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prendre contact avec une boulimique qui pourra me comprendre

C
40 ans paris 54
cornflakegirl a écrit:

Mais j'ai su par la suite que sans urgence on pouvait attendre des mois... :roll:


En effet, c'est mon médecin généraliste qui m'avait parlé de ce service  
pour TCA. Il fallait une presciption du médecin pour y rentrer, il y avait comme je t'ai dit 6 mois d'attente pour avoir simplement avoir un RDV. Et ensuite ils voient si ton cas nécessite ce genre d'internement.

mais quand on fait crises sur crises et qu'on veut une aide rapide pour ne pas dépérir, on ne peut pas compter sur ce genre de centre.
Je pense que tu as eu de la chance, c'est bein. :D
Je pense que je n'oserai pas me pointer aux urgences de l'hôpital henri Mondor et dire que je mon corps tombe en miette... Quoi que si c'est ça qui marche, c'est une solution que je n'exclue définitivement! :lol:

A bientôt
C
40 ans paris 54
thetoad a écrit:
je ne comprend pas qu'avec la demande qu'il y a il n'y ait pas plus de budget pour ce domaine médical...


Tout à fait d'acord avec toi.
Il y a beaucoup plus que cas qu'on ne peut le croire. Entre les filles isolées qui n'osent pas en parler et celles qui ne savent pas qu'elles ont un prob. Quand on demande une telle aide, c'est que l'on ne peut pas s'en sortir seule. Je sais que pour ma part, c'est souvent dans une période ou j'enchène les crises et que à force de prendre des laxatifs, je sens que mon corps me lâche. c'est donc pour ça qu'une attente de 6 mois est impossible, et que j'ai abandonnée. :cry:

En plus, il y a une telle dictature de la minceur dans les médias ou autres, que je crois que des filles qui ne sont pas en surpoids peuvent devenir ano pour ressembler aux mannequins. :(

Tu devrais lire le mess que j'ai laissé au sujet "comment vomir?", la pauvre je l'ai incendié :twisted: : elle se permet de juger les boubou et elle nous demande de l'aider pour qu'on lui apprenne à vomir!!! c'est dingue :!:

Bonne soirée
C
40 ans paris 54
Bonsoir les filles,

4 jours sans crises! C'est grâce à l'aide que j'ai trouvé sur ce forum et aussi à d'autres choses perso.

mais on est toujours fragile et jamais à l'abri d'une nouvelle crise. :roll:

je me suis un peu embrouillée avec mon copain (rien de grave) qui se trouve loin de moi actuellement pour raison de santé et je suis seule chez moi. C'était au téléphone. On devait se rappeller après le match de foot mais il était faché. Alors je lui ai demandé de ne me rappeller que si sa colère était passée (car j'avais suffisament de peine comme ça!); il m'a tel avant le match pour m'accabler encore plus!
Ses mots ont été assez durs et m'ont fait pleurer à chaudes larmes, je suis très sensibles. :cry:
Je tourne en rond chez moi pour ne pas me gaver pour soulager ma peine. Je m'enferme dans la salle de bain et j'essaye d'y rester jusquà m'endormir mais impossible. Je viens sur le forum pour trouver du réconfort...
Le prob c'est que j'ai mal dans mon coeur, et que faire une crise permet de se réconforter et de se faire du mal en même temps. c'est assez complexe :!:
Je ne veux pas gacher les efforts que j'ai fait jusqu'à présent, car 4 jours sans crises c'est beaucoup.
Je vais me mettre au lit pour me calmer et tenter de ne plus y penser.
Il faut que je dorme.

PS: j'ai déjà pris mon anxiolytique!

Comment réagissez vous pour lutter contre cette addiction et éviter de se faire du mal à la moindre peine, angoisse, contrariété...?

Bonne nuit à toutes
42 ans 3006
Quand je sens une crise monter, je la laisse venir.. Pourquoi ? Parceque je n'y peux rien. Mais au lieu de culpabiliser monstrueusement, pendant que j'avale, je réfléchis à ce qui se passe, j'essaye d'apprécier au moins ce que je mange... Plus tu retiens la crise, plus elle est violente. Alors, ne la retiens pas, prend-la doucement, analyse ce qui t'a fait avoir cette crise, réfléchis la, et surtout !!! SURTOUT !! Ne culpabilise pas !!!! C'est un mode de destressement, ce genre de crise. Il y en a qui fument, il y en a qui boivent, et ben y'en a qui mangent. Point. Prend juste le temps de prendre le temps, doucement. Ca atténuera la force de ta crise, ça te fera réfléchir, et t'appaisera. Surtout, ne cherche pas à la bloquer !
C
40 ans paris 54
Aspha a écrit:
Quand je sens une crise monter, je la laisse venir.. Pourquoi ? Parceque je n'y peux rien. Mais au lieu de culpabiliser monstrueusement, pendant que j'avale, je réfléchis à ce qui se passe, j'essaye d'apprécier au moins ce que je mange... Plus tu retiens la crise, plus elle est violente. Alors, ne la retiens pas, prend-la doucement, analyse ce qui t'a fait avoir cette crise, réfléchis la, et surtout !!! SURTOUT !! Ne culpabilise pas !!!! C'est un mode de destressement, ce genre de crise. Il y en a qui fument, il y en a qui boivent, et ben y'en a qui mangent. Point. Prend juste le temps de prendre le temps, doucement. Ca atténuera la force de ta crise, ça te fera réfléchir, et t'appaisera. Surtout, ne cherche pas à la bloquer !


Bonsoir,

Je sais ce qui me met dans cet état, je l'ai écrit au dessus.
je résiste car je ne veux plus être comme ça, et mon corps le supporte de moins en moins; ça va faire 6 ans que je suis comme ça avec des phases de pointe et j'ai peur de tomber malade (ulcères, cancers du colons...). Je sais que résister me fait du mal à l'esprit, je suis comme une droguée qui n'a pas sa cam :!: Et que le jour ou je ne pourrais pas me contrôler ça sera pire. j'en suis consciente.

Quand je fais mes crises:
-je ne peux pas apprécier ce que je mange car , je ne mâche même pas ce que je mange, je mange sans compter jusqu'à ce que ça ne soit physiquement plus possible. Je suis dégoutée par ce que je mange mais je continue quand même encore et encore. Je n'apprécie même pas mes gâteaux préférés.

Ces derniers jours j'essaye de ne rien m'interdire. je suis moins frustrée car je sais que demain matin au petit dej je vais manger ce que j'aime.
j'essaye cette technique qui m'a été conseillée par une internaute.

Merci beaucoup pour tes conseils, j'ai déjà tenté de faire mes crises et de me lobotomiser le cerveau en me disant "ne culpabilise pas", mais le prob, c'est que c'est difficile. Je ne supporte pas l'idée de grossir, je me trouve assez ronde comme ça!

bizzz merci quand même, pour moi ça ne marche pas, mais peut être que ça aidera une autre personne
C
40 ans paris 54
Bonjour,

Hier soir je n'ai pas fait ma crise, j'ai lutté au début, et après avoir quitté le forum, l'anxiolytique commencait à faire effet, j'étais stone!
J'étais fatiguée de ma journée car j'avais un peu trop forcé sur le sport.
Je me suis allongée, détendue et endormie. Par contre, j'ai très mal dormi et fait des cauchemars.
Parler avec vous m'a fait du bien. Merci les filles!

Bonne journée
33 ans 759
Bonjour chikungunya !

Après avoir lu tes premiers messages, j'étais vraiment inquiéte pour toi !Je suis contente que tu n'ai pas fait ta crise, car ce n'est pas toujours facile de résister à ses "pulsions".

Courage ;-)
C
40 ans paris 54
bonjour Séraphie,

Au début, je racontais comment je vivais ma vie de boubou; une manière de me faire connaitre de vous.
C'est vrai que je suis vraiment décidée à m'en sortir, même si je sais que ça va me prendre du temps et qu'on est jamais à l'abri d'une crise incontrolable.
Ce forum est génial car il me permet de parler avec des pers comme moi.
Chaque jour est une victoire sur moi même. ca me rend fière de moi.

Tu auras de mes nouvelles régulièrement sur mon poste.

merci de t'inquiéter pour moi, tu es mimi.

BiZZZZZZZZZZZZ
C
40 ans paris 54
bonjour à toutes,

12 jours sans crises. 8)
j'ai eu beaucoup de mal a lutter contre certaines crises, c'est psychologiquement difficile de ne pas céder alors qu'elles nous obsèdent.
Je pense etre sur la bonne voix et pouvoir m'en sortir. Mais je hurlerai ma victoire quand ça fera 6 mois; pour le moment je me sent encore vulnérable de ce côté là. :roll:

A bientôt
C
40 ans paris 54
MyPearl5 a écrit:

Est-ce que tu pourrais dès maintenant là toute de suite dès que tu lis ce message te dire que tu t'autorises tous les aliments (ceux qui te font "grossir" comme ceux qui te font plaisir). Tu essayes ca pendant 1 semaine et on en reparle.
Qu'est-ce que tu risques ? Apparemment le fait de t'interdire ne t'a pas trop réussi jusqu'ici ;)
Je ne suis pas en train de vouloir te donner des leçons, et je m'excuse d'avance au cas où tu le percevrais ainsi. ;)



12 jours sans crises.
je ne fais plus de régime, contrairement à avant ou j'étais en pernanence au régime en dehors des périodes de crise.
Je mange normalement, ce que j'aime, je m'autorise même des désserts.
Mais je t'avoue qu'hier j'ai culpabilisé énormément d'avoir mangé celui du soir (fonfant au chocolat). Mais sans gravité, je me suis retenue de ne pas criser (très difficilement quand même).
Je n'ai pas perdu 1 gramme (enfin je crois car je ne me pèse pas), mais je ne rejette pas ce ke je mange, donc je préserve ma santé, c'est déjà important! :lol:
Une fois que j'aurais habitué mon corps à manger ainsi, et que je serais plus stable psychologiquement, je vais diminuer les portions tout en me faisant plaisir (car je ne veux plus de frustration alimentaire). Je mangerais ce qui me fait envie mais en plus petite quantité, et comme il n'y a plus d'aliments interdits, je ne dévorerai plus la bouffe comme s'ils allaient arrêter la production ou comme si c'était la dernière fois que j'en mangeais de ma vie.
j'espère que je réussirais!!! 8)
Mon mec et mes amies sont fiers des progrès que je fais! ça m'encourage encore plus.

Merci pour tes conseils :D
Au plaisir de te lire
42 ans 3006
Courage ;) c'est la voie de l'appaisement ;)

Pas perdu un gramme, mais retrouvé le plaisir et la sensation de bien-être ;)
C
40 ans paris 54
Aspha a écrit:
Courage ;) c'est la voie de l'appaisement ;)

Pas perdu un gramme, mais retrouvé le plaisir et la sensation de bien-être ;)


merci pour ton soutien.
Je ne me pèse pas en fait, mais je n'ai pas l'impression d'avoir maigri.
Je ne me pèse pas car si je vois que je n'ai pas perdu du poids je vais être frustrée et... tu sais qe que ça peut provoquer.

C'est clair que la sensation de bien être est là. Comme je ne fais pas de crise et que je ne me vide plus, je n'ai plus ces brulures d'estomac ou ces diarrhées qui n'en finissent plus et qui vous irrite le...

Pour l'instant , c'est le principal, pourvu que ca dure!: je suis déterminée :D .
J'espère que la perte de poids viendra d'elle même.
Le 3 septembre je pars à la plage 8) , mais l'épreuve "maillot de bain" c'est autre chose!!! Celui que j'ai acheté est magnifique, mais vais-je oser le mettre :oops: ? j'espère....

Au plaisir de te lire
M
35 ans 3
Bonjour à toutes!
C'est le premier message que j'envoies sur ce forum et j'avoues que mon regard a tout de suite été porté sur ce topic. Je me reconnais beaucoup dans vos temoignages

Cela fait depuis l'année derniere que j'alterne les periodes de boulimie et d'anorexie et je ne sais pas comment en finir. Je me sens tres seule dans mon probleme.

Pendant trois semaines/ un mois, je ne vais rien manger et surveiller mon alimentation d'une maniere tres stricte et je perds 10 kilos voire un peu plus.

Puis, je fini par craquer et mes crises de boulimies reviennent au galop. Parfois je me fais vomir, parfois je n'en ai meme plus le courage. Je mange n'importe quoi et surtout en quantité impressionante. Alors que pour une personne "normale" un paquet de gateaux est enorme, pour moi c'est rien et je l'avale en 1 minute. J'ai l'impression que je ne m'en rend meme pas compte, que je ne controle pas mes actes...
J'etais en terminale S donc j'avais en plus le bac il y a un peu moins de deux semaines donc avec le stress mes crises se sont enormement accentuées. Difficile de concilier les crises, les vomissements et les revisions... et surtout au mois de mai et début juin ça m'est arrivé plusieurs fois de ne pas aller en cours toute une apres midi pour acheter à manger et rentrer chez moi faire une crise. Et comme ça me fatigue ( je ne sais pas si chez vous aussi, vous vous sentez aussi crevée apres avoir vomi...?), je dormais donc j'ai eu bcp de mal à bosser pour mon bac. J'aurai les resultats lundi, donc on verra. Mais ce qui est dommage c'est que je suis une tres bonne eleve à la base et que cette maladie m'a fait un peu chuter mon niveau. Ce qui m'enerve c'est que je me suis fait un peu engueuler par mon pere à cause de ça. Et je trouve ça injuste parce que meme si mes notes ont un peu baissées, je reste à la moyenne et je fait tout mon possible pour essayer de rattraper les cours que j'ai seché et de travailler tard le soir apres mes crises ou le samedi apres midi voire soir. Du coup, je me suis coupée de pas mal d'amis, je ne sors plus et je ne fais plus de shopping parce que je me trouve moche dans tout. J'ai l'impression de ne pas avoir la vie qu'une fille de mon age devrait avoir.

Je n'ose pas aller voir un psy tout d'abord parce que c'est un peu symbolique (je n'arrive pas à admettre le fait que j'ai besoin d'en voir un) et puis ça voudrait dire qu'il faut que j'en parle à mes parents et je ne peux pas car j'ai trop honte. J'ai l'impression d'etre un peu bloquée...

Est ce quelqu'un a déjà essayé les reunions des outremangeurs anonymes? J'ai vu qu'il y avait ces reunions et je voudrais si c'était efficace et comment ça se deroulait

Désolé pour mon messsage un peu long mais j'avais envie de parler (je crois que ça libere un peu). En tout cas merci de m'avoir lu
biz
M
34 ans Ferney 2
Bonjour à toutes (/tous)

J'ai été anorexique pendant 2 ans, de mes 13 à mes 15 ans, suite à un départ précipité en Afrique, à des seins et des hanches qui prenaient trop de place, à une solitude qui pesait tant qu'il fallait que je m'enlève du poids. J'ai repris du poids petit à petit et maintenant, je suis boulimique depuis deux ans (j'ai 17 ans), cela s'est accentué depuis que l'on a du piquer mon chien . C'est à dire que je mange, je me fais vomir. J'arrête de manger, je craque, les crises me déchirent, vomir m'écoeure, aussi pléonastique que cela puisse être.

Ô Joie! ça n'en finira donc jamais? Anorexie ou boulimie, on reste en Enfer. L'anorexique méprise la boulimique, la boulimique envie l'anorexique. Mais dans les deux cas, on reste folle, obsédée, possédée, on reste dans un mal être indescriptible.

Je cherche des mots, les mots qui pourraient me guérir...
Quelqu'un pourrait me donner ces mots?

Pour la jeune fille qui veut "prendre contact avec une boulimique qui pourra la comprendre", je lui demande juste de se méfier, parfois rester dans un cercle de gens qui nous "comprennent" peut être très malsain. Une fille boulimique est venue vers moi ( on a un flair très poussé pour retrouver celles "comme nous" ) et m'a plusentrainée vers le bas qu'élevée. Elle me donnait des trucs pour mieux se faire vomir, elle m'en parlait tout le temps et m'obsédait encore plus. Peut etre est ce parce que je n'ai pas eu de chance, en tout cas, prudence!

Je vois un médecin, un psychologue, je progresse et je chute. Je sais que je ne serais pas stable tant que je n'aurais pas ces mots, cet amour...

C'est pour cela que j'écris; je recherche.
C
53 ans 1965
marissa

marissa a écrit:
Pendant trois semaines/ un mois, je ne vais rien manger et surveiller mon alimentation d'une maniere tres stricte et je perds 10 kilos voire un peu plus.
Puis, je fini par craquer et mes crises de boulimies reviennent au galop. Parfois je me fais vomir, parfois je n'en ai meme plus le courage.


On pense souvent que le problème vient du fait que l'on "craque" et on accuse nos crises de boulimie, or le problème vient du fait que tu ais voulu avoir contrôle sur ton corps en te sous alimentant. La réaction naturelle, c'est le moment où tu "craques", ou plutôt le moment où ton corps n'en peut plus d'être sous alimenté. Il n'arrête pas de te faire des alertes (faim, migraine, étourdissement) que tu n'écoutes pas et à la fin c'est normale qu'il veuille prendre ses droits, il te fait prendre conscience que tu ne l'as pas respecté comme il devrait l'être.

marissa a écrit:
Je n'ose pas aller voir un psy tout d'abord parce que c'est un peu symbolique (je n'arrive pas à admettre le fait que j'ai besoin d'en voir un) et puis ça voudrait dire qu'il faut que j'en parle à mes parents et je ne peux pas car j'ai trop honte. J'ai l'impression d'etre un peu bloquée...


J'ai tenu des années dans cette position...des années gachées, foutues, que je ne pourrai jamais ratraper. Rien que le fait de dire "j'ai besoin d'aide, j'ai besoin que quelqu'un m'aide, s'occupe de moi, m'écoute" est un pas de géant parce que souvent on reste dans le déni et dans l'orgueil, ce qui est bien normal. Mais cette position n'aide pas à avancer, surtout si tu sens que tu es bloquée. Pour le dira aus parents, c'est plus dur, il faut trouver les bons mots, il faut se dévoiler en risquant de ne pas être prise au sérieux ou de ne pas être écoutée ou d'être jugée, mais l'important n'est pas tes parents, m ais bien toi...le but étant de te protéger de toi.



MistralPerdant

MistralPerdant a écrit:
Je cherche des mots, les mots qui pourraient me guérir...
Quelqu'un pourrait me donner ces mots?

Si ces mots existent, ils sont perdu dans une bouteille dans un océan sombre... J'ai écrit des nuits entières pour exorciser le mal, pour comprendre...passant mes journée à trouver des solutions magiques tout en succombant à mon mal et en désespérant.

MistralPerdant a écrit:

Je vois un médecin, un psychologue, je progresse et je chute. Je sais que je ne serais pas stable tant que je n'aurais pas ces mots, cet amour...

C'est pour cela que j'écris; je recherche.

C'est admiratif...tu as pris le taureau par les cornes...parfois faut y aller à taton, avancer, tomber puis se relever, tout ça pour rechuter, etc, jusqu'au moment où tu n'auras plus besoin de cette maladie pour exprimer ton mal être et tu seras délivrée. Même si ce ne sont que des mots, je peux t'assurer qu'on peut en sortir, mais je sais aussi que quand on est dedans on ne voit pas la porte de sortie...pourtant elle existe bien et le chemin pour y accéder est parfois plus simple qu'on se le représente.



:kiss:
B I U