Vaginales, clitoridiennes, le grand secret

boreale : ça rejoint ce que je disais ;)

MetalWarrior a écrit:

ben la question à se poser c'est
-est ce que les femmes se plaignent d ene pas avoir d'orgasme ou bien est ce les hommes qui voudraient que leur chérie gueule à chaque fois comme si elles atteignaient trois mille mètres d'altitude"?

on en revient à ce que je disais plus ( décidément j'adore me citer!!!lol) le jour où tout le monde accepter que faire l'amour c'ets aps QUE avoir un orgasme, mais c'est prendre du plaisir , en partager, en donner, aimer le contact peau à peau, entendre le souffle de l'autre , frissonner quand sa mein glisse sur la peau, etc....bref tout un tas de sensations agréables , grisantes, qui font que coucher avec quelqu'un est un plaisir renouvelé et non pas une quête absolue du décollage immédiat pour pluton à chaque fois, eh bien tout le monde sera bien avancé.

bilan: ne faites l'amour que quand vous en avez envie, ne vous forcez jamais , soyez sincères, éclatez vous, PROFITEZ!!!!

boreale a écrit:

oublié un mot: à ce que je disais "plus haut".

boreale a écrit:

tout le monde "acceptera"

(non je floode pas je corrige mes fautes...oui je sais on s'en fout mais rahhhh je vais militer pour quo'n puisse éditer nos post!!)

boreale a écrit:

Un peu des deux je suppose, il suffit peut être de ne pas tomber sur celles ou ceux qui representent cet état d'esprit, en selectionnant un peu au besoin ;)

On veut encore nous classifier ? Après rondes, grosses ou obèses, faut qu'on sache si on est vaginales, clitoridiennes, cérébrales ou bonobos ? :lol:

Mais qu'est ce que ça peut faire ? C'est quoi l'intérêt de savoir ça ? Ce qui est important c'est d'éprouver du plaisir à faire l'amour, du plaisir à être avec l'autre, avoir envie de donner et de recevoir, se lâcher complètement... Alors franchement le plaisir il peut venir de n'importe où. Et ce n'est pas parce qu'une fois de temps en temps une femme n'a pas d'orgasme que ça enlève qqchose si toutes les autres conditions sont réunies.

C'est comme cette idée de vouloir atteindre l'orgasme en même temps ! Ben voyons ! Et en 6 minutes 34 par exemple ! :evil:

De même que je ne fais pas l'amour avec une pendule, je ne le fais pas avec un détecteur d'intensité de plaisir analysant avec précision l'origine anatomique de la sensation. J'ai autre chose à penser dans ces moments là.

Quant à la simulation... De temps en temps pourquoi pas ! Une petite baisse de régime, une envie de faire plaisir alors qu'on n'est pas dans le truc... admettons.

Mais si ça devient systématique, non ! Parce que simuler c'est perdre son temps. C'est se consacrer à un but qui n'est pas obligatoire et c'est le meilleur moyen de ne pas l'atteindre. C'est prendre l'autre pour un imbécile. C'est un mensonge. C'est surtout s'empêcher d'éprouver du plaisir un jour, parce que si votre partenaire est persuadé que vous grimpez aux rideaux à tous les coups alors que vous vous récitez la Légende des Siècles en attendant que ça se passe, il n'y aura JAMAIS d'amélioration.

Et s'il y a des choses faciles à simuler, d'autres le sont moins... Personnellement je ne fais jamais semblant... de toutes façons j'ai pas de chance, ça se verrait... :oops:

Patty a écrit:

petit HS (encore que)
1mn 15 : durée du coït humain

je pense qu'effectivement, c'est très difficile. Ca arrive, mais très très très rarement...

1m15 ? J'ai jamais encore rencontré si pressé... :lol:

Je ne comprends pas, moi non plus, le pourquoi du comment de la simulation. Evidemment comme on l'a dit plus haut, si "on" fait ça pour que ça se passe plus vite, autant être franche avec l'intéressé et lui dire qu'on n'a pas envie de câlin ce soir-là.
Je m'embrouille un peu je cherche mes mots...
Simuler n'est pas une manière de faire "avancer" une relation. Je pense que la base de tout c'est le dialogue. Si Jules ne s'y prend pas très bien, pourquoi ne pas le guider tendrement dans ses gestes, ceux qui eux, nous révèleraient vraie à ses yeux, et non pas comme une éternelle simulatrice.
Une relation amoureuse se vit à deux et ne marche pas qu'en un sens, une relation sexuelle aussi... Non ?
Pour ce qui est de l'orgasme vaginal ou clitoridien ? A vrai dire je ne me pose pas cette question, le plaisir vient certainement au moment et à l'endroit où on ne l'y attend pas. A chacune de le découvrir soi-même et/ou accompagnée.
Tendresses,
Bébé

Patty a écrit:

boh c'est comme la quête de l'orgasme absolu: ce n'ets aps une chose à rechercher sytématiqeument je suis à fait d'accord avec toi. ce n'ets pas nécessaire au plaisir, par contre il faut bien reconnaitre que quand tu vois que ton partenaire prend son pied juste au moment où c'est idem pour toi, ça décuple un peu les sensations... Mais ceci dit je répète (oui parce que les malentendus après ça court vite dans toutes les oreilles!!!) que ce n'est pas NECESSAIRE pour obtenir du plaisir ( cf: relire tous mes posts dans ce sujet!!)(lol décidément j'aime beaucoup ce que je dis ce soir, je suis très d'accord avec moi même!!!)(ptdr)

Lil'Kitty a écrit:

Scientifiquement prouvé. Quand le gars commence à... la fille, je parle.

Alors dépassée cette minute quinze, le garçon se retient ? Ca doit être un peu plus variable que ça à mon avis.

boreale a écrit:

tout à fait parcequ'à force de vouloir le cherhcer on n'y est tellement concentrée qu'on n'y arrive pas et LA on doit simuler...ah les filles c'est com-pli-qué :roll:

ben, moi, si je puis me permettre de m'immiscer,
au début (je veux dire mes premières relations sexuelles) ben je simulais systématiquement (pis ça devait pas être trop plausible vu que l'orgasme je savais pas ce que c'était en fait).
C'était dû au fait que je me trouvais anormale de ne rien ressentir, et j'en éprouvais de la honte et je ne pouvais pas en parler, pi j'avais au moins la satsfaction que lui avait du plaisir et et qu'il ne se sentait pas nul de ne pas me donner de plaisir (ça va plus loin que l'orgasme, c'était une absence de plaisir en général, qui d'ailleurs a peu à peu assêché le désir aussi).

Bon, autant vous dire que cette sexualité là ne m'a pas épanouie.
Pi après j'ai commencé à prendre un peu plus confiance en moi et j'ai commencé à être honnête, de parler de ce que je ressentais, de ne plus simuler... mais bon, ça n'a pas vraiment mieux marché.
On a fini par se séparer.

Pi maintenant, j'ai découvert que j'avais un corps qui fonctionnait très bien,
et je n'éprouve plus du tout l'envie de simuler.
Il m'arrive parfois d'en rajouter un peu au début parce que ça m'aide à monter niveau désir & plaisir :oops: ... mais si je sens que ça commence à devenir "faux" j'arrête, j'ai avant tout besoin de me respecter suite à ce que j'ai vécu dans ma première relation.
Bref, pour moi simuler c'était pas pour prendre mon zom pour un beauf ou pour le rassurer, c'était juste par manque de confiance en moi.

pi je suis bien contente d'avoir pu dépasser ça!