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appel à témoins à celles qui mangent plus que de raison

L
47 ans marseille 73
bonsoir à toutes,
des chiens pavloviens nous en sommes tous c'est vrai, mais pour humaniser la chose, je dirais des femmes pavloviennes.
trop de conditionnement tue l'affirmation de soi.
nous sommes avant tout  
des femmes, dans des corps de femme, avec un coeur de femme. et ça c'est la plus vraie des réalités. il ne peut en etre autrement, la nature nous a faite ainsi et c'est un cadeau des plus précieux.
en ce qui concerne labouse ( ce surnom est pour moi une insulte à dame nature) la catastrophe est de ne voir que le chemin durement accomplit et pas la montagne étincellante sous le soleil qui brille.
il est vrai que vivre est un effort, tout est effort. l'accepter c'est déjà égayer l'histoire.
tout humain a une bonne nature par naissance. c'est le premier cadeau que pour des raisons x ou y on emballe et remballe par mauvais acquis de conscience.
finalement on se retrouve avec un cadeau recouvert de papiers journaux ou autre apparat tous aussi hideux les uns que les autres.
et c'est ça la plus grande tromperie, l'arnaque de toute une vie si on y prend pas garde.
toutes les arnaques sont déjouables car elles ne sont que mensonge.
remercie la vie d'avoir trouvée ce trésor qui est en toi, en elle tu peut avoir confiance.
les obstacles ne sont que défis pour améliorer ta nature.
je te souhaite la meilleure route possible que chacune mérite d'ailleurs.
à bientôt ;) lina13
70 ans Charente Maritime 3080
labouse a écrit:
Et d'un coup, lors d'un séjour à l'étranger, j'ai vu que je pouvais être heureuse et être quelqu'un d'autre en dehors des études...
Ta réponse est clair, tu en as marre de tes études parce que pour toi, elles débouchent sur le vide.
labouse a écrit:
Mais les études étaient pourtant un fil, quelque chose qui me tenait, d'autant plus que je réussissais et que j'obtenais de la reconnaissance.
Attitude caractéristique des gros, plaire à tout prix, ne pas oser se montrer sous son vrai jour.

Si tu ne prends ps aujourd'hui une décision consciemment, elle s'imposera à toi inconsciemment, par défaut

Pourquoi dis-tu qu'il est trop tard pour réorienter tes études ? J'ai fréquenté à la fac des étudiants qui avaient presque la quarantaine. Caractéristique, ils avaient déjà un job, style maitre auxiliaire. Mcdo est aussi une bonne usine à étudiants. Mais en tout cas, ila avaient coupé le fil d'avec la famille pour être indépendant. Par contre, l'année où je me suis mariée, c'est avec la fac que j'ai coupé le fil. Là aussi, c'était un choix de vie. Pourquoi le regretter ?
C
53 ans 1965
;) Salut lina, je me permets qq rectifications tt à fait perso...

lina13 a écrit:
bonsoir à toutes,
des chiens pavloviens nous en sommes tous c'est vrai, mais pour humaniser la chose, je dirais des femmes pavloviennes.
trop de conditionnement tue l'affirmation de soi.
nous sommes avant tout des femmes, dans des corps de femme, avec un coeur de femme. et ça c'est la plus vraie des réalités. il ne peut en etre autrement, la nature nous a faite ainsi et c'est un cadeau des plus précieux.


Je ne pense pas... On a bien plus d'emprise sur nous et le monde que de réagir par instinct à un stimuli extérieur! M'enfin!

Ok, on est éduqué par interjection et interdiction. Mais être adulte c'est aussi réfléchir et casser ces "programmes" de croyance, c'est prendre des décisions et agir par actes libres! Rien à voir avec notre sexe, femme ou homme...on est au dela du stade du chien...bien au delà... ;) Mais je sais que tu sais.



lina13 a écrit:
tout humain a une bonne nature par naissance. c'est le premier cadeau que pour des raisons x ou y on emballe et remballe par mauvais acquis de conscience.


Par la naissance, nous n'avons ni "bonne" ou "mauvaise" nature. On est sans expérience tout simplement, on est des éponges, on tate ce qui nous entoure, on commence à comprendre que si on sourit on recoit un calin et que si on crie on reçoit du lait. Pas besoin de faire un jugement moral la dessus.

Et à l'age adulte, on n'oublie pas ça. Un sourire, ça nous apporte tjs autant et on le sait! On perd en spontanéité, mais on gagne en actes libres. Et c'est bien ça qui nous permet de faire des choix qui valorise d'individuation, vers la synchronicité, et c'est comme ça qu'on peut arrêter de subir, aller là ou on "doit" aller, cad aller là où on est. Devenir ce qu'on est, dépasser les interdiction et schèmes de l'enfances, dépasser les rages et colères pour les sublimer et se faire sa place.

:roll: C'est ma façon de voir hein...et pi je suis remontée avt un exam :lol: :? d'ailleurs, je dois filer... :arrow:
45 ans Bordeaux 311
Pour "labouse" (effectivement ce pseudo....brr ;) ) je suis d'accord avec Maria et si j'ai bien compris: peut être qu'en prenant une décision consciemment = reprendre ou non tes études et quelles qu'elles soient, tu aurais plus l'impression d'avoir le "contrôle" de ta vie.

De toute façon quand on est pas intérressé par qq chose, il est très difficile d'être motivée! J'étais moi aussi inquiète de mon manque de motivation au travail et finalement en analysant la situation (grâce en fait au carnet de suivi de RA ;) ) je me suis rendu compte combien je m'ennuyais au boulot et combien il ne m'intérressait pas!

Maintenant que je le sais, ma motivation n'a pas changé mais j'assume: je fais ce travail parce qu'il a certains avantages (conditions de travail, paie, ambiance, pas très prise de tête, je peux profiter de mon chéri) et que ceux ci priment sur les incovénients pour le moment.

Je sais maintenant aussi que si je veux que les choses changent, cela ne dépend que de moi (en partie évidemment ;)): il ne tient qu'à moi d'envoyer des CV un peu partout, d'harceler mon manager pour qu'il me trouve une autre mission, de m'investir dans autre chose...

Je voulais aussi revenir sur ce que tu as dit à propos des passions: moi aussi j'étais un peu déçue par moi même et un peu angoissée de ne pas en avoir.
C'est toujours le cas maintenant: j'aime beaucoup de choses mais rien pas passionément (sauf mon chéri ;)). Mais ça ne me tracasse plus. Je trouve que angoisser pour ça ne fait pas partie des choses utiles pour lesquelles il est nécessaire de s'inquiéter. Je ne suis pas anormale parce que je n'ai pas de passion. Je fais ce qui me plait dans la vie (en dehors du boulot) et c'est mon fil directeur.

Voilà mon expérience. Même si je sais que les études et le travail sont 2 situations différentes, il reste quand même que tu dois prendre une décision.
Que ce soit continuer tes études telles qu'elles sont et assumer ton manque de motivation en te disant que tu fais ça pour avoir un bon job plus tard, en changer (il n'est jamais trop tard), travailler à côté, ou travailler tout court! Peut être d'autres options....
39 ans 288
Bonjour!

C'est labouse!
Avec un nouveau pseudo, parce qu'après tant de messages je ne pouvais pas ne pas répondre à tout le monde pour vous remercier de me secouer un peu (ce que tout le monde s'évertue à faire depuis des mois) et surtout, je ne pouvais pas ne pas changer mon inscription... Parce que me faire appeler labouse, effectivement, même si c'est ce que je pense de moi,ne me fait pas plaisir à voir dans les messages des autres...
Je n'avais pas trop d'idée j'avoue mais c'est toujours mieux.

Sinon, merci en effet. De me rappeler cette dure réalité que dans la vie, il faut faire des choix et les assumer...


Pour moi actuellement, tout est tellement embrouillé. Je nourris de vieilles rancoeurs, des regrets, des remords... Tout cela est inutile et je le sais... Ca devrait passer mais j'en ai marre. Je confonds tous les domaines de la vie alors que tout ne fonctionne pas toujours sur le même plan, je le sais. Il faut que je retrouve mes propres réactions, ma propre sensibilité et que je l'utilise avec intelligence cette fois, car j'ai fais des erreurs et j'en suis encore à chercher les enseignements de ces erreurs (et à m'en vouloir aussi de les avoir faites, quoique ça commence à passer un peu). C'est ce qui me fait peur. Sans cela, sans cette sensibilité, je suis perdue, mais elle ne reviendra pas seule. J'ai juste peur de l'état dans lequel je vais pouvoir la retrouver...


Surtout, d'après ce que l'on me dit, et que je crois très très vrai, je réfléchis trop. Là, j'en suis arrivée à un point où il faut que je me force à agir sans réfléchir. C'est très dur croyez-moi, quand on est dans une dynamique de la torture d'esprit sur le moindre geste à faire...

Merci encore en tout cas, bises
782
Je me retrouve dans ton post Caramba, j'ai toujours voulu être la meilleure, recevoir des louanges... C'est peut-être le fait que l'on arrive pas forcément à être à la hauteur de nos amibitons souvent très élevées qui nous frustrent et nous poussent à manger tant...
39 ans 288
N'empêche que j'étais drôlement plus heureuse quand j'agissais... Mais là c'est devenu dur. Surtout depuis que je suis de retour chez les parents après deux ans toute seule. Comme je ne sais pas plus quoi faire de ma vie et quels sont mes objectifs, je me raccroche à eux mais ils ne peuvent rien et mes frères et soeurs ne sont plus là. Faut bouger quoi...
70 ans Charente Maritime 3080
Carambaaa, voila qui sonne mieux.

Rancoeurs, regrets, remords pourquoi pas. Mais qu'en fais-tu ?

Pour moi, regretter quelques chose, c'est chercher à savoir si je peux recréer, réparer. Avoir un remord, là aussi, c'est chercher à réparer. Quant nourrir une rancoeur, pour en tirer une vengeance, pourquoi pas ?
Mais c'est vrai que, pour moi, cela ne vaut qui si l'action vient en réparation. Sinon, autant passer à aitre chose et éviter de reproduire la situation.

Mais avoir une analyse de ses actions n'est pas forcément inutil. Finalement Cilou_cile et moi avons commencé par agir sans réfléchir, et n ous n'étions pas spécialement contentes de notre vie. Et nous avons analysé pour constater que si ce n'était pas la perfection, c'était au moins un compromis acceptable. Et être consciente que le compromis n'est pas nul nous permet aujourd'hui de mieux l'accepter au final.

Tu as aussi raison Pouet en disant que nos ambitions sont trop hautes. Nous ne sommes que des être humains. Alors agir au mieux au lieu de faire le mieux, c'est déjà pas si mal.
39 ans 288
maria123 a écrit:
Carambaaa, voila qui sonne mieux.

Rancoeurs, regrets, remords pourquoi pas. Mais qu'en fais-tu ?

Pour moi, regretter quelques chose, c'est chercher à savoir si je peux recréer, réparer. Avoir un remord, là aussi, c'est chercher à réparer. Quant nourrir une rancoeur, pour en tirer une vengeance, pourquoi pas ?
Mais c'est vrai que, pour moi, cela ne vaut qui si l'action vient en réparation. Sinon, autant passer à aitre chose et éviter de reproduire la situation.
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Bonjour!

C'est vrai, pour ce qui est de la réparation, c'est ce que je cherche à faire mais ça me paraissait tellement impossible que je n'essayais même pas. Mais finalement, je préfère essayer plutôt que de me terrer et manger. Pour la vengeance, je trouve ça mesquin, mais pourtant, je suis portée à cela... Et je m'empêche de le faire. De toute façon là, je ne vois pas clair dans la situation si je veux effectivement me venger donc inutile de chercher pour l'instant.

Je pars moi aussi agir sans réfléchir, sinon ça va encore être la catastrophe. Il le faut pour sortir du cercle vicieux, j'aurai au moins appris ça. Et si ça peut servir à d'autres...

La déprime entraîne la paresse et l'inaction entraîne la déprime, alors il faut faire queqlque chose et s'arrêter sur une décision et tout faire pour faire les choses du mieux que l'on peut et l'on peut sûrement plus qu'on le croit ou qu'on le veux.

Voilà... Pour ma part, ça commence, je me réveille, je vois l'ampleur des dégâts et je panique un peu, du coup, je ne suis pas organisée, ça part dans tous les sens, mais je ne perds pas espoir.

Bon courage à vous!
37 ans Bouches-du-Rhône 1127
j'avoue que je n'ai pas encore tout lu mais je vais quand même faire ma petite contribution perso.

d'aussi loin que je me souvienne je crois que mes 1ères crises ont débuté vers mes 10ans,lorqu'on m'a fait mettre un corset pour ma scoliose et que les médecins m'ont tannée pour que je perde du poids pour ne pas agraver ma "situation".alors,ma mère m'avait foutue au régime sur les bases d'un bon vieux livre du dr cohen (que j'ai d'ailleurs brûlé recemment en le trouvant dans mes affaires de petites fille :twisted: ).

résultat:je mangeais ultra light devant tout le monde tandis que la charcuterie et les gâteaux disparaissaient mystérieusement...pour attérir dans mon gosier!

ma mère s'en est rendue compte et a tout de suite cessé de me faire suivre ce foutu régime et puis j'ai arrêté.

mais j'avais pris de mauvaises habitudes,dès que j'étais stressée,hop!le frigo,les gateaux,les bonbons,etc...

puis mes parents m'ont fait traversé une période atroce avec leurs histoires de couple,de cul,j'en passe et des meilleures et là c'est revenu.pas très souvent au début puis de plus en plus rapprochées si bien que j'ai pris 30kilos en 3mois (je vous laisse imaginer les vergetures...).

depuis ce n'est pas reparti,sauf pendant 6mois récemment (cf post "de l'hyperphagie à l'anorexie") et réflexion faite je crois savoir d'où ça viens.
çe viens d'un besoin qu'on me voit MOI,que mes parents me voient surtout...alors j'ai grossi pour dire "et ho je suis là!".enfin bref...faudrait que j'en écrive beaucoup plus pour que vous compreniez le pourquoi du comment mais c'est à peu près ça.

conclusion je bouffe en réaction au stress du quotidien et quand je pense à mes parents (en plus je suis en froid avec mon père en ce moment car j'ai osé user de ma liberté d'expression pour la 1ère fois de ma vie pour lui dire que j'en avais marre de ses reflexions incessantes...).

petit hs:
à noter que je passe aussi par des phases où je ne mange plus du tout également en récation aux mêmes choses... :(

désolée pour le roman mais ce post tombe à pic!
S
101 ans 4480
:arrow: stress
:arrow: absence de confiance en moi
:arrow: les soucis perso qui s'accumulent

Voici les principales raisons de ces crises :cry:
57 ans Paris 136
Anais_Nin a écrit:
Je crois que la nourriture est un symbole (le lien nourricier avec la mère) mais aussi une "béquille" par les nutriments qui stimulent certaines zones du cerveau...d'où le terme de "drogue" employé à tort par certains auteurs.

Il a été néanmoins démontré qu'un certain pourcentage de la population nait avec un taux de dopamine inférieur à la normale ce qui rendrait cette population plus fragile aux comportements addictifs (qui font remonter temporairement la dopamine).

J'ajoute enfin que une des clés réside dans la gestion des émotions et le développement personnel. Ceci dit, comme tout comportement acquis, se défaire de l'hyperphagie requiert un véritable effort..et comme nous sommes tous quelque peu des chiens "pavloviens", il nous faut trouver une autre (et véritable ?) source de plaisir et de bien-être dans la vie... :roll:


recoucou à toutes,
je vois que vous parler beaucoup du stress qui contraint à faire des crises.
mais plus précisément, initialement, avez vous eu un traumatisme quel qu'il soit qui a provoqué la première crise.
pour ma part c 'est cela qui est plus difficile à éclaircir.
et pour vous c'est pareil??
Very Happy bonne soirée à toutes lina13

Bonjour
mon premier post sur ce forum que j'ai découvert récemment
40 ans, 175 cm, 100 kg après un régime (restrictions uniquement) il y a deux ans de 95 kg à 83 kg.
Aujourd'hui je peux dire que:
parmi les traumatismes qui ont influencé ma vie adulte était le fait que ma mère n'a jamais pu m'accepter ou me nourrir correctement, spirituellement et aussi littéralement. J'ai, si je me souviens bien, toujours été ronde, et toujours culpabilisé. Ma mère me disait, si tu n'es pas mince, tu ne trouveras jamais un homme dans ta vie.
Self fulfilling prophecy, j'ai vécu seule pour la plupart de ma vie.
De là, il y avait un premier grand traumatisme qui a conditionné plusieurs choses:
vivre dans l'espoir d'être accepté par ma mère,
vide affectif, envie de manger (j'ai toujours eu envie de goûter à des plats nouveaux, parfums d'ailleurs et autres mais c'était u pêché à la maison, de l'orgueil...)
comportement addictif presque je dirais, envie d'être acceptée par tout le monde (je suis très empathique).
donc Anais j'ai trouvé l'expression lien nourricier avec la mère très intéressant.
Deuxièmememnt toujours proche de la dépression ce que je gère mieux mais où je pense que le métabolisme du cerveau peut avoir une influence.
Finalement, estime de soi et réalisation de soi: comme je le vois dans certains posts sur ce forum, je peux aussi dire que j'ai du mal à m'apercevoir moi-même, en ce qui concerne ma vie, mes passions, mon identité par rapport aux autres, tout ce qui dépasse ce foutu désir d'être comblé par quelque chose qui vient de l'extérieur sans pouvoir me concentrer sur moi.
Tout ça n'est qu'une ébauche de réflexion que je vous présente un peu brut de décoffrage,
contente de vous avoir retrouvé.
L
47 ans marseille 73
bonsoir à toutes
tous ces témoignages pleins de sincèrité ont rapporté toute la souffrance qu'est l'hyperphagie.
pour ma part un vide à combler intense, une identification à la femme pour être plus précise à la mère difficile et un père qui me prend plus pour sa confidence que pour sa fille.
voilà le chemin pavé d'embuches qui devient petit à petit pavé de bonnes intentions.
merci à toutes et bon courage.
ps : j'ai été touché par le témoingnage de la succube mais problème technique je n'arrive pas a y répondre.
donc ptit clin d'oeil à elle.

:rainbowafro:
35 ans ile de france 169
c'est une question que jme demandais et j'en suis arrivé aujourdhui a me demander aussi si je ne devrais pas aller consulter un professionnel afin de m'aider a reglé ce probleme due :
:arrow: a la solitude
manque d'attention, d'amour , manque de presence dans ma vie
:arrow: un manque de confiance en moi
un peu comme une carapace
:arrow: qd je suis en situation de stress, ou enervé

et c'est dur de perdre des habitudes comme celles ci .... un peu pour ça que j'ai besoin d'aide afin de surmonter et d'effacer au mieux ces mauvaise habitudes
B I U