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Ma puce, je suis de tout coeur avec toi.
J'ai vécu une histoire similaire il y a quelques années dans d'autres circonstances que l'école. Lorsque je sortais le samedi soir, un paquet de filles m'avaient prise en grippe sans raison, hormis apparemment un délit de faciès :? (mon ex-soeur a été dans le même cas, vu qu'on faisait à l'époque tout ensemble) , je ne pouvais plus passer une soirée tranquille lorsqu'elles étaient là, c'était un harcèlement permanent. Je dirais que ça a duré plus d'une année, voire 2. Et un jour (le 1er janvier 2000, vers 3H du matin), elles ont décidé d'en venir aux mains. J'ai été tabassée dans les toilettes. Et mon ex-soeur rouée de coups au milieu de la rue. Personne n'avait bougé! On était dans notre merde sans pouvoir espérer que quelqu'un nous sorte de là.
Le 1er janvier à 14H, on allait porter plainte! Le dossier a été classé sans suite ("problèmes relationnels", ils disaient... c'est vrai qu'avec l'Affaire Dutroux, ce district avait d'autres chats à fouetter...), mais après quelques mois d'évitement des endroits où on risquait de les croiser, la première fois qu'on les a revues, on les a senties bien calmées.
Parfois, une visite de flics peut faire cesser les choses. Ne retire donc pas la plainte quoi qu'il arrive!
Et courage, même si ce genre de comportement me dépassera toujours, je comprends parfaitement ton désarroi et tes craintes
J'ai vécu une histoire similaire il y a quelques années dans d'autres circonstances que l'école. Lorsque je sortais le samedi soir, un paquet de filles m'avaient prise en grippe sans raison, hormis apparemment un délit de faciès :? (mon ex-soeur a été dans le même cas, vu qu'on faisait à l'époque tout ensemble) , je ne pouvais plus passer une soirée tranquille lorsqu'elles étaient là, c'était un harcèlement permanent. Je dirais que ça a duré plus d'une année, voire 2. Et un jour (le 1er janvier 2000, vers 3H du matin), elles ont décidé d'en venir aux mains. J'ai été tabassée dans les toilettes. Et mon ex-soeur rouée de coups au milieu de la rue. Personne n'avait bougé! On était dans notre merde sans pouvoir espérer que quelqu'un nous sorte de là.
Le 1er janvier à 14H, on allait porter plainte! Le dossier a été classé sans suite ("problèmes relationnels", ils disaient... c'est vrai qu'avec l'Affaire Dutroux, ce district avait d'autres chats à fouetter...), mais après quelques mois d'évitement des endroits où on risquait de les croiser, la première fois qu'on les a revues, on les a senties bien calmées.
Parfois, une visite de flics peut faire cesser les choses. Ne retire donc pas la plainte quoi qu'il arrive!
Et courage, même si ce genre de comportement me dépassera toujours, je comprends parfaitement ton désarroi et tes craintes