44 ans
Montréal
752
Ton histoire me rappelle drôlement la mienne, Taniouchka.
J'ai eu un accident de ski, en 2006. Foulure du ligament du genou. Résultat: ne pas marcher durant un mois, donc impossibilité de conduire mon auto, car c,était la jambe droite qui était touchée.
Lorsque c'est arrivé, en janvier 2006, nous étions en pause, si l,on peut dire. Je ne savais plsu ce que je voulais, et je l'avais mis sur la touche. Ce soir là, je me suis blessée vers 19h00. En arrivant chez moi, avec mes amis, je l'appelle. C'était un samedi soir, et son anniversaire en plus. Je ne l'avais même pas appelé le matin pour lui souhaiter bon anniversaire. Ingrate j'étais.
Enfin, il est venu aussi rapidement qu'il a pu, et à partir de cette minute là, s'est occupé de moi tous les jours de ma convalescence. Il a manqué des cours pour m'amener à l'hôpital ou chez le docteur, m'a conduit matin et soir au travail, en plus de m'amener à mes cours à l'université trois soirs par semaine. A fait les courses (parce que des béquilles l'hiver c'est pas génial génial). Bref m'a chouchouté comme tout.
Et j'ai compris que c'était un mec vraiment génial que j'avais entre les mains, et que j'étais en train de perdre avec mon indécision. Qu'il tenait vraiment à moi, et qu'il saurait comment m'épauler lors de moments difficiles. Et qui sait rester calme lorsque je suis énervée et stressée.
J'ai eu un accident de ski, en 2006. Foulure du ligament du genou. Résultat: ne pas marcher durant un mois, donc impossibilité de conduire mon auto, car c,était la jambe droite qui était touchée.
Lorsque c'est arrivé, en janvier 2006, nous étions en pause, si l,on peut dire. Je ne savais plsu ce que je voulais, et je l'avais mis sur la touche. Ce soir là, je me suis blessée vers 19h00. En arrivant chez moi, avec mes amis, je l'appelle. C'était un samedi soir, et son anniversaire en plus. Je ne l'avais même pas appelé le matin pour lui souhaiter bon anniversaire. Ingrate j'étais.
Enfin, il est venu aussi rapidement qu'il a pu, et à partir de cette minute là, s'est occupé de moi tous les jours de ma convalescence. Il a manqué des cours pour m'amener à l'hôpital ou chez le docteur, m'a conduit matin et soir au travail, en plus de m'amener à mes cours à l'université trois soirs par semaine. A fait les courses (parce que des béquilles l'hiver c'est pas génial génial). Bref m'a chouchouté comme tout.
Et j'ai compris que c'était un mec vraiment génial que j'avais entre les mains, et que j'étais en train de perdre avec mon indécision. Qu'il tenait vraiment à moi, et qu'il saurait comment m'épauler lors de moments difficiles. Et qui sait rester calme lorsque je suis énervée et stressée.