et égocentrique, ne vivre a travers les autres juste pour une image de moi me degoute. Et là je repars dans un laius pour parler de moi moi moi et moi. Bref, je commence a comprendre pourquoi je suis seul, et pourquoi je me suis toujours senti seul. Globalement je progresse.


Mais... Tu as le droit de parler de toi, tu sais.. ? Du moment que tu ne rapportes pas toujours tout à toi, que dans une discussion où on parle d'un autre et de ses malheurs, tu n'embrayes pas sur les tiens, si tu fais preuve de la même empathie que les autres ont à ton égard, je ne vois pas où est le problème de parler de soi...

Tu vois, il y a des personnes qui ne pensent jamais à elles et qui en fin de compte en souffrent beaucoup, puisqu'elles se rendent compte que de trop penser aux autres est négatif, puisqu'on s'oublie. Il faut juste trouver un milieu entre penser à soi et penser aux autres.
Si tu ne penses qu'à toi au détriment des autres, c'est trop. Si tu penses à toi, de même que tu penses aux autres, ce n'est pas un problème, loin de là.

Et juste par une de tes phrases, tu me fais réagir. Tu dis : "De toute façon j'avais decidé d'attendre fin Aout pour l'aniversaire de ma soeur, seule personne qui m'aime et je ne veux pas gacher ses 40 ans." si tu n'avais pensé qu'à toi, dans le mauvais sens des choses, tu n'aurais même pas eu cette pensée délicate pour ta soeur. Penser aux gens qu'on aime, c'est penser aux autres. Donc non, tu ne peux pas dire que tu ne penses toujours qu'à toi.

Tu vois, j'arrive à trouver du positif dans tes paroles, ça veut bien dire que non, tu n'es pas l'être pourri jusqu'à la moelle que tu crois être. Courage ;)
44 ans 2883
Au sujet de Xenium: il croit qu'il est le seul medecin présent sur le site??? j'hallucine...
Sans compter que le jour où les médecins auront la science infuse, les poules auront des dents (l'isoméride?, etc).

J'ai deux medecins dans la famille, les deux sont d'avis d'arreter le prozac progressivement à cause de potentiels effets secondaires.

Deux médecins contre un, Xenium se couche :P

Dark-Heaven :
A la place de te suicider, tu ne penses pas que tu pourrais être utile autre part? quitte à te sacrifier, par exemple, je pense que tu pourrais aider dans des associations à but humanitaire etc: toi, tu te trouves narcissique, egocentrique, alors pour quelqu'un qui passe sa vie à s'occupper de soi, ce serait une belle revanche, non? Dommage de gacher ton corps, ta force, ta présence alors que rien que ça, ça peut aider des gens? Puis ta vie n'est pas finie: on peut toujours recommencer à zero: on efface pas le passé, mais on peut effectivement un jour prendre son courage à deux mains et passer un coup de fil qui inverse la tendance. Il y a toujours besoin de gens pour aider les autres, de gens qui justement n'ont rien à perdre et que ça ne gène pas de passer du temps à aider: ça ne t'interesserait pas quelque chose de ce genre?
44 ans 2883
Bon, mon post était peut être un peut utopique...
en tout cas, je suis d'accord avec Aspha dans ce qu'elle dit sur ce qui ressort de positif dans ton post: tu penses aux autres aussi à ta manière.
49 ans Var 202
oui tu penses aux autres à ta soeur mais aussi à nous, vois-tu les messages qui sont là pour te dire que non tu n'es pas seul et que oui on apprécie que tu nous parles de toi!
D
52 ans 8
J'ai par le passé était bénévole. (même pour le secour catholique, moi qui suis athé Oo) Et j'ai déjà pensé a partir dans des pays en cours de developpement pour y faire du bénévola et me fuir. Mais comme me l'a dit une amie. Je vais venir avec moi. Je sais que je ne suis pas completement un mauvais gars (Egocentrisme up)
Là je suis en train de devenir (me sentir) pitoyable et je sais ce qu'engeandre ce type de comportement. J'ai l'impression de me faire une pub (Hey tu veux bien jouer avec moi ?!) Je crois que je vais arreter de poster pour aujourd'hui...
B I U


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