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Mon histoire d'adoption-L'opposition entre moi et la famille

N
39 ans Paris 2
Je suis un orphelin et un déraciné, J'ai été adopté étant enfant vers 7ans,adopté par une famille qui m'impose une éducation contraire aux traits les plus profonds de ma nature  
originelle qui vient de l'Asie. Cette nature fait de moi un être fin.., mais aussi fier, rebelle, secret, prêt à m'abandonner mais aussi à me refermer farouchement.
Resté en Asie avec ma famille de sang dans la pauvreté et la survie au quotidient, j'aurais pu même devenir un homme, un gay content de vivre comme je veux pour l'amitié et le plaisir, sans avoir à subir la honte de me soumettre aux pulsions des pervers du sexe. Ma nature originelle, existe toujours bien en moi, elle n'a pas été détruite par ma venue en France. L' adoption catastrophique contraire à ma personnalité. Mais elle a été blessée, meurtrie définitivement, ce sont des blessures profondes, pas mortelles pour le corps tout à fait (car je survis physiologiquement), mais presque mortelles pour l'âme pour ma conscience. D'où mon besoin de détruire cette âme… mon âme blessé.
La famille au fond monstrueuse d'inintelligence de la vie et de la nature profonde, je n'ai pas eu près de moi une mère assez saine, aimante, désintéressée, pour me faire aimer, admirer pleinement les femmes, avec mon âme et mon corps (le sexe dans ce qu’il a de naturel, de normal, de sain ) ; je n'ai pas davantage eu un père solide, intelligent, qui m'ouvre à mon avenir viril par une formation qui me donne un métier et plus de force de caractère.
Leurs filles biologique ont eu un comportement malsain à mon égard aussi, faisant de moi un souffre-douleur, un jouet…
A mon avis la famille adoptif à complètement raté sa mission, celle du devoir d’insertion. Non elle a voulu de force m’inculquer ses pratiques religieuses. J’attendais respect, amour et tolérance. J’ai eu droit à des obligations rituelles. On ne m’as pas demandé ce qu’il j’attendait ; on ne s’est pas inquiété de mon ressenti. Ils m'ont transmis des valeurs et des principes que j'apprécie. Ils auraient aimé que je les aimes à leur facon, mais je ne voulais pas et je ne pouvait pas.
La religion m'a fait du mal, parce que ce fut UNE religion éttoufante et qui nie la vie, ce qui est vivant en moi et autour de moi
Bref, mon démarrage dans la vie, en France, est assez catastrophique, (sauf pour ce qui est des toute premières années passées en Asie (et aussi les meilleurs moments de mon séjour en Thaïlande plus tard..)). Ce démarrage raté divise ma conscience, divise mon comportement et m'interdit un comportement et des choix cohérents et durables. Il m'interdit tout attachement de longue durée, car j'aurais peur de retrouver… de retrouver l'atroce attachement affective.
Mon homosexualité, je ne peux pas la rejeter, la nier, mais je la vis mal car elle me permet rarement de m'affirmer sans avoir le sentiment que les personnes que j'attires, à qui je plais, sont ambiguës, malsaines, qu'elles ne veulent que posséder mon corps comme un pur objet sexuel. Je pense qu’on ne doit pas avoir avec moi la même démarche qu’avec un enfant biologique. Je ne suis pas leur enfant, de 0 à 7 ans j’ai vécu hors de leur foyer, j’ai mon histoire même si je suis incapable de l’exprimer. Cette histoire est en moi, elle a forgé mon caractère, c’est mon passé. Je suis en droit d’attendre autre chose des aides sociales, un autre traitement, une autre écoute que celle qu’on accorde à enfant porté et
élevé par sa mère. Je ne dois pas être considéré comme un enfant qui a des problèmes dans sa famille. Cette famille n’est pas ma famille mais seulement ma famille adoptive.
Combien de fois j’ai eu le doute et l’incertitude de ce que j’étais réellement., je fus prêt à m’abandonner au désespoir.
Que faire alors maintenant avec tout ce passé, de mes reffoulements, de mes emprises qui me colle à la peau et à mon âme, à ma conscience ?
Mon révolte et ma haine après tout ce que j'ai as vécu dans mon enfance et mon adolescence en France sont des sentiments et des émotions qui me sont très perturbatrices, très traumatisantes ; je veux dire par là que ce sont des états de tension extrême qui m’empêchent d’accéder au bonheur, qui installent en moi une « vision » d’autrui plus sombre, plus noire que la réalité présente ; je finis ainsi par projeter, sans même m’en rendre compte, sur les hommes et les femmes positifs, bienveillants, désintéressés, ce pessimisme et ce dégoût qui m’habitent et me font mal pourtant déjà
Ma façon de dissimuler les choses, de les cacher, s'explique par mon passé, ma mauvaise éducation en France, et certainement des rencontres qui ne m'ont pas fait du bien (refoulements, blocages- ça rend toujours difficile de m'établir dans une relation profonde, durable) Il y des frustrations violentes, profondes en moi, qui font que tu je ne peux m’aborder et me recevoir qu’avec cette âme noire en moi, ténébreuse, alors même que je rêves du contraire : un amour désintéressé je suis, comme peuvent l’être l’affection et l’amitié véritables dans la vie…)
je suis obligé et c est devenue un devoir de me caché pour etre accepté. Je conserve mon jardin secret non compatible. Mon resultat de mon être est devenu comme insaisissable dans mon comportement, je ne sait plus par quel bout me prendre, ni comment on va me retrouver la fois prochaine ! Je suis tourmenté dans ma tête. Toutes mes pensées me donnent l’impression, la sensation de ne plus avoir l’énergie de continuer. Je me démène sans arrêt à trouver des pistes et créer dans ma tête l’illusion d’une vie magnifique, cette vie ailleurs loin de la France, loin de l'adoption, des soucis de ma différence…la vie d’avant. J’aime mon origine. Avant ma vie n’était pas bof et nulle. Maintenant j’ai la haine qui me ronge doucement comme un cancer incurable et je devrai apprendre à vivre avec.Mon resultat de mon être est devenu comme insaisissable dans mon comportement, je ne sait plus par quel bout me prendre, ni comment on va me retrouver la fois prochaine ! Pourquoi ma vie fut elle si débile ? Vais je réussir à me dé condamné de cette vie réduite…L’échec est une bonne chose pour moi mais ma douleurs y demeure bien. Je ne sais plus si ma vie est interrompu ou bien si elle existe toujours. Mes souffrances sont beaucoup mieux atténué. Je me demande si tous ces geste d’amours qui m’ont été donné par la suite de l’adoption on été utiles pour que je puisse me construise .Aurai- je pas été mieux sans ce cheminement avec cette famille ? /////////////
Aujourd’hui mon cœur est serré de détresse, mon âme affaissée par les ennuis, mon imagination effarouchée. J’ai la tête troublée par mes mystères dont je suis souvent environné. Toutes mes facultés ce trouvent affaiblies par mes emprises, par ma vie et par mes angoisses. Tout ceci me donne des raisons d’être malheureux.Celui qui me voit souriant, chantant, vivant comme un jeune homme qui pete la forme a du mal à me comprendre quand parfois je redeviens l’être tourmenté, pétri de souffrance, de haine, de rage. Cette souffrance qui resurgit de mon âme me transforme et me rend incompréhensible et a pour résultats une réaction épidermique de colère contre moi. Alors j’irrite les autres car, comme tout ce qu’on ne comprend pas énerve, cela entraîne des crises, des engueulades jusqu’à ce qu’on me comprenne, qu’on admette que je ne suis pas un ado ordinaire mais un écorché vif qui se bat sans cesse pour survivre derrière ces sourires qui ne me servent qu’à dissimuler mes détresses.
Bonjour,En cherchant des temoignages sur l'adoption je suis tombé ici. Je me présente, je suis un garçon, j'ai 21 ans, j'ai du être placé à la DASS à 15ans. Après comme vous l'aurez sûrement compris je souffre... et que j'ai été confronté, moi et la famille adoptif d'une adoption raté. J'ai rédigé mlon histoire comme un journal intime. J'ai mis mes textes les plus important. J'ai essayé de rédiger mon texte soft de mes propos et d'etre le plus court possible ! C'est tellement long...
Pour ceux qui souhaite me poser des questions et à ceux à qui sa fâche, n'hésiter pas à me le faire savoir et à me contacter
Cordialement
39 ans marseille 2582
j'avais écrit un message mais j'ai eu un bug et tou s'st effacé...

Je voulais juste te dire qu'il va falloir que tu fasse un long travail d'acceptation de toi même mais qu'on sera là pour t'aider si tu le souhaite, car on connait ce genre de problèmes... :?

J'espère te relire bientot sur le forum :kiss:
H
37 ans Paris 39
Coucou,

Je dirai comme fannydusud c'est a dire un long travail sur sois, je pense que nous faisons, ici, tous un travail sur nous meme, une acceptation de sois et du regard des autres pas toujours evident ! Ton histoire est poignante et on sera la pour toi !

Au plaisir de te lire et qui sais de peut etre t'aider dans ce chemin
N
39 ans Paris 2
Bonjour, je viens vous partager mon vécu et mon analyse de mon histoire.. Un travail énorme sur moi même depuis mon départ.. En aucun cas j'essaie de dire que l'adoption est mauvais... Just informer mon la finalité de se que je suis et du résultat...

Je suis un orphelin et un déraciné, J'ai été adopté étant enfant vers 7ans,adopté par une famille qui m'impose une éducation contraire aux traits les plus profonds de ma nature originelle qui vient de l'Asie. Cette nature fait de moi un être fin.., mais aussi fier, rebelle, secret, prêt à m'abandonner mais aussi à me refermer farouchement.
Resté en Asie avec ma famille de sang dans la pauvreté et la survie au quotidient, j'aurais pu même devenir un homme, un gay content de vivre comme je veux pour l'amitié et le plaisir, sans avoir à subir la honte de me soumettre aux pulsions des pervers du sexe. Ma nature originelle, existe toujours bien en moi, elle n'a pas été détruite par ma venue en France. L' adoption catastrophique contraire à ma personnalité. Mais elle a été blessée, meurtrie définitivement, ce sont des blessures profondes, pas mortelles pour le corps tout à fait (car je survis physiologiquement), mais presque mortelles pour l'âme pour ma conscience. D'où mon besoin de détruire cette âme… mon âme blessé.
La famille au fond monstrueuse d'inintelligence de la vie et de la nature profonde, je n'ai pas eu près de moi une mère assez saine, aimante, désintéressée, pour me faire aimer, admirer pleinement les femmes, avec mon âme et mon corps (le sexe dans ce qu’il a de naturel, de normal, de sain ) ; je n'ai pas davantage eu un père solide, intelligent, qui m'ouvre à mon avenir viril par une formation qui me donne un métier et plus de force de caractère.
Leurs filles biologique (dont une anorexique) ont eu un comportement malsain à mon égard aussi, faisant de moi un souffre-douleur, un jouet… A mon avis la famille adoptif à complètement raté sa mission, celle du devoir d’insertion. Non elle a voulu de force m’inculquer ses pratiques religieuses. J’attendais respect, amour et tolérance. J’ai eu droit à des obligations rituelles. On ne m’as pas demandé ce qu’il j’attendait ; on ne s’est pas inquiété de mon ressenti. ’’. Ce fut pour moi une torture quotidienne à quoi, compte tenu de mon âge je répondais avec candeur par des sourires que l’on prenait trop vite pour des acceptations. Quelle erreur! La seule solution pour moi restait la fuite. Ces années passées dans cette funeste famille m’ont déstructuré au point que les tentatives de scolarisation furent des échecs répétés. J’avais évidemment des problèmes de relation avec les garçons du milieu scolaire. Des quolibets, des injures à connotation racistes, des vexations à tel point que pour une fois j’aurais souhaité avoir des parents normaux qui s’affirment pour que l’on me laisse en paix.

Ils m'ont transmis des valeurs et des principes que j'apprécie. Ils auraient aimé que je les aimes à leur facon, mais je ne voulais pas et je ne pouvait pas.
La religion m'a fait du mal, parce que ce fut une religion idiote, omnipresent et qui nie la vie, ce qui est vivant en moi et autour de moi
Bref, mon démarrage dans la vie, en France, est assez catastrophique, (sauf pour ce qui est des toute premières années passées en Asie (et aussi les meilleurs moments de mes séjours en Thailand plus tard..)). Ce démarrage raté divise ma conscience, divise mon comportement et m'interdit un comportement et des choix cohérents et durables. Il m'interdit tout attachement de longue durée, car j'aurais peur de retrouver… de retrouver l'atroce attachement affective.
Mon homosexualité, je ne peux pas la rejeter, la nier, mais je la vis mal car elle me permet rarement de m'affirmer sans avoir le sentiment que les personnes que j'attires, à qui je plais, sont ambiguës, malsaines, qu'elles ne veulent que posséder mon corps comme un pur objet sexuel. Je pense qu’on ne doit pas avoir avec moi la même démarche qu’avec un enfant biologique. Je ne suis pas leur enfant, de 0 à 7 ans j’ai vécu hors de leur foyer, j’ai mon histoire même si je suis incapable de l’exprimer. Cette histoire est en moi, elle a forgé mon caractère, c’est mon passé. Je suis en droit d’attendre autre chose des aides sociales, un autre traitement, une autre écoute que celle qu’on accorde à enfant porté et
élevé par sa mère. Je ne dois pas être considéré comme un enfant qui a des problèmes dans sa famille. Cette famille n’est pas ma famille mais seulement ma famille adoptive.
Combien de fois j’ai eu le doute et l’incertitude de ce que j’étais réellement., je fus prêt à m’abandonner au désespoir.
Que faire alors maintenant avec tout ce passé, de mes reffoulements, de mes emprises qui me colle à la peau et à mon âme, à ma conscience ?
Mon révolte et ma haine après tout ce que j'ai as vécu dans mon enfance et mon adolescence en France sont des sentiments et des émotions qui me sont très perturbatrices, très traumatisantes ; je veux dire par là que ce sont des états de tension extrême qui m’empêchent d’accéder au bonheur, qui installent en moi une « vision » d’autrui plus sombre, plus noire que la réalité présente ; je finis ainsi par projeter, sans même m’en rendre compte, sur les hommes et les femmes positifs, bienveillants, désintéressés, ce pessimisme et ce dégoût qui m’habitent et me font mal pourtant déjà
Ma façon de dissimuler les choses, de les cacher, s'explique par mon passé, ma mauvaise éducation en France, et certainement des rencontres qui ne m'ont pas fait du bien (refoulements, blocages- ça rend toujours difficile de m'établir dans une relation profonde, durable) Il y des frustrations violentes, profondes en moi, qui font que tu je ne peux m’aborder et me recevoir qu’avec cette âme noire en moi, ténébreuse, alors même que je rêves du contraire : un amour désintéressé je suis, comme peuvent l’être l’affection et l’amitié véritables dans la vie…)
je suis obligé et c est devenue un devoir de me caché pour etre accepté. Je conserve mon jardin secret non compatible. Mon resultat de mon être est devenu comme insaisissable dans mon comportement, je ne sait plus par quel bout me prendre, ni comment on va me retrouver la fois prochaine ! Je suis tourmenté dans ma tête. Toutes mes pensées me donnent l’impression, la sensation de ne plus avoir l’énergie de continuer. Je me démène sans arrêt à trouver des pistes et créer dans ma tête l’illusion d’une vie magnifique, cette vie ailleurs loin de la France, loin de l'adoption, des soucis de ma différence…la vie d’avant. J’aime mon origine. Avant ma vie n’était pas bof et nulle. Maintenant j’ai la haine qui me ronge doucement comme un cancer incurable et je devrai apprendre à vivre avec.Mon resultat de mon être est devenu comme insaisissable dans mon comportement, je ne sait plus par quel bout me prendre, ni comment on va me retrouver la fois prochaine ! Pourquoi ma vie fut elle si débile ? Vais je réussir à me dé condamné de cette vie réduite…L’échec est une bonne chose pour moi mais ma douleurs y demeure bien. Je ne sais plus si ma vie est interrompu ou bien si elle existe toujours. Mes souffrances sont beaucoup mieux atténué. Je me demande si tous ces geste d’amours qui m’ont été donné par la suite de l’adoption on été utiles pour que je puisse me construise .Aurai- je pas été mieux sans ce cheminement avec cette famille ? /////////////
Aujourd’hui mon cœur est serré de détresse, mon âme affaissée par les ennuis, mon imagination effarouchée. J’ai la tête troublée par mes mystères dont je suis souvent environné. Toutes mes facultés ce trouvent affaiblies par mes emprises, par ma vie et par mes angoisses. Tout ceci me donne des raisons d’être malheureux.Celui qui me voit souriant, chantant, vivant comme un jeune homme qui pete la forme a du mal à me comprendre quand parfois je redeviens l’être tourmenté, pétri de souffrance, de haine, de rage. Cette souffrance qui resurgit de mon âme me transforme et me rend incompréhensible et a pour résultats une réaction épidermique de colère contre moi. Alors j’irrite les autres car, comme tout ce qu’on ne comprend pas énerve, cela entraîne des crises, des engueulades jusqu’à ce qu’on me comprenne, qu’on admette que je ne suis pas un gars ordinaire mais un écorché vif qui se bat sans cesse pour survivre derrière ces sourires qui ne me servent qu’à dissimuler mes détresses.
Bonjour,En cherchant des temoignages sur l'adoption je suis tombé ici. Je me présente, je suis un garçon, j'ai 21 ans, j'ai du être placé à la DASS à 15ans. Après comme vous l'aurez sûrement compris je souffre... et que j'ai été confronté, moi et la famille adoptif d'une adoption raté. J'ai rédigé mlon histoire comme un journal intime. J'ai mis mes textes les plus important en évitant de rentrer dans les détailes précis. J'ai essayé de rédiger mon texte soft de mes propos dans le se forum et d'etre le plus court possible ! C'est tellement long...
Pour ceux qui souhaite me poser des questions et à ceux à qui sa fâche, n'hésiter pas à me le faire savoir et à me contacter
Cordialement
M
40 ans 19
Bonjour,
mon mari et moi venont d'entammer une démarche en vue de l'adoption d'un enfant.Je vient de lire ton témoingnage poignant!Tu l'as posté il y a quelques temps apparement mais j'espère que depuis lors tu as pu effectuer ce long travail sur toi-meme!Lorsque je te lis,ton témoignage me renvoi un peu au livre de Barbara Monestier que tu as peut-etre lu "Dis Merci","tu ne connais pas ta chance d'avoir été adopté"!
Lorsque nous discutons avec nos amis,ils nous parlent de leurs désirent d'enfants,de vouloir un enfant...Et bien nous nous avons le désir d'etre parents.Si cela peut sembler etre la meme chose au final,pour nous la nuance est très importante ,surtout depuis que nous avons entammés nos démarches...

Au plaisir de te lire
B I U