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Pour ce sui ne saurait pas ce qu'est l'hyperphagie nocturne, voilà la définition que l'ontrouve à cette adresse : http://www.gros.org/pagesgros/tca.html#Ancrebed
Citation:
L'hyperphagie nocturne: Albert Stunkard, un psychiatre américain, décrit en 1955, sous le nom de "Night eating syndrome", un comportement consistant en un besoin impérieux de manger au cours de la nuit. L'individu se réveille régulièrement au milieu de la nuit et ne peut se rendormir qu’après avoir absorbé une copieuse collation, souvent ingurgitée dans un demi-sommeil. Le lendemain matin, il ne lui reste que des souvenirs imprécis de ce qu’il aura consommé durant l’épisode nocturne.
Il n'est pas rare que la personne souffre aussi de troubles du sommeil: somnambulisme, apnée obstructive du sommeil.
On peut comprendre cette conduite comme un abandon du contrôle favorisé par le relâchement nocturne. Toute la journée, l'individu contrôle son comportement alimentaire; ce contrôle se trouve mis en échec durant la nuit.
On a aussi noté divers troubles neuroendocriniens associés à l'hyperphagie nocturne, qui sont autant de voies de recherches: élévation amoindrie du taux de leptine nocturne et de mélatonine, augmentation du cortisol plasmatique.
D'autres éléments de compreéhenssion ici : http://www.boulimie.com/fr/hyperpha.htm
J'ai aussi trouvé cet réponse d'apfeldorfer à la question "Comment arrêter de manger la nuit ?" : http://www.psychologies.com/cfml/qr/c_qr.cfm?id=3122
Citation:
Peu-être devrait tu contacter l'association Gros et rencontrer un de leur thérapeute :)
Citation:
L'hyperphagie nocturne: Albert Stunkard, un psychiatre américain, décrit en 1955, sous le nom de "Night eating syndrome", un comportement consistant en un besoin impérieux de manger au cours de la nuit. L'individu se réveille régulièrement au milieu de la nuit et ne peut se rendormir qu’après avoir absorbé une copieuse collation, souvent ingurgitée dans un demi-sommeil. Le lendemain matin, il ne lui reste que des souvenirs imprécis de ce qu’il aura consommé durant l’épisode nocturne.
Il n'est pas rare que la personne souffre aussi de troubles du sommeil: somnambulisme, apnée obstructive du sommeil.
On peut comprendre cette conduite comme un abandon du contrôle favorisé par le relâchement nocturne. Toute la journée, l'individu contrôle son comportement alimentaire; ce contrôle se trouve mis en échec durant la nuit.
On a aussi noté divers troubles neuroendocriniens associés à l'hyperphagie nocturne, qui sont autant de voies de recherches: élévation amoindrie du taux de leptine nocturne et de mélatonine, augmentation du cortisol plasmatique.
D'autres éléments de compreéhenssion ici : http://www.boulimie.com/fr/hyperpha.htm
J'ai aussi trouvé cet réponse d'apfeldorfer à la question "Comment arrêter de manger la nuit ?" : http://www.psychologies.com/cfml/qr/c_qr.cfm?id=3122
Citation:
La solution ne consiste ni à augmenter la restriction le jour et tromper sa faim avec des aliments peu nourrissants (ce qui conduit plutôt à succomber la nuit) ni en la prise de somnifères et de tranquillisants, qui souvent aggravent les choses, ni à cadenasser son frigo…
Si on veut que les choses se passent bien la nuit, c’est de sa vie diurne dont il faut s’occuper. Deux domaines doivent être pris en considération : tout d’abord, il convient d’apprivoiser les aliments, de devenir capable de manger de TOUT sans culpabilité et sans angoisse de grossir. Une thérapie cognitivo-comportementale centrée sur le comportement alimentaire est le plus souvent nécessaire pour y parvenir.
Il faut aussi prendre en considération les difficultés de relation, l’anxiété permanente, l’état de stress, de dépression, qui exacerbent souvent les compulsions nocturnes.
Voir un psy est donc une bonne idée, mais il vaut mieux consulter un psychiatre ou un psychologue clinicien qui ont une compétence dans la prise en charge des troubles du comportement alimentaire.
Si on veut que les choses se passent bien la nuit, c’est de sa vie diurne dont il faut s’occuper. Deux domaines doivent être pris en considération : tout d’abord, il convient d’apprivoiser les aliments, de devenir capable de manger de TOUT sans culpabilité et sans angoisse de grossir. Une thérapie cognitivo-comportementale centrée sur le comportement alimentaire est le plus souvent nécessaire pour y parvenir.
Il faut aussi prendre en considération les difficultés de relation, l’anxiété permanente, l’état de stress, de dépression, qui exacerbent souvent les compulsions nocturnes.
Voir un psy est donc une bonne idée, mais il vaut mieux consulter un psychiatre ou un psychologue clinicien qui ont une compétence dans la prise en charge des troubles du comportement alimentaire.
Peu-être devrait tu contacter l'association Gros et rencontrer un de leur thérapeute :)