P
Voici les nouvelles..........
J'ai donc vu mon amie rapidement hier. Elle s'en est voulue d'avoir été si peu discrète (surtout quand je lui ai appris que nous étions "en froid"). Bref, elle ne lui a rien révélé de plus que ce qu'elle m'avait dit lors de mon "interrogatoire". Et comme elle ne m'avait pas harcelé de questions sitôt les invités partis mais après que nous ayons fait l'amour, il m'a semblé évident que c'est moi qui l'avais fait fuir, après, d'une manière ou d'une autre, rapport à ce que je lui avais dit mais je n'en étais pas sûr. Et ça il fallait que je le découvre.
Sachant que cette semaine elle est d'après-midi, je suis donc allé la voir hier soir à l'heure où j'étais sûr qu'elle soit rentrée. Je suis monté et j'ai frappé directement à sa porte. Avant d'y aller j'avais pensé à un SMS mais j'ai préféré faire du direct, la mettre devant le fait accompli.
Elle m'a ouvert et fut très surprise de me voir, mais j'ai vu tout de suite qu'elle était heureuse. J'ai fait "diversion" en lui disant que son break était terminé et que je venais voir ce qu'elle avait décidé. Ça l'a fait rire, elle m'a pris par la main pour me faire entrer et on s'est embrassé très lascivement. Le plus dur était fait.
Une fois ces premières (fortes) émotions passées, je lui ai donc demandé ce que j'avais bien pu dire de si grave qui l'avait fait fuir. Alors avec ce que lui avait confié mon amie et ce que j'avais ajouté et précisé, elle avait eu peur que je sois capable de la larguer pour un oui ou pour un non, tout simplement. Et donc, comme elle commençait à être bien accrochée, elle avait eu peur de souffrir et préféré prendre le large. Voilà.
Alors on a discuté longuement et ça nous a été très profitable. J'ai tout fait pour la rassurer, la mettre pleinement en confiance en lui expliquant clairement (et lui assurant) que je ne largue pas une femme comme ça sans raison, par caprice, à cause d'une peccadille. Ça clarifiait aussi la question de "l'emprise sentimentale". Aucune femme ne me tiendra jamais sous sa coupe sous prétexte de sentiments (ça elle l'avait d'ailleurs deviné presque depuis le début), mais ça ne veut pas dire que de mon côté je vais en jouer à chaque fois que quelque chose n'ira pas. Et on est naturellement revenu sur cette ex et j'ai pu lui détailler cette fois-ci posément ce qui s'était passé exactement. Et là elle a admis que je ne l'avais pas quittée pour un oui ou pour un non, qu'une rupture à cause d'une tromperie était quand même justifiée. Il restait malgré tout un point litigieux : la rapidité à laquelle je m'étais remis de cette rupture. Mais là, c'était un cas bien spécifique où ayant été trompé et humilié, mon amour-propre (très chatouilleux, je ne le nie pas) avait pris le dessus sur la douleur et m'avait grassement aidé à passer cette épreuve. Si une femme que j'aimais me quittait sans raison, l'amour-propre ne faisant là pas partie de l'équation, je ce je ressentirais serait forcément très différent. Mais comme je n'ai jamais vécu ça..........
Enfin voilà tout ce que je peux dire. On s'est promis qu'à partir de maintenant, à chaque fois qu'il y aurait un truc pas très clair, un doute, un souci ou une question, on s'en parlerait sans attendre et sans rien se cacher. Elle n'est donc pas mon ex mais mon in. Et naturellement, après cette mise à plat, je ne suis pas rentré chez moi..........
J'ai donc vu mon amie rapidement hier. Elle s'en est voulue d'avoir été si peu discrète (surtout quand je lui ai appris que nous étions "en froid"). Bref, elle ne lui a rien révélé de plus que ce qu'elle m'avait dit lors de mon "interrogatoire". Et comme elle ne m'avait pas harcelé de questions sitôt les invités partis mais après que nous ayons fait l'amour, il m'a semblé évident que c'est moi qui l'avais fait fuir, après, d'une manière ou d'une autre, rapport à ce que je lui avais dit mais je n'en étais pas sûr. Et ça il fallait que je le découvre.
Sachant que cette semaine elle est d'après-midi, je suis donc allé la voir hier soir à l'heure où j'étais sûr qu'elle soit rentrée. Je suis monté et j'ai frappé directement à sa porte. Avant d'y aller j'avais pensé à un SMS mais j'ai préféré faire du direct, la mettre devant le fait accompli.
Elle m'a ouvert et fut très surprise de me voir, mais j'ai vu tout de suite qu'elle était heureuse. J'ai fait "diversion" en lui disant que son break était terminé et que je venais voir ce qu'elle avait décidé. Ça l'a fait rire, elle m'a pris par la main pour me faire entrer et on s'est embrassé très lascivement. Le plus dur était fait.
Une fois ces premières (fortes) émotions passées, je lui ai donc demandé ce que j'avais bien pu dire de si grave qui l'avait fait fuir. Alors avec ce que lui avait confié mon amie et ce que j'avais ajouté et précisé, elle avait eu peur que je sois capable de la larguer pour un oui ou pour un non, tout simplement. Et donc, comme elle commençait à être bien accrochée, elle avait eu peur de souffrir et préféré prendre le large. Voilà.
Alors on a discuté longuement et ça nous a été très profitable. J'ai tout fait pour la rassurer, la mettre pleinement en confiance en lui expliquant clairement (et lui assurant) que je ne largue pas une femme comme ça sans raison, par caprice, à cause d'une peccadille. Ça clarifiait aussi la question de "l'emprise sentimentale". Aucune femme ne me tiendra jamais sous sa coupe sous prétexte de sentiments (ça elle l'avait d'ailleurs deviné presque depuis le début), mais ça ne veut pas dire que de mon côté je vais en jouer à chaque fois que quelque chose n'ira pas. Et on est naturellement revenu sur cette ex et j'ai pu lui détailler cette fois-ci posément ce qui s'était passé exactement. Et là elle a admis que je ne l'avais pas quittée pour un oui ou pour un non, qu'une rupture à cause d'une tromperie était quand même justifiée. Il restait malgré tout un point litigieux : la rapidité à laquelle je m'étais remis de cette rupture. Mais là, c'était un cas bien spécifique où ayant été trompé et humilié, mon amour-propre (très chatouilleux, je ne le nie pas) avait pris le dessus sur la douleur et m'avait grassement aidé à passer cette épreuve. Si une femme que j'aimais me quittait sans raison, l'amour-propre ne faisant là pas partie de l'équation, je ce je ressentirais serait forcément très différent. Mais comme je n'ai jamais vécu ça..........
Enfin voilà tout ce que je peux dire. On s'est promis qu'à partir de maintenant, à chaque fois qu'il y aurait un truc pas très clair, un doute, un souci ou une question, on s'en parlerait sans attendre et sans rien se cacher. Elle n'est donc pas mon ex mais mon in. Et naturellement, après cette mise à plat, je ne suis pas rentré chez moi..........