C'était en 3e année de maternelle, il s'appelait Xavier M. On était un vrai couple, toujours ensemble en classe, dans la cour... En fait on formait un groupe de 3 couples toujours ensemble : Marie-Josèphe et Michel, Marie-Françoise et Patrice, Xavier et moi. :lol:
A la fin de l'année scolaire il a déménagé... :cry: J'ai eu un vrai chagrin, un chagrin d'enfant peut-être, mais vrai. Dans mes souvenirs, je l'aimais vraiment très fort.
En CP, personne, je restais sur mon chagrin d'amour... ;) Il y avait bien ce crétin d'Olivier F. qui s'obstinait à vouloir mettre sa main sous ma jupe, je le détestais !!! :evil:
En CE1, l'amour m'a refrappée avec Stéphane L, le fils d'une instit. Je l'aimais, il m'aimait, on le disait, ça nous suffisait, je crois qu'on ne faisait jamais rien ensemble (à part les deux galoches qu'il avait essayé de me rouler dans le couloir... j'ai pas aimé ! :lol: )
Et j'ai déménagé. Il y a eu Frédéric S. (purement platonique, il n'a jamais rien su), Lionel B. (je l'aimais celui-là, lui aussi, mais il était aussi amoureux de Catherine et aurait bien aimé son petit harem ! :evil: :lol: J'ai laissé la place à Catherine, je ne partageais déjà pas à l'époque ! :lol: ), Arnold G. dont le rêve était de me tenir la main... Je ne me souviens plus pourquoi on ne l'a pas fait... Par contre je me souviens de lui, en slip, le jour de la visite médicale... Il me semblait d'un érotisme torride... :lol:
Et en 6e il y a eu Nicolas S. Jusqu'en 4e... Je pense qu'il m'aimait bien mais rien de plus. Qu'est ce que j'ai pu en rêver de Nicolas... Dans la série amour platonique (et certainement fantasmé ! :lol: ) vous pouvez inscrire Patricia D et son amour pour Nicolas S ! :lol: Et puis il y a eu Eric P. en 3e.. On a failli s'embrasser (après que je l'aie travaillé au corps pendant des semaines, jamais vu un timide pareil ! :lol: ) et le jour où ça allait arriver, paf ! Sa mère qui arrive ! :evil: Impossible de poursuivre notre histoire, j'ai déménagé quelques jours plus tard...
Ce qui me fait rire c'est que je me souvienne aussi bien d'eux, de leurs noms... Il faut croire que les amours d'enfant, c'est plus fort qu'on ne croit ! ;)