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Méchancetés d'enfants subies quand on était petit et gros

37 ans là bas, au loin 1705
Pouet a écrit:

C'est marrant, mais je constate qu'on a toutes été moquées entre autres pour notre précocité intellectuelles : les vlriennes ont-elles un plus gros QI ?  
:D



fort possible ;) remarque jusqu'à maintenant, j'ai un an d'avance sur mes camarades, je passe pour le bébé de la classe quoi! :lol:
37 ans là bas, au loin 1705
Amnesis a écrit:

et que bientôt maman je prie pour que mes enfants ne vivent jamais ça, qu'ils ne soient pas gros pas grands pas frisés...
et puis quoi encore?!!!
je vais pas non plus souhaiter qu'ils n'aillent jamais au collège non plus...


ça me fait réfléchir, qu'est ce que les parents pouvai faire de plus?? :roll: en tout cas je sais que pour certains d'entre nous ils auraient pu nous aider mais sinon ... :shock:
44 ans là 5969
en ce qui concerne mes parents, ils ne pouvaient rien faire d'autre que ce qu'ils ont fait c'est a dire me soutenir m'encourager (même quand ça m'énnervait) quand je les suppliais de me faire maigrir ils ont tout fait pour m'aider (parceque dans ma tête je pouvais pas maigrir sans eux)
ils ont souffert autant que moi sinon plus (je m'en rends compte aujourd'hui) de ce harcèlement scolaire, ils ont été voir les profs, la cpe... ma mère a même été régler ses comptes avec l'infirmière...
je sais que ce qui les a fait souffrir c'était de voir ma détresse sans pouvoir me protéger hors des murs de la maison...
combien de fois mon frère s'est bagarré dans la cours de récré à mes cotés ou bien seul pour me défendre...
dans les autres témoignages, souvent les parents sont aussi une source de souffrance...
mais parfois le fait d'être en souffrance empèche de voir que ce que font ou disent nos proches n'a pas pour but de nous blesser certains ont du mal a montrer leur soutien, a dire des choses gentilles, surtout les parents, surtout les pères...
je SAIS depuis très peu de temps que mon père m'aime avant je le supposais... aujourd'hui encore il me blesse genre: tu sais la grossesse ça dure 9 mois alors si tu prends 10 kilos par mois t'es mal barré ma vieille!!!
c'est pas dit pour me faire du mal, c'est qu'il a suivi ma perte de poids, mes coups de blues, mes douleurs au dos et aux genoux... il sait a quel point j'ai souffert toutes ces années ou on m'a jugé sur mon phisique (pas de travail!!! etc....) et il ne veut pas que je le revive...
ce qui est douloureux pour nous l'est aussi pour nos parents...
et ils n'ont pas suffisament de recul, et puis ils ne sont pas de la même génération donc ils ne peuvent pas nous aider... et puis je pense que ce n'est pas a eux de nous aider, nous devons régler ça nous même, eux sont là pour nous soutenir, nos parents sont nos pom-pom girls, nos coup de pied au cul!!!!
enfin c'est mon avis
I
46 ans NANCY 5017
Alors , dans mon cas au collège ça allait ...Les vannes fusaient , j'en prenais quelques unes sur mon poids mais pas plus que les autres ....J'avais des potes rigolos et gentils et franchement je vivais ça bien ( on se filait tous des surnoms débiles , le fait qu'il soit quelquefois en rapport avec mon poids ne me gênait pas plus que ça ...je ne sais pas comment l'expliquer mais dans le contexte ce n'etait pas méchant :roll: ) Tout le monde tapait sur la " faiblesse " de chacun , ce qui fait que d'une certaine façon , j'etais dans la norme .
Je me souviens aussi que je me laissais rarement faire : un coup en 5ème un garçon m'a balancé une vacherie en pleine classe devant tout le monde prof y compris sur mon poids , je lui ai balancé un truc sur sa face de singe , tout le monde ( la prof aussi ) était mi scotché , mi admiratif ( style " tiens elle se laisse pas faire la petite " ) .
Au lycée je suis devenue invisible , donc peu ou pas de moqueries , on ne me voyait pas .

Parcontre j'ai un souvenir précis d'une ballade pendant les vacances : j'ai 17 ans , je déprime parce que pas de petit copains , je porte un immonde cycliste et un large tee shirt espèrant cacher tout ça . C'est l'heure de la sieste , je me promène seule dans le village quand deux débiles de mon âge passent en VTT et me balancent de la flotte avec une bouteille en m'insultant ( deux inconnus ...) Ils repassent , recomencent . Je me souviens avoir pleuré deux heures sur la plage et des promeneurs qui me regardaient bizarrement sans essayer de me consoler et je me souviens avoir fait une diéte terrible qui m'a fait perdre 17 kgs en 2 mois ...et repris plus le bonus ensuite . Je ne sais pas ce qui m'a le plus choqué après coup : les deux débiles ou les gens qui faisaient semblants de ne pas me voir ..

Je crois que l'enfance est plutôt un moment doux comparé à l'adolescence, moment que je ne voudrais revivre pour rien au monde ...
I
46 ans NANCY 5017
j'ai oublié d'ajouter : en tant que prof j'ai souvent été désarmé face au comportement des gamins entre eux ...Un exemple frappant : y'a 15 jours , classe de 4ème , gamin remuant , je le change de place et je le met à côté de A.... une petite gamine bien ronde très mignonne mais qui manque cruellement de dynamisme et de confiance en elle .
Le gamin n'est pas très attentif , il papote avec elle , je lui dis d'arrêter de faire le joli coeur et là remarque horrifié de sa part " ah non pas avec elle " ... la pauvre a du se sentir mal ... et je n'ai pas vraiment su retourner la situation : leur taper un discours sur l'acceptation de soi , ils n'auraient pas compris et ça aurait aggravé le malaise de la gamine ( 14 ans ) , j'ai juste dit un truc du style " il dira pas toujours ça" ...moyen comme réaction ( plutôt nulle même :roll: )
tout ça pour dire que même adulte on ne sait pas toujours comment réagir face au comportement des enfants :oops:
R
39 ans Paris 1624
J'ai lu vos messages, et je trouve ça vraiment dingue que beaucoup d'entre vous aient été frappées ! :shock:
J'ai vraiment du mal à réaliser, parce que dans mes écoles je n'ai jamais vu personne se faire frapper à cause de son physique, et pourtant c'était des écoles réputées "dures" :?

Perso je n'ai quasiment jamais subi ce genre de méchancetés, verbales ou physiques.
Faut dire que personne ne se serait risqué à me frapper (j'ai toujours fait comprendre qu'il ne fallait pas me chercher parce que je n'aurais aucun scrupule à rendre en double :roll: )

Et puis à l'école primaire et au collège je faisais partie du groupe des gens "populaires", donc j'avais aucun problème.
Juste après la visite médicale de 3ème, un mec m'a demandé combien je pesais, évidemment je ne lui ai pas dit, et il me sort "60-70 ?" J'étais morte de rire, il était loin du compte ! :lol:

Au lycée c'était un peu différent, j'ai eu quelques problèmes en 2nde où on m'a un peu pris pour la tête de turc, mais j'ai jamais vraiment su si c'était dû à mon apparence ou au fait que je ne voulais pas cotoyer mes "camarades" de classe :? (C'était une bande d'hypocrites superficiels et particulièrement c*ns)
De temps en temps une fille qui elle-même n'était pas maigre me prenait la tête avec des "tu pèses combien ? tu fais pas de régime ?" et un jour je lui ai répondu "j'en sais rien et je m'en fous". Elle a eu un air super méprisant mais ne m'a plus jamais rien dit :roll:

Bref j'ai pas vraiment subi de moqueries directes, ouvertement.
Du coup j'ai toujours cette facheuse manie de me les dire moi-même, d'imaginer ce que les autres doivent se dire.
Quelque part c'est pire que si ça venait d'autrui.
T
43 ans noisy le grand 1060
Pour répondre à Isa, je me souviens d'un cours de 1ere ou une amie qui était assise seule devant s'est retrouvée affublée du clown de la classe comme voisin, car il était trop remuant.
La fille en question était normale, mince, pas plus moche qu'une autre, pas vraiment à la mode, mais normal quoi...

La prof de physique nous expliquait les charges positives/négatives et elle commence à prendre comme exemple les deux éleves sus-cités (à savoir ma copine et le mec remuant) en disant "par exemple, disons que Julie est chargée + et Vincent chargé -, donc Julie attire Vincent" (crise de rire dans la classe, sauf Julie, qui rougit très fort) et là Vincent de dire bien haut "ça non, pas moyen qu'elle m'attire!". Le malaise était le même, je pense, pour ma copine, que pour la gamine de ta classe.

Je pense que des complexes, à l'adolescence, c'est le lot courant.
La seule attitude d'un prof pour empêcher ce genre de choses, c'est de ne rien dire qui sous-entende un éventuel rapprochement. Après tout pour certains élèves, on n'est pas encore très loin de l'époque où entendre "oh, les amoureux!" se prenait comme une insulte!
I
46 ans NANCY 5017
oui j'ai gaffé ...des fois ça sort tout seul ce genre de trucs chez moi
44 ans RP 3487
Je me souvient d'un midi au collège, je pesais alors plus de 100Kg ...

Mes copains étaient sortis vite de la cantine pour aller jouer au foot et moi je finissais mon repas ...

Une demi douzaine d'autre élèvent s'en sont pris à moi ... m'ont pris mon plateau "parceque je mangeais assez comme ça, grosse vache que j'étais !!!", m'ont insulté et j'en passe ...

Je n'ai rien dit, la colère est montée en moi ... et j'ai craqué !!!
Je me suis mise à hurler , j'ai frappé l'un des garçons avec la cruche d'eau qui était sur la table ... je me suis jetée sur un autre ... je me suis battue ...

C'était en 4éme ...

Après ca je me suis murée, tout le monde me prenais pour une folle ... je restais souvent à la maison ...

j'ai reflechis, j'ai décidé de ne pas aller au lycee avec ces meme eleves ...
Je suis partie loin, en internat ...
Ca m'a sauvé !!!

J'en cauchemarde encore de ce midi à la cantine ...
J'ai parfois tant de violence en moi ... plus que d'avoir eu de la peine, je me suis fait peur à moi ...
44 ans 2883
Mon copain et moi, on était tous les deux des "loosers" au lycée/collège...

Lui, il avait un an d'avance, il était beaucoup plus grand que la moyenne. Il a subit un paquet de violences, sans que personne réagisse, jusqu'au jour où ils s'y sont mis à trois et en le maintenant, lui ont pété le bras, comme ça, pour le plaisir de la voir grimacer de douleur et pleurer.
En fait, il a virer tous les souvenirs de ses études sauf aprés bac de son esprit, aujourd'hui encore, quand je lui pose des questions, il ne se souvient plus, et il est pris de sueurs froides et tremblements. C'est sa mère et ses frères qui me racontent ce que eux savaient.

Le point commun entre nous deux, c'est qu'entre autre on nous a toujours sorti comme exemple Jesus qui tend l'autre joue quand on le frappe, "ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu'ils te fassent, blabla". Sauf que ça marchait peut être pour Jesus, ça, mais pas pour moi :) Moi si je tendais l'autre joue, je me prenais une autre baffe sur celle là...
En plus, en étant plus grande et plus costaude que les autres, on m'a toujours culpabilisée en me disant que je genais, que je devais pas me mettre devant, que je devais pas taper les autres parce que j'allais leur faire mal, que c'était moi la plus grande, donc la responsable (grande en taille, vi, pas en âge), etc, etc

J'avais aussi 1 an d'avance (une de plus), bonne élève, grande (en tout cas, toujours plus grande que les garçons jusqu'au lycée) blonde, costaude. Et timide et perdue dans mes lectures.

Des vacheries qui m'ont marquée: par exemple quand la fille du prof de français dans ma classe donne un carton d'invitation à tout le monde pour venir à sa boom, en faisant des mines, puis s'arrete devant moi et me fait "tu crois pas que je vais t'inviter quand même?" bien haut, avec les éclats de rire des autres autour.
Un spectacle de fin d'année: on était trois à chanter dans un petit spectacle, j'étais hyper fière de moi, j'allais rentrer en répétition, je chantonnais avec un sourire grand jusqu'aux oreilles en marchant vite vers la salle, et un petit con qui hurle au milieu de la cours: "eyh, la grosse, tu l'as trouvé où ta chemise? c'est un sac poubelle?" la douche froide que ça m'a fait... avec une phrase, il a réussi à détruire tout mon plaisir de chanter, toute ma confiance en moi pour le reste de l'année.
Les boulettes de papier pleines de colle envoyées dans les cheveux longs en cours, etc.

J'ai rarement été frappée, sauf une fois ou une abrutie s'est plantée devant moi et a sauté sur mes pieds avec des talons pointus pour m'écrabouiller les orteils. J'ai lancé la main, elle est partie en arrière sous le coup de la baffe, étonnée et pleurnicharde: lui ai dit: "désolée, c'est reflexe, fallait pas me marcher sur les pieds".

En fait, j'ai eu une période fin du lycée où ma langue bien pendue m'attirait la sympathie des gens. On me foutait relativement la paix. Mais entre chez moi et le fait de me sentir tout le temps différente des autres, pas vraiment une fille quoi, puisque je ne pouvais pas porter les mêmes vêtements, etc, je n'étais pas heureuse: juste contente de ne plus faire l'objet de remarques et vannes débiles 24/24.
50 ans Paris 426
C'est bien ça le problème quand on est tellement habitué à se prendre des remarques humiliantes, c'est la capacité à se défendre :cry:
Me dire que comme je suis tellement plus grande et plus grosse, je risque d'écrabouiller littéralement les personnes contre qui je me défendrais. Maintenant que je fais plein d'arts martiaux, j'ai des dan et des bidules et des machins, bref sur un tatami je me débrouille plutôt bien :lol: par contre j'ai été aggressée il y a un an et demi, un type qui m'a sauté dessus avec très visiblement dans l'idée de vouloir me prendre là tout de suite maintenant sans plus de formalité :crazyeyes: eh bien j'étais paralysée, je me dégageais esquivais ses étreintes mais n'arrivais pas à me décider à le foutre par terre une bonne fois pour toutes, j'avais ma taille et mon poids en tête et je me disais que j'allais lui faire tellement mal :oops:
Il a fallu qu'il commence à me taper dessus pour que je finisse par le mettre à terre en laissant quelques mauvais souvenirs à ses articulations des membres supérieurs :oops: :oops: :oops:

Bon sinon le fait d'être bonne élève, d'avoir un an d'avance, je n'ai jamais eu à en souffrir. A la limite les gens de ma classe me prenaient pour une sorte de freak, surtout quand on a étudié la littérature moyen-âgeuse et que je sortais des références un peu pointues, mais ça a toujours joué en ma faveur, faut croire que j'ai eu de la chance 8)
Je le mesure d'autant mieux quand je vois mes fils, qui ont tous les 2 été confrontés au saut de classe, Léonard surtout le plus petit n'est pas franchement discret et pour tout ce qui concerne les trucs un peu intello il prend son pied donc fait étalage de ses aptitudes verbales, de ses connaissances, de sa capacité à comprendre et restituer. Et Léonard a peu d'amis et en souffre beaucoup, tout comme il souffre beaucoup du décalage quasi-culturel qu'il y a entre ses "camarades" et lui :cry:
Comme quoi, vraiment... y a pas que l'apparence physique, ni qui rend heureux, ni qui rend malheureux :?
T
43 ans noisy le grand 1060
Je ne pense pas que le fait d'être enveloppée rende plus intelligent.

Par contre, ma mère (donc ça remonte à loin) m'avait parlé de syndrome de supériorité. En gors, en ayant sauté une classe et en étant bon en classe, voir meilleur que les autres... on se sent mal, exclu, pas dans la norme. Et je pense que ça peut être une cause de prise de poids.
44 ans 2883
Pour mon petit frère, le saut de classe ne l'a pas du tout dérangé. Il a toujours été quelqu'un de trés populaire partout où il mettait les pieds...
On peut dire pire même: il avait quasiment 2 ans d'avance.

Mais c'est vrai que souvent la moindre différence à cet âge là, ça peut facilement exclure.
Moi, ça n'était pas à cause de mon année d'avance, mais plutot à cause de ma grande taille (15 cm de plus que tout le monde: on me demandait combien d'années j'avais redoublé... et on me mettait sur le dos des responsabilités trop importantes du fait que j'étais la plus "grande" (alors que souvent, j'étais la plus jeune...)
43 ans 811
Moi j'étais pas grosse jusqu'à mes 14/15 ans, la puberté, début de boulimie... Bref, un jour au lycée, c'était en cours d'allemand, je passe au tableau et là un petit con d'1m55 (on avait 17ans!!) commence à dire que je suis tellement grosse qu'il arrive pas à voir le tableau il parlait fort, toute la salle l'entendait, le prof aussi et personne ne réagissait jusqu'à ce que ma meilleure amie de l'école primaire (qui était devenue populaire au lycée) lui dise que je suis une gentille fille qu'il est mécahnt avec moi, etc...
On sort de la classe, moi morte de honte, mais je veux aller remercier "ma copine" et là je l'entend rigoler avec le petit con et lui dire que je lui faisait tellement pitié qu'elle a pas pu s'empêcher de me défendre!!!
Autant dire que quand je l'ai croisé il y a 6 mois avec son corps tout maigre, son visage qui commence a rider et son allure de pouff, c'est plutôt elle qui m'a fait pitié!!!
37 ans 3056
Citation:
On sort de la classe, moi morte de honte, mais je veux aller remercier "ma copine" et là je l'entend rigoler avec le petit con et lui dire que je lui faisait tellement pitié qu'elle a pas pu s'empêcher de me défendre!!!
Autant dire que quand je l'ai croisé il y a 6 mois avec son corps tout maigre, son visage qui commence a rider et son allure de pouff, c'est plutôt elle qui m'a fait pitié!!!


pfff, ça me désole quelqu'un d'aussi bête et méchant.

Pour ma part, quand je vous écoute, je me dis que j'ai été plutot chanceuse...enfin, si on veut:
en primaire, y'en avait juste un qui me disait tout le temps : "grosse truie"

pis au collège, y'en avait 2/3 pas très intelligents mais vu que moi je ne disais jamais rien mes copines les rembalaient souvent :lol:

En sport, y'avait toujours quelqu'un pour courir avec moi ou bien m'encourager depuis les tribunes...

Ah si, un remarque : j'étais en 6ème et on revenait de piscine, j'étais plutot contente parce que pour une fois, j'étais pas dans les plus nuls et là, y'a S. qui dit à G. : "tu as vu la grosse en maillot de bain"
pis là, y'a G. qui se retourne et qui me voit, il a pas arreté de ma dire "non mais tu as entendu, moi, j'ai rien dit sur toi", enfin, S. c'était une andouille !
B I U


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