49 ans
Belgique - Ardennes
197
J'ai allaité après trois mois, pour les 3...
J'ai arrêté parce que je n'avais plus assez de lait (chute libre de ma "production" avec le retour de couches), que les entendre pleurer de faim me fendait le coeur, que je suis passée à l'alimentation mixte, et à chaque fois, en 1 semaine, ils ne voulaient plus que le biberon...
Pour l'aîné, un p'tit coup de blues 1 semaine, puis, bon on voulait d'autres enfants, il allait bien, donc ça a été.
Pour le second, plus dur... j'ai mis un mois à passer à autre chose dans ma tête, j'avais pas le moral, impression de démissioner, d'être "mauvaise mère", de ne pas assurer. Puis de voir le plaisir du papa à donner le biberon, ça a aidé.
Pour le troisième, j'appréhendais, car c'est normalement le dernier, donc la dernière fois que j'allaitais. Ben non, aucun problème!
Je crois que c'est parce que j'étais beaucoup plus fatiguée, prise par les deux grands et aussi quelque part parce que mon désir de maternité était comblé, que j'ai développé un autre rapport à mes enfants.
La fin de l'allaitement a donc été beaucoup plus zen pour le p'tit dernier...
Pour résumé, je crois que j'ai eu "ma dose" même si j'ai adoré allaîter!
J'ai arrêté parce que je n'avais plus assez de lait (chute libre de ma "production" avec le retour de couches), que les entendre pleurer de faim me fendait le coeur, que je suis passée à l'alimentation mixte, et à chaque fois, en 1 semaine, ils ne voulaient plus que le biberon...
Pour l'aîné, un p'tit coup de blues 1 semaine, puis, bon on voulait d'autres enfants, il allait bien, donc ça a été.
Pour le second, plus dur... j'ai mis un mois à passer à autre chose dans ma tête, j'avais pas le moral, impression de démissioner, d'être "mauvaise mère", de ne pas assurer. Puis de voir le plaisir du papa à donner le biberon, ça a aidé.
Pour le troisième, j'appréhendais, car c'est normalement le dernier, donc la dernière fois que j'allaitais. Ben non, aucun problème!
Je crois que c'est parce que j'étais beaucoup plus fatiguée, prise par les deux grands et aussi quelque part parce que mon désir de maternité était comblé, que j'ai développé un autre rapport à mes enfants.
La fin de l'allaitement a donc été beaucoup plus zen pour le p'tit dernier...
Pour résumé, je crois que j'ai eu "ma dose" même si j'ai adoré allaîter!