L'alcool : pourquoi on n'en parle pas ?

Moi je suis pour axer d'avantage sur la prévention.

Toutefois, en France nous nous situons dans un reél paradoxe où notre pays est producteur de vins de qualité (c'est notre image de marque pour certains pays étrangers) et "le non dit" sur sa consommation ( parfois excessive). L'alccol est un plaisr pour certains mais aussi une forme de protection pour d'autres. La personne alcoolique ne reconnaitra jamais que sa consommation est excessive et trouvera des moyens détournés de dire: "Ben moi de tte façon c'est juste une verre"....oui mais à tous les repas !!! Ca me fait penser à cette fameuse campagne de prévention d'ailleurs où l'on voit des amis accuser les'autres d"etre alcoolique et de nier son propre comportement d'addiction.

Je ne sais pas si il y a eu une étude de faite suite à ce message de prévention de l'alcoolisme ....

j'ai répondu autres car a mon sens differents facteurs interviennent
-du point de vue économique bien trop de monde aurait a y perdre a supprimer les boissons alcoolisées.en1er lieu l'Etat mais aussi les producteurs,les vendeurs, les restaurateurs qui font une bonne partie de leur chiffre la dessus,etc etc....
- peu de prevention
-les dangers de l'alcool sont assez mal perçus car les dommages collatéraux ,hormis les accidents provoqués par des conducteurs saouls ,sont difficilement evaluables
- boire un petit coup en France où l'on produit des vins merveilleux ...c'est dans les moeurs.

En plus difficile il semble très difficile d'interdire l'alcool car ce n'est pas l'alcool ne lui meme qui est mauvais, c'est le mauvais usage qu'en font certains (consommation abusive ponctuel ou régulière, qui est nocif .

pas grand chose à rajouter après triss (comme toujours ;) ), je crois aussi que l'alcool fait vraiment parti de la culture française, comme la bonne bouffe... difficile de changer ça, même pour des raisons de santé...

je trouve pourtant les campagne de sensibilisation pas si mal (celle où chacun accuse l'autre d'avoir un problême avec l'alcool, notamment)... Mais il y a une sorte d'hypocrisie dans tout çà, on fait de la prévention d'un côté, et on ne bouge pas de l'autre, un peu comme pour le tabac par le passé.