42 ans
Sud Ouest
3873
Citation:
Le congé pathologique
Toute femme enceinte a droit à un congé maternité lorsqu’elle est enceinte. Mais en cas de complications, elle peut demander une extension de ce congé, prénatal ou postnatal.
Lorsque vous êtes enceinte, vous avez droit à un congé de maternité qui comprend un congé prénatal (avant l’accouchement) et postnatal (après l’accouchement). Sa durée varie selon le nombre d’enfants que vous attendez et selon le nombre d’enfants déjà à votre charge. La durée minimale du congé maternité est de 16 semaines, en général 6 semaines avant et 10 semaines après l’accouchement. Mais ce congé peut être précédé ou suivi d’un arrêt de plusieurs jours en cas d’état pathologique.
Deux cas possibles
La prescription d’un congé pathologique doit obligatoirement être effectuée par un gynécologue ou un médecin généraliste.
Deux cas se présentent à vous : si l’état pathologique est dû à la grossesse, une période supplémentaire de congé peut être accordée au cours de la période prénatale. Elle n’excède pas 14 jours. Notez que le congé pathologique peut être prescrit à partir de la déclaration de grossesse mais ne peut pas être reporté au cours de la période postnatale.
En second lieu, en cas d’état pathologique lors du congé postnatal, celui-ci est alors prolongé de 4 semaines. Il doit également être attesté par un certificat médical comme résultant des suites de couches. Attention, le congé pathologique n’est pas un congé maternité « supplémentaire » mais bien un congé maladie.
Le congé pathologique
Toute femme enceinte a droit à un congé maternité lorsqu’elle est enceinte. Mais en cas de complications, elle peut demander une extension de ce congé, prénatal ou postnatal.
Lorsque vous êtes enceinte, vous avez droit à un congé de maternité qui comprend un congé prénatal (avant l’accouchement) et postnatal (après l’accouchement). Sa durée varie selon le nombre d’enfants que vous attendez et selon le nombre d’enfants déjà à votre charge. La durée minimale du congé maternité est de 16 semaines, en général 6 semaines avant et 10 semaines après l’accouchement. Mais ce congé peut être précédé ou suivi d’un arrêt de plusieurs jours en cas d’état pathologique.
Deux cas possibles
La prescription d’un congé pathologique doit obligatoirement être effectuée par un gynécologue ou un médecin généraliste.
Deux cas se présentent à vous : si l’état pathologique est dû à la grossesse, une période supplémentaire de congé peut être accordée au cours de la période prénatale. Elle n’excède pas 14 jours. Notez que le congé pathologique peut être prescrit à partir de la déclaration de grossesse mais ne peut pas être reporté au cours de la période postnatale.
En second lieu, en cas d’état pathologique lors du congé postnatal, celui-ci est alors prolongé de 4 semaines. Il doit également être attesté par un certificat médical comme résultant des suites de couches. Attention, le congé pathologique n’est pas un congé maternité « supplémentaire » mais bien un congé maladie.