60 ans
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Entièrement d'accord avec toi Anne !
Moi je prétends que lorsque l'on est en bonne santé et que l'on se sent bien dans son corps, il est inutile de le "torturer" alors qu'il ne demande qu'à vivre tranquillement !
Récemment mon mari a du être réhospitalisé pour un malaise cardiaque. Il a été vu par une jeune interne d'une trentaine d'années, mince et plutôt mignonne.
Elle a commencé à lui dire qu'il était obèse, que son IMC était très mauvais et qu'il devait perdre AU MOINS 30 kilos (il doit peser 95 kg pour 1,77m) et qu'elle allait lui prescrire un régime sévère.
A ce moment là, une voix mécontente s'est élevée du fond de la chambre et a dit "Si les régimes sévères faisaient maigrir, ça se saurait , et 30 kilos faut quand même pas pousser !" (ben oui, elle avait qu'à me faire sortir la minette ! Elle commençait à me les briser menu avec ses théories à deux balles et son air supérieur).
Haut le corps de la minette qui me répond "mais ça se sait !"
Je lui ai donc demandé sur quoi elle s'appuyait pour affirmer ça et quel était le pourcentage de gens qui avaient maigri avec des régimes sévères sans jamais reprendre du poids. Il y a eu comme une lueur d'affolement dans son regard... Et elle m'a juste dit "de toutes façons dans le cas de votre mari, c'est mieux !"
Je lui ai donc demandé pourquoi c'était mieux, étant donné les taux de glycémie, cholestérol et triglycérides de mon mari étaient tout à fait normaux. Elle m'a répondu "pour son coeur" !
Mmmmmoui... Un peu faiblard comme réponse. Je lui ai donc dit que j'aurais compris qu'elle lui donne des conseils d'hygiène alimentaire et qu'elle lui conseille une activité physique adaptée à sa pathologie, mais que lui parler de son IMC et lui imposer un régime sévère ne ferait pas avancer le schmilblick et qu'il existait d'autres méthodes moins contraignantes et tout aussi efficaces.
Air plus que sceptique de la demoiselle qui n'a même pas daigné me répondre, sauf que je ferais bien de suivre le même régime que mon mari... J'ai coupé court à la conversation, j'ai été bien élevée par ma maman qui m'a dit qu'il ne fallait pas être grossière... :twisted:
J'ai donc appliqué mes méthodes à mon mari quand il est rentré à la maison (et ce n'est pas vraiment facile avec un amateur de glace vanille chantilly à haute dose) et il se trouve qu'il rentre maintenant dans un pantalon qui était devenu trop petit...
Alors voici mon message pour pas mal de médecins :
Maigrir n'est pas obligatoire, c'est un choix ! ! Si nous n'avons pas de problème de santé particulier, laissez nous être bien avec notre corps et cessez de nous culpabiliser inutilement !
Et quand Maigrir devient obligatoire pour des raisons de santé, faites attention à la façon dont vous présentez les choses et aux méthodes que vous préconisez !
Moi je prétends que lorsque l'on est en bonne santé et que l'on se sent bien dans son corps, il est inutile de le "torturer" alors qu'il ne demande qu'à vivre tranquillement !
Récemment mon mari a du être réhospitalisé pour un malaise cardiaque. Il a été vu par une jeune interne d'une trentaine d'années, mince et plutôt mignonne.
Elle a commencé à lui dire qu'il était obèse, que son IMC était très mauvais et qu'il devait perdre AU MOINS 30 kilos (il doit peser 95 kg pour 1,77m) et qu'elle allait lui prescrire un régime sévère.
A ce moment là, une voix mécontente s'est élevée du fond de la chambre et a dit "Si les régimes sévères faisaient maigrir, ça se saurait , et 30 kilos faut quand même pas pousser !" (ben oui, elle avait qu'à me faire sortir la minette ! Elle commençait à me les briser menu avec ses théories à deux balles et son air supérieur).
Haut le corps de la minette qui me répond "mais ça se sait !"
Je lui ai donc demandé sur quoi elle s'appuyait pour affirmer ça et quel était le pourcentage de gens qui avaient maigri avec des régimes sévères sans jamais reprendre du poids. Il y a eu comme une lueur d'affolement dans son regard... Et elle m'a juste dit "de toutes façons dans le cas de votre mari, c'est mieux !"
Je lui ai donc demandé pourquoi c'était mieux, étant donné les taux de glycémie, cholestérol et triglycérides de mon mari étaient tout à fait normaux. Elle m'a répondu "pour son coeur" !
Mmmmmoui... Un peu faiblard comme réponse. Je lui ai donc dit que j'aurais compris qu'elle lui donne des conseils d'hygiène alimentaire et qu'elle lui conseille une activité physique adaptée à sa pathologie, mais que lui parler de son IMC et lui imposer un régime sévère ne ferait pas avancer le schmilblick et qu'il existait d'autres méthodes moins contraignantes et tout aussi efficaces.
Air plus que sceptique de la demoiselle qui n'a même pas daigné me répondre, sauf que je ferais bien de suivre le même régime que mon mari... J'ai coupé court à la conversation, j'ai été bien élevée par ma maman qui m'a dit qu'il ne fallait pas être grossière... :twisted:
J'ai donc appliqué mes méthodes à mon mari quand il est rentré à la maison (et ce n'est pas vraiment facile avec un amateur de glace vanille chantilly à haute dose) et il se trouve qu'il rentre maintenant dans un pantalon qui était devenu trop petit...
Alors voici mon message pour pas mal de médecins :
Maigrir n'est pas obligatoire, c'est un choix ! ! Si nous n'avons pas de problème de santé particulier, laissez nous être bien avec notre corps et cessez de nous culpabiliser inutilement !
Et quand Maigrir devient obligatoire pour des raisons de santé, faites attention à la façon dont vous présentez les choses et aux méthodes que vous préconisez !