47 ans
Salon de Provence (13)
617
Patty a écrit:
Je ne crois pas que ce soit une idée reçue, Patty. Manger trop n'est pas à prendre au sens "se gaver". Plutôt au sens "trop par rapport à ses besoins énergétiques".
Même les pro RA comme Zermati nous expliquent que si on grossit, c'est parce qu'on mange plus que sa faim, et que le couple faim/satiété nous renseigne sur les besoins réels de notre corps en énergie.
Effectivement, ce dérèglement des sensations intervient plus facilement lors qu'on est en "souffrance" de manière générale, comme le dit l'article.
Pour avoir été une enfant obèse et être une adulte obèse, je trouve aussi qu'on avance dans le regard sur l'obésité en général. On déculpabilise de plus en plus. On ne se contente pas de supprimer les bonbons et le coca, et de donner des carottes crues en pique-nique quand les autres enfants se régalent de sandwichs (vécu !), et d'envoyer manu militari les gamins faire du sport au milieu d'autres qui se moquent de leur performance.
Bien sûr, il reste encore ça :
Citation:
Cette idée reçue que les gros mangent trop est encore bien récurrente... Et en totale contradiction avec ce que dit l'article juste avant !
Citation:
Il faut replacer l'acte alimentaire à sa juste valeur : on se nourrit parce que l'on a faim et non pour combler un manque. Si l'on est gros, c'est parce que l'on mange trop et que l'on ingurgite une alimentation pas assez variée. La solution passe par une valorisation de l'éducation alimentaire.
Cette idée reçue que les gros mangent trop est encore bien récurrente... Et en totale contradiction avec ce que dit l'article juste avant !
Je ne crois pas que ce soit une idée reçue, Patty. Manger trop n'est pas à prendre au sens "se gaver". Plutôt au sens "trop par rapport à ses besoins énergétiques".
Même les pro RA comme Zermati nous expliquent que si on grossit, c'est parce qu'on mange plus que sa faim, et que le couple faim/satiété nous renseigne sur les besoins réels de notre corps en énergie.
Effectivement, ce dérèglement des sensations intervient plus facilement lors qu'on est en "souffrance" de manière générale, comme le dit l'article.
Pour avoir été une enfant obèse et être une adulte obèse, je trouve aussi qu'on avance dans le regard sur l'obésité en général. On déculpabilise de plus en plus. On ne se contente pas de supprimer les bonbons et le coca, et de donner des carottes crues en pique-nique quand les autres enfants se régalent de sandwichs (vécu !), et d'envoyer manu militari les gamins faire du sport au milieu d'autres qui se moquent de leur performance.