60 ans
91
25732
C'est une excellente question...
Souvent les risques sur le plan psychologique de certaines maladies sont hyper connus et pourtant les médecins ne proposent aucun accompagnement, partant du principe que c'est au patient de le demander. Dans la plupart des cas, le patient n'est même pas informé des troubles possibles.
Sauf que dans certaines maladies, et tu l'expliques très bien, le patient n'est pas en mesure de demander de l'aide. Il se contente de subir les changements, sans les comprendre, surtout si on ne lui en a jamais parlé. Il ne s'en rend parfois même pas compte car le changement est progressif. De plus, préoccupé par le côté pathologie "physique" (consultations, examens, médicaments, analyses...) le patient oublie le côté psychologique.
Je pense aussi que dans le cas de beaucoup de maladies, on devrait déjà prévenir le patient de ce qui peut lui arriver, lui expliquer les signes avant coureurs afin qu'il ait le temps d'agir avant qu'il ne soit trop tard, voire proposer un suivi psy pour voir si tout évolue normalement où s'il faut intervenir.
Malheureusement, nous n'en sommes pas encore là...
Souvent les risques sur le plan psychologique de certaines maladies sont hyper connus et pourtant les médecins ne proposent aucun accompagnement, partant du principe que c'est au patient de le demander. Dans la plupart des cas, le patient n'est même pas informé des troubles possibles.
Sauf que dans certaines maladies, et tu l'expliques très bien, le patient n'est pas en mesure de demander de l'aide. Il se contente de subir les changements, sans les comprendre, surtout si on ne lui en a jamais parlé. Il ne s'en rend parfois même pas compte car le changement est progressif. De plus, préoccupé par le côté pathologie "physique" (consultations, examens, médicaments, analyses...) le patient oublie le côté psychologique.
Je pense aussi que dans le cas de beaucoup de maladies, on devrait déjà prévenir le patient de ce qui peut lui arriver, lui expliquer les signes avant coureurs afin qu'il ait le temps d'agir avant qu'il ne soit trop tard, voire proposer un suivi psy pour voir si tout évolue normalement où s'il faut intervenir.
Malheureusement, nous n'en sommes pas encore là...