47 ans
Salon de Provence (13)
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J'ai toujours eu du mal avec cette courbe du plaisir gustatif. Je ne l'ai jamais ressenti au niveau du palais, en tout cas. Je m'arrête quand je commence à avoir moins envie de mon plat que de mon dessert, par exemple.
Pourtant, je suis persuadée que la courbe existe, parce que j'ai déja constaté que le même plat, cuisiné de manière identique, m'apporte moins de plaisir quand j'ai moins faim. Et un plat que j'aime moyennement me régale si j'ai très faim.
Je pense que la seule façon de se rapprocher du plaisir gustatif, c'est la dégustation, justement. Plus tu mangeras lentement, en prenant le temps de décrypter les différentes sensations (chaud, froid, salé, croquant, épicé, amer,...), plus tu auras de chances d'arriver à mesurer ton plaisir.
Mais ne te prends pas la tête si tu n'arrives pas à avoir une idée très précise de la courbe. Il suffit d'avoir compris le mécanisme, et de se fier à ce qui, dans ton corps, te parle.
Pourtant, je suis persuadée que la courbe existe, parce que j'ai déja constaté que le même plat, cuisiné de manière identique, m'apporte moins de plaisir quand j'ai moins faim. Et un plat que j'aime moyennement me régale si j'ai très faim.
Je pense que la seule façon de se rapprocher du plaisir gustatif, c'est la dégustation, justement. Plus tu mangeras lentement, en prenant le temps de décrypter les différentes sensations (chaud, froid, salé, croquant, épicé, amer,...), plus tu auras de chances d'arriver à mesurer ton plaisir.
Mais ne te prends pas la tête si tu n'arrives pas à avoir une idée très précise de la courbe. Il suffit d'avoir compris le mécanisme, et de se fier à ce qui, dans ton corps, te parle.