Ne pas s'interresser aux problèmes de nos proches....

Tout dépend quelles affinités j'ai avec la personne. Si c'est quelqu'un que je cotoie souvent et avec qui je partage de bons moments, j'écoute et j'essaie de le conseiller au mieux.
Maintenant si c'est quelqu'un avec qui on ne s'échange qu'un bonjour et un au revoir, je serai un peu plus indifférente face à ses problèmes, aprés tout dépend de la nature du problème car il y a aussi des sujets qui me tiennent à coeur.
J'ai tendance à m'adapter à la personne qui est en face de moi, tout en faisant passer tout de même ce que je pense.

Pareil que Westie, ça dépend des affinités que j'ai avec la personne... Mais parfois quand on est déprimée, je pense qu'on est moins à même d'écouter les problèmes des autres parce qu'on et déjà assez déprimé avec les notres... Mais ce n'est pas du pur égoisme pour moi, c'est juste que le vase déborde et qu'on ne sait plus où donner de la tête.

Ben comme mes deux predecesseurs , ca depend de mon effiites que j'ai avec eu . Mais si de mon cote j'ai des soucis en meme temps ca sera mes priorites et le voisin je le laisse de coté .

Si la personne a toujours des problèmes, si elle est incapable de se prendre en charger, qu'elle ne fait que se plaindre sans essayer de trouver des solutions, si je parle dans le vide en expliquant que tout peut changer, que rien n'est irrémédiable, et si la personne se complaît dans ses ennuis, alors oui, je ne fais rien du tout et sans regret.

Je sais, certains trouvent ça très peu sympathique, allant même jusqu'à dire que je suis égoïste et insensible, mais bon, c'est comme ça.

En revanche, si la personne a de réels problèmes et qu'elle veut s'en sortir mais vraiment pas pour de rire, alors là je serais là.

C'est pas de l'insensibilité, c'est de la logique ;)

Les amis, c'est bien, mais tu vas quand-même pas faire caca à leur place, les aider à s'en sortir oui, mais seulement s'ils y mettent un minimum de volonté, sinon, c'est pas la peine, on a déjà assez de ses propres problèmes, c'est pas pour s'encombrer de ceux qui ne comptent que sur les autres pour s'en sortir...

Etant une prsonne tres famille il est claire je suis sensible à leurs problemes. Et comme c ma famille je suis directement impliquer et concerner. Et comme je le dis toujours on ne sais pas de quoi est fais demain, alors si un de mes proche a besoinde moi je tend ma main sans pensée.
Mais pour ce qui est des "ami(e)s" la je suis un peu plus distante, j'aide si on mele demande mais si je vois qu'il y a profit ( du style g besoin de toi qd je v mal mais qd toi tu vas mal je suis pas la) alors la, je les laisse dans leurs merde.
Avec moi c simple soit c noir soit c blanc je n'aime pas les nuances sauf dans l'art!!

Tiens, je fais pas de distinction famille/amis/autres, chez moi, y a trois types de gens :

- ceux que j'aime

- ceux que j'aime pas

- ceux dont je me fous éperduement

Et pour être honnête, je crois que sorti de ma mère, la plupart des membres de ma famille sont dans les deux dernières catégories :P

Devilman a écrit:



merde c'est encore la honte je pense comme l'homme mechant qui a repondu avant!


:D
Emma

francheùent fut un temps je m'y onteressait beaucoup,maintenant après tout ce qu'ils m'ont fait subir et après tous les coups de pieds au cul que j'ai reçu de leur part, je m'en fiche complêtement
parcontre je peux très bien avoir de la compation pour des personnes qui ne me sont pas proches,sinon je ne pense pas que j'aurai pu faire le métier que j'avais avant, garde malade (gouvernante comme ils disent au luxembourg 8) :P )

Ce n'est pas la honte, tu sais, on peut avoir des points commun, on mange, on boit de l'eau, on fait pipi/caca, bref y a forcément un moment où on finit par se rejoindre, et se rejoindre sur des idées, c'est quand même plus noble que de se rejoindre sur les simples fonctions primaires, non ? :D

Il m'est impossible de ne pas m'intéresser aux problèmes de mes proches quand ils m'en font part.

En effet, quand je suis proche de qqn je veux être là quand il y a un problème. D'abord par mon écoute et si je peux agir et qu'on me le demande je le fais.

Les proches qui ont peu de volonté je suis là aussi car je me dis que peut-être moi aussi un jour je ne serai pas exempt de tout reproche.

Je vois rarement d'autres personnes que mon zom et sa famille du coup quand je vois quelqu'un d'autre j'avoue que ça me gave un peu que ce soit pour entendre la personne se plaindre. :oops:
J'évite moi-même de le faire parce que je souhaite passer un agréable moment même si sortie de cet entracte je me retrouve le nez dans mes problèmes.
Sinon sinon... avant de vivre comme je vis actuellement j'écoutais beaucoup les gens et j'avais un très fort désir de les aider.
A présent j'aimerais que tout le monde fasse comme moi: faire semblant d'être heureux juste histoire de faire une pause dans toute cette merdasse.

Egoïste? Peut-être mais il arrive un moment où il faut commencer à l'être si on veut avoir une petite part de vie.

Bonjour!

Ca dépend comme dirait l'autre de la proximité... La famille que ce soit du côté paternel ou maternel ne valent pas mieux l'une que l'autre... Donc, on passe!
Ensuite, les amis, ça se compte sur les doigts de la main. On va plutôt dire que j'ai des connaissances, on se donne des nouvelles, et on parle pas vraiment de personnel, juste d'études ou de boulot, et y'a pas de quoi s'investir à fond, donc ça reste des conseils.
Mes deux vrais amis, l'un est mon confident et il me conseille. Ils s'intéressent à mes problèmes plus personnels, ils y pensent et m'aident quand il peut ou me donne un avis, mais je ne crois pas que ça l'empêche de dormir. Il existe une juste mesure dans notre relation :)
L'autre on est plus complices, parcours pas simples, voire certains diraient difficiles, mêmes délires, mêmes envies et dans un cetain sens plus proche, donc quand l'un est à un problème, l'autre accuse un peu le coup :roll:
La famille, ça ne m'empêche pas de vivre quand c'est des questions où ils se prennent la tête pour une question de fric, c'est du blabla pour moi, ça m'empêche pas de vivre et ça passe. La santé, quand ça touche mes parents ou grands parents, y'en a gros sur la patate forcément... :( Les autres, je m'en fous, puisqu'ils se fichent de moi... La réciprocité ça a du bon 8)
Par contre, quand ma mère va mal, déprime, se prend la tête avec mon père, avant j'étais une vraie éponge, je prenais tout pour moi et j'essayais de trouver une solution, prenait fait et cause pour ma mère, etc GROSSE ERREUR! :? J'ai su voir que ça me bouffait de l'intérieur et que ça me prenait tellement la tête que j'avançais plus. Quand on a 17 ans, généralement, on pense à autre chose non? Pour caricaturer, me prenait un peu pour Zorro, voulant à tout prix trouver une solution pour que ça aille mieux, allant même pas croire que certains problèmes existaient à cause de moi! J'ai dit STOP! J'ai appris à prendre de la distance au fur et à mesure, à prendre acte de la situation, à dire juste mon avis, à voir que c'est difficile pour ma mère mais que je n'y pouvais rien, donc inutile de ronger son frein. Je suis devenue une sorte de témoin plus ou moins actif suivant la situation. Je donne ma vie quand il est demandé ou utile, mais point barre! On a qu'une vie, et les problèmes des parents n'ont pas à interférer dans la vie de leurs enfants. Ils me demandaient d'être l'arbitre du couple, de leurs problèmes. Ils sont toujours en demande de cela quelque part, mais maintenant, je reste là quand je n'ai pas le choix, en public, j'essaie de les calmer au mieux, ou alors je m'en vais, comme à la maison. Je me préserve du mieux que je peux.

Voilà!

(Décidémment, je fais long depuis que je suis de retour sur VLR... :? J'espère ne point trop vous ennuyer à étaler ma vie, mais si je le fais, c'est que je dois en avoir besoin, car habituellement, j'évite pour ne pas ennuyer les gens avec des problèmes qui ne les concerne pas, surtout s'ils ont déjà les leurs et qu'ils ne peuvent rien pour moi généralement :roll: )

Bonne journée! :twisted:

en fait je me préoccuppe toujours de ce qu'ont mes proches. c'est con à dire, mais je ne suis pas tranquile tant que je ne suis pas sure que ca va.