
Je crois que c'est un peu comme pour tout, c'est à dire que quand tu ne peux avoir qu'une chose (un seul conjoint pour la vie), ton instinct de survie te fait faire des concessions, mais que quand tu estimes "avoir le choix", tu veux le meilleur, tout de suite, tu ne veux pas risquer de t'attarder / perdre du temps avec quelqu'un qui ne serait pas the personne parfaite. Alors tu ne fais pas de concessions. Tu as un modèle tout taillé dans ta tête, et tu veux le monsieur qui rentre dedans. Quelque part, je trouve cela dommage, parce que c'est souvent courrir après une chimère...
Et puis il y a aussi cette croyance qu'on peut tout se permettre par amour : je m'explique : il suffit maintenant de dire qu'on aime quelqu'un d'autre que celui avec qui on est pour qu'on est le droit de le quitter, de tout balancer : on ne peut rien dire, parce que c'est l'amour, que l'amour ne se contrôle pas, que l'amour doit être le but ultime. Et tant pis si c'est un béguin de 5 minutes contre une vie de 15 ans...
Le choix est parfois aussi difficile que l'absence de choix,et amène autant de problèmes. La seule différence, c'est le fait d'assumer ses choix. On ne peut être fidèle qu'à soi même, (et encore !) si nous sommes des inconstants, il nous faudra l'assumer.
Et puis il y a aussi cette croyance qu'on peut tout se permettre par amour : je m'explique : il suffit maintenant de dire qu'on aime quelqu'un d'autre que celui avec qui on est pour qu'on est le droit de le quitter, de tout balancer : on ne peut rien dire, parce que c'est l'amour, que l'amour ne se contrôle pas, que l'amour doit être le but ultime. Et tant pis si c'est un béguin de 5 minutes contre une vie de 15 ans...
Le choix est parfois aussi difficile que l'absence de choix,et amène autant de problèmes. La seule différence, c'est le fait d'assumer ses choix. On ne peut être fidèle qu'à soi même, (et encore !) si nous sommes des inconstants, il nous faudra l'assumer.