41 ans
Rennes
293
Tout dépend de tout en ce domaine. Certaines personnes ont besoin de pardonner (en eux-même) sans nécessairement le faire savoir à la personne qui a offensée. C'est parfois l'inverse aussi. Enfin d'autres personnes n'en ont pas besoin ou ne le pourrons jamais. Il faut parvenir à ce qu'elles passent néanmoins à autre chose ou qu'elles arrivent à avancer avec ce que la vie leur a réservée (et là il existe des thérapies bien sûr...enfin on fait comme on peut...).
Dans tous les cas pardonner ne sert pas du tout à se sentir supérieur, le pardon consiste justement à accepter en toute humilité les faiblesses de l'autre en tant qu'être humain et le faire savoir selon notre volonté. On accueille l'autre en fait. Il n'y a rien de plus humble comme de plus puissant. C'est le chemin de rémission ultime et le plus sain pouvant résorber les souffrances des deux côtés parfois. Je dis des 2 côtés si le pardon est accepté.
Cela dit, je n'ai jamais vu une technique permettant de créer réellement le pardon. Ce serait une découverte folle...
Il est vrai qu'il est néanmoins intéressant de dissocier le cheminement mental de l'acte. Car comme je le disais, l'un n'entraîne pas nécessairement l'autre. Des fois pour des raisons techniques ( la personne qui a offensée n'est plus de ce monde) ou par choix personnel. Mais je trouve personnellement qu'il manque un accomplissement si on n'est pas empêché de le faire.
Ok, je viens de lire Anastasia. Là c'est différent, c'est soit une personne qui se joue de toi, un peu comme dans la perversion narcissique ou tout du moins un jeu de pouvoir. On peut aussi penser au "vampire psychique" de Stéphane Clerget qui n'est pas vu comme un cas vraiment pathologique mais plus un comportement social (enfin, ce n'est pas très loin quand même). Où bien il est possible que n'obtenant justement pas ton pardon, la personne soit frustrée et recommence. C'est toi qui sait... Toujours en est-il que cette relation semble toxique et demande une issue.
Il faut bien se dire qu'on ne peut pas trouver la force de tout pardonner. Je crois que cela voudrais dire que nous serions des déesses ou des dieux comprenant tous les tréfonds de la nature humaine. C'est important de se le dire pour soi quand on ne trouve pas d'issue mais de le dire aussi à la personne qui nous offense. La limite doit se poser. Il faut complètement accepter cette faiblesse (car c'est bien ça au départ) qui deviendra une force pour avancer soi et poser la limite à l'autre.
Dans tous les cas pardonner ne sert pas du tout à se sentir supérieur, le pardon consiste justement à accepter en toute humilité les faiblesses de l'autre en tant qu'être humain et le faire savoir selon notre volonté. On accueille l'autre en fait. Il n'y a rien de plus humble comme de plus puissant. C'est le chemin de rémission ultime et le plus sain pouvant résorber les souffrances des deux côtés parfois. Je dis des 2 côtés si le pardon est accepté.
Cela dit, je n'ai jamais vu une technique permettant de créer réellement le pardon. Ce serait une découverte folle...
Il est vrai qu'il est néanmoins intéressant de dissocier le cheminement mental de l'acte. Car comme je le disais, l'un n'entraîne pas nécessairement l'autre. Des fois pour des raisons techniques ( la personne qui a offensée n'est plus de ce monde) ou par choix personnel. Mais je trouve personnellement qu'il manque un accomplissement si on n'est pas empêché de le faire.
Ok, je viens de lire Anastasia. Là c'est différent, c'est soit une personne qui se joue de toi, un peu comme dans la perversion narcissique ou tout du moins un jeu de pouvoir. On peut aussi penser au "vampire psychique" de Stéphane Clerget qui n'est pas vu comme un cas vraiment pathologique mais plus un comportement social (enfin, ce n'est pas très loin quand même). Où bien il est possible que n'obtenant justement pas ton pardon, la personne soit frustrée et recommence. C'est toi qui sait... Toujours en est-il que cette relation semble toxique et demande une issue.
Il faut bien se dire qu'on ne peut pas trouver la force de tout pardonner. Je crois que cela voudrais dire que nous serions des déesses ou des dieux comprenant tous les tréfonds de la nature humaine. C'est important de se le dire pour soi quand on ne trouve pas d'issue mais de le dire aussi à la personne qui nous offense. La limite doit se poser. Il faut complètement accepter cette faiblesse (car c'est bien ça au départ) qui deviendra une force pour avancer soi et poser la limite à l'autre.