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49 ans Aucune discussions sur le sexe via le Tchat! Passez votre chemin si c\'est le cas. 4512
Parfois , l ' incompréhension peut venir des deux parties,là ça fuse dans tout les sens et trop loin dans les propos .
C'est pour cela que je ne prendrai pas  
part à ça.

J'apprécie aussi bien les écrits d'allegorie que ceux d'haris-tote.
55 ans Une femme grande, blonde et très ronde 1549
wildtendercat a écrit:
Je cite un paragraphe rapporté plus haut : « dès que l’homme est excité, toute son attention est concentrée sur son désir, lequel devient intrusif : il veut pénétrer la femme source de sa stimulation et de son excitation. Et il n’aura de cesse que lorsqu’il y sera parvenu. […] son énergie va de l’intérieur vers l’extérieur : son désir le pousse à l’action pour son plaisir. […] Pour être heureuse en amour et s’épanouir sexuellement, la femme doit savoir et accepter que la sexualité de l’homme soit visuelle, génitale, intrusive, intense, rapide et toujours à l’affût. L’homme qui se sent respecté dans son être sexuel aura plus de facilité à s’ouvrir aux caractéristiques sexuelles féminines et à en tenir compte dans sa relation avec sa partenaire » (Dallaire, 2009b : 65).

Je ne vois pas ce qu’il y a de choquant, au contraire, ce sont des conseils de bon aloi, comme vous dites 😂


Rapide est un mot qui prend tout son sens lorsque l'on connaît sa vision sur l'éjaculation précoce. 😨😂
51 ans Out of nowhere 3834
Je voyais plutôt ça sous l’angle du désir soudain. Cela dit certaines femmes n’aiment pas non plus quand ça s’éternise : )
S
89 ans 4951
wildtendercat a écrit:
Je cite un paragraphe rapporté plus haut : « dès que l’homme est excité, toute son attention est concentrée sur son désir, lequel devient intrusif : il veut pénétrer la femme source de sa stimulation et de son excitation. Et il n’aura de cesse que lorsqu’il y sera parvenu. […] son énergie va de l’intérieur vers l’extérieur : son désir le pousse à l’action pour son plaisir. […] Pour être heureuse en amour et s’épanouir sexuellement, la femme doit savoir et accepter que la sexualité de l’homme soit visuelle, génitale, intrusive, intense, rapide et toujours à l’affût. L’homme qui se sent respecté dans son être sexuel aura plus de facilité à s’ouvrir aux caractéristiques sexuelles féminines et à en tenir compte dans sa relation avec sa partenaire » (Dallaire, 2009b : 65).

Je ne vois pas ce qu’il y a de choquant, au contraire, ce sont des conseils de bon aloi, comme vous dites 😂


Ce n est pas choquant c est réducteur de penser que tous les hommes sont comme cela.

Mais je peux comprendre que cela te parle bien sûr.

Le fait de dire "les hommes ceci " et les femmes doivent cela " pour vivre en harmonie cela ne me parle pas du tout. Dans un couple c est vraiment 2 individus qui s adaptent l un à l autre en dehors de leur genre. Je ne me sens pas femme dans mon couple mais saralou et je n ai absolument pas besoin de m identifier comme femme dans ma vie de tous les jours.

Par contre je ne dénie clairement pas à chacun de vouloir se sentir appartenir à un groupe. Mais juste employer le mots "certaines personnes ont besoin de se sentir appartenir à un genre. Pour ceux la J appiquerais ce type de conseils " serait plus simple et plus adapte à mes yeux. laissons les autres libres d être qui il y sont.

Je déteste les généralités dans tous les domaines. J aime l idée que chacun se sente libre d être comme il a envie à partir du moment où on part du principe que tout le monde naît libre et égal en droit.
51 ans Out of nowhere 3834
Je ne pense pas que ce soient des généralités au sens où tu l’entends.

J'y vois personnellement le fait que les femmes et les hommes, aussi semblables soient-ils en tant qu’êtres humains, n’en sont pas moins globalement très différents de par leur sexe.
55 ans Une femme grande, blonde et très ronde 1549
wildtendercat a écrit:
Je voyais plutôt ça sous l’angle du désir soudain. Cela dit certaines femmes n’aiment pas non plus quand ça s’éternise : )


Entre une minute et 30 minutes ou plus il y a une juste moyenne.

Je revois la scène avec Virginie Hocq récitant sa liste de course lorsque cela dure, dure, dure😴😄
51 ans Out of nowhere 3834
allegorie a écrit:
wildtendercat a écrit:
Je voyais plutôt ça sous l’angle du désir soudain. Cela dit certaines femmes n’aiment pas non plus quand ça s’éternise : )


Entre une minute et 30 minutes ou plus il y a une juste moyenne.

Je revois la scène avec Virginie Hocq récitant sa liste de course lorsque cela dure, dure, dure😴😄

Histoire de feeling et de personnes. Se connaître et communiquer (si nécessaire).
41 ans Rennes 293
Eh bien excusez-moi d'avoir du mal à accepter qu'on puisse parler (dénoncer serait plus juste) d'auteur.e que l'on ne lis pas. En reprenant comme une vérité ce qui est écrit sur des sites idéologiques très orientés pour parler de ce qu'on ne connaît pas. Le tout bien sûr en reléguant les idées que l'on a envie de me faire porter, car il irait de soi que je les défends. Mais ce n'est pas encore assez gros manifestement!

Effectivement, on peut aimer des idéologues sans en défendre tous les points de vue, en les confrontant et en essayant d'apporter une réflexion personnelle. Où simplement des fois voir des antagonismes, des contradictions, confronter les époques. J'ai une seule fois défendu clairement un livre, celui d'un pédopsychiatre, pour le reste je n'ai quasi fait que la remarque de l'existence d'écrits pouvant répondre au contexte tel qu'il m’apparaissait. Je ne parle que de ce j'ai lu ou je mentionne que ce n'est pas le cas. Mon dieu, c'est grave!

Alors une fois qu'il n'y a plus rien à dire, je comprends qu'on ait besoin de faire les "fonds de tiroirs" pour chercher des failles très spéculatives sur ce que je dit où ma manière d'écrire. Maintenant je serais un "politicien". Ce n'est pas moi qui use de discours pour le moins creux, farcis d'idées prédigérés en espérant à qui mieux mieux de montrer un tableau idéologique délétère quand ça arrange.
1791
wildtendercat a écrit:
Je suppose qu’il s’agit d’un lapsus involontaire mais l’expression « regard adimateur » (au lieu de regard admirateur) est assez géniale! On pourrait peut-être définir ce mot valise (« addict » couplé à « matter ») comme une sorte de subjugation libidineuse 😈


je n'avais même pas relevé ^^ mais ça peut être effectivement un nouveau mot :p
1791
Haris-tote a écrit:
Je suis désolé, mais je trouve encore une fois que CitronGlace a raison et pourtant je sais l'ouvrir dans les discussions où l'on est pas d'accord sur des comportements femmes/hommes. Les écrits rapportés de l'utilisateur proposent à CitronGlace d'être prise pour un "objet de désir", donc éventuellement un objet sexuel en tant que femme :"Vous serez femme et objet de désir". Personne n'est obligé d'aimer cela bien que des personnes aiment ce genre de relations et c'est respectable. Mais de toute façon avec qui on veut et quand on veut.

c'est ça, ça peut être un fantasme mais on choisit la personne avec qui vivre ce fantasme

Haris-tote a écrit:
Alors je dirais comme Peggy Sastre et Catherine Deneuvre, on a bien le "droit d'importuner" car je pense que chacun.e a une vision différente de la vie et que le seul moyen de n'importuner personne est d'éviter toute interaction sociale (ce serait dommage). Mais il faut aussi savoir arrêter si on voit que l'autre n'est pas réceptif.tive à ce qu'on lui propose.

je ne suis pas tout à fait d'accord, je conseille l'excellent article de maïa mazaurette à ce sujet
https://www.lemonde.fr...ns-la-rue_5026189_4497916.html

Haris-tote a écrit:

Depuis quelques temps je me pose des questions par rapport à l'anonymat sur internet. Autrefois j'aurais dit que c'était une idée de réactionnaires de devoir être identifié (sans compter la difficulté technique de le faire bien sûr). D'un autre côté je vois le nombre de calomnies, de diffamations et d'insultes que nous connaissons tous. Le domaine privé est lynché sur la place publique et sans preuves quand les médias en font du buzz. Il y a aussi des personnes qui en profitent pour agresser verbalement voir harceler. Je crois surtout que derrière tout cela il n'y a pas de dialogue.

je pense que ce serait effectivement nécessaire, notamment sur les sites de rencontre

Haris-tote a écrit:
On devrait dire à l'auteur des écrits qu'il avait le droit de rédiger cela autant qu'il avait le droit d'arrêter s'il n'avait pas de réponse ou une réponse négative. Il n'a pas à ce sentir mal car nous vivons tous comme nous le voulons mais le respect est mutuel ou n'existe pas. Peut-être que lui aussi aime se voir tel un objet sexuel. Ne jugeons pas sa personne mais demandons lui simplement de ne pas être insistant. Je ne suis pas non plus très heureux de voir des messages privés sur la partie publique du forum même si je comprends la position de CitronGlace. Au bout d'un moment elle fini par apporter des éléments de justification.

CitronGlace, ce n'est que mon avis, tu es libre, cela va de soi. Bien que je sois de ton côté je crois qu'il serait bénéfique à tous et à toutes de dire que tu cites des messages privés à titre spécial (ou en utilisant les mots que tu veux). Enfin, autant je te comprends(vraiment) que cela me choque moralement. Ce n'est pas contre toi et je ne te demande pas des excuses du tout. Je ne te vois pas faire cela habituellement et je ne pense pas non plus que cela soit pour toi une banalité. Peut-être simplement le souligner?


il est évident que ce n'est pas une chose que je fais régulièrement !!! j'ai juste justifié les propos qu'il disait ne pas avoir dit.
et ça montre aussi son insistance à m'écrire malgré ma non-communication en tchat et mon NON en mp.
je n'ai affiché aucun autre tchat auquel je n'ai pas répondu pour la simple et bonne raison que la personne n'a pas insisté.

je pense aussi que d'exposer à la vue de tous, permets de faire comprendre aux hommes et aux femmes ce que nous subissons au quotidien.
1791
allegorie a écrit:
Haris-tote a écrit:


Il y a des centaines de revendications que les hommes devraient mettre en avant pour eux-mêmes et où les femmes ne sont d'ailleurs pas nécessairement innocentes. Je vous propose de lire par exemple "Homme et fier de l'être" écrit par le sexologue Yvon Dallaire pour vous en faire une idée (Il existe une nouvelle version 2015). À la place on essaye de contrer les femmes sur des choses où elles ont simplement raison. (C'est triste)


Quel auteur sympa ce Dallaire! !

http://vimeo.com/6791540 (éjaculation précoce est une création féminine...)

https://youtu.be/22JlW4VKY3Y
(Le dernier de la fine équipe)

Et pour une étude plus détaillée de ses thèses :
https://scenesdelavisq...ogie-sexisme-et-antifeminisme/
Édifiant on peut dire.
"Inquiétante éducation sexuelle

L’obsession de Dallaire pour le phallus et la pénétration (des femmes, des océans, de l’espace) l’amène à formuler une recommandation aux pères, quant au développement sexuel de leurs garçons (hétérosexuels). Dans la section du livre Homme et toujours fier de l’être où il vante l’« intrusivité » phallique, il déclare ainsi :

Messieurs les papas, parlez avec vos adolescents de cette intensité sexuelle par laquelle vous aussi êtes passés afin de les aider à se déculpabiliser d’être des êtres sexués, sexuels et génitaux. Parlez-leur afin qu’ils en soient plutôt fiers et qu’ils apprennent à assumer et gérer cette puissance libidinale dans le meilleur contexte possible. Ne laissez pas vos femmes, leurs mères, les mettre en garde contre les débordements possibles de cette sexualité en leur demandant de faire « attention » aux filles avec qui ils sortent. (Dallaire, 2015 : 187).

Dans son livre consacré à expliquer aux femmes comment être « heureuses » en couple (hétérosexuel), Dallaire affirme que

[dès] que l’homme est excité, toute son attention est concentrée sur son désir, lequel devient intrusif : il veut pénétrer la femme source de sa stimulation et de son excitation. Et il n’aura de cesse que lorsqu’il y sera parvenu. […] son énergie va de l’intérieur vers l’extérieur : son désir le pousse à l’action pour son plaisir. […] Pour être heureuse en amour et s’épanouir sexuellement, la femme doit savoir et accepter que la sexualité de l’homme soit visuelle, génitale, intrusive, intense, rapide et toujours à l’affût. L’homme qui se sent respecté dans son être sexuel aura plus de facilité à s’ouvrir aux caractéristiques sexuelles féminines et à en tenir compte dans sa relation avec sa partenaire (Dallaire, 2009b : 65).

Insistant sur les différences entre les sexes, il précise en passant qu’il ne faudrait pas « survaloriser » l’un des deux caractères (Dallaire, 2009b : 65; 2010 : 76). Mais la comparaison entre le livre s’adressant aux hommes et celui s’adressant aux femmes permet de constater que Dallaire propose une sexualité plutôt adaptée aux besoins des hommes (tels qu’il les définit). Dans le livre pour les femmes, Dallaire explique qu’une femme doit endosser un « féminisme de bon aloi » et « être féministe et féminine, c’est-à-dire mettre de l’avant des valeurs féminines […]. Être féminine dans votre sexualité, c’est, sans renoncer à ce que vous aimez, recevoir la sexualité masculine dans son essence : visuelle, génitale, intrusive, intense et rapide. » Voilà en effet un féminisme « de bon aloi »… Et tout cela sera sans doute d’autant plus facile pour la femme, puisque Dallaire explique du même souffle que sa sexualité est «séductrice», « réceptive » et « retenue » (Dallaire, 2009b : 200; pour les hommes, voir Dallaire, 2010 : 75-76). Si le psychologue «hoministe» souhaite à la femme (hétérosexuelle) une sexualité épanouie et active, il insiste pour qu’elle ne critique pas son partenaire, ce contentant de lui exprimer « ce qu’elle aime quand ils font l’amour, non ce qu’elle n’aime pas » (Dallaire, 2009b : 154; conseil répété à la page suivante). Il avance aussi que « [l]’homme qui sait qu’il peut avoir du sexe à volonté avec une partenaire qui aime les jeux sexuels est beaucoup moins tyrannique sur la fréquence des rapports sexuels » (Dallaire, 2009b : 156 —je souligne), sans compter que « toute récompense […] sexuelle stimule l’initiative masculine» quant aux tâches ménagères (Dallaire, 2009b : 169).

Bref, selon Dallaire, le bonheur conjugal a un coût pour la femme. Pour être heureuse, elle a déjà accepté que la relation soit inégalitaire. Elle doit aussi s’offrir sexuellement sans préciser ce qui ne lui plaît pas. Après la relation sexuelle, elle aura au moins la satisfaction de voir son partenaire effectuer des taches ménagères avec plus d’enthousiasme.

Violence dans les relations hétérosexuelles

En reprenant presque mot pour mot les mêmes conseils dans son livre destiné aux femmes et dans celui destiné aux hommes, Yvon Dallaire précise qu’« aucune violence n’est admissible dans un couple » et qu’il faut mettre fin à la relation si l’autre exerce une violence physique, « surtout si vous ne faites rien, physiquement ou verbalement, pour le provoquer » (Dallaire, 2010 : 32 —je souligne ; 2009b : 27). Cela dit, Dallaire cherche aussi à expliquer la violence conjugale par la biologie (voir Brassard, 2008 et Brodeur, 2003). L’homme serait naturellement plus agressif physiquement que la femme, de par son expérience préhistorique de «chasseur-guerrier» et par l’effet de ses hormones.

Dallaire présente d’ailleurs l’agressivité comme une valeur structurante de l’identité masculine. La femme, pour sa part, a développé sa puissance de parole en attendant terrée au fond de la caverne conjugale le retour du chasseur. Par les mots, elle pourrait être aussi violente que l’homme. Dallaire avance même que « contrairement à la croyance populaire, le sexe fort, c’est le sexe féminin, malgré son apparence de fragilité » (Dallaire, 2009b : 197). Dans l’ouvrage La violence faite aux hommes : Réalité taboue et complexe, il explique que les femmes « ont une longueur d’avance en ce qui concerne la violence psychologique et verbale » (Dallaire, 2002a : 15). Dallaire refuse d’admettre que les hommes peuvent user de violence psychologique, et aussi beaucoup parler, crier et insulter, y compris avant ou lorsqu’ils ont recours à la violence physique.

Dallaire ne voit la force de la parole que du côté des femmes. En voulant trop souvent communiquer avec son partenaire, la femme non seulement l’importune, mais l’agresse. Dallaire répète régulièrement que les femmes en relation de couple (hétérosexuelle) ne devraient pas critiquer leur partenaire. Il déplore que « 80 % des critiques émises dans un couple le sont par la femme » (Dallaire, 2007 : 54). Le psychologue avance aussi que l’homme « a besoin » plus que les femmes « d’être valorisé pour ce qu’il fait » et remercié lorsqu’il effectue des tâches domestiques, par exemple « ranger la vaisselle […] ou sortir les poubelles » (Dallaire, 2007, 84 et 2009b : 192). Il y aurait escalade de la violence parce que trop de femmes osent critiquer l’homme, ou insistent pour discuter des problèmes du couple.

Yvon Dallaire explique comment réagit l’homme ainsi critiqué, en raison de son expérience préhistorique de « chasseur-guerrier » :

les hommes deviennent rapidement défensifs. À cela existent des explications biologiques.[…] La testostérone est reliée à l’agressivité et à l’ « accès de fuite »[…]. Et comme notre cerveau humain ne fait pas la différence entre un danger réel (un tigre) et un danger virtuel (la tigresse qui existe en toute femme), on peut comprendre la réaction atavique de l’homme en situation stressante.[…] les hommes, galvanisés par des poussées d’hormones de stress, réagissent par la réponse « fuir ou combattre »[…]. Plus il fuit, plus la femme stressée cherche à retenir l’homme qui, coincé, n’aura d’autre possibilité que de combattre. L’escalade peut alors s’envenimer et exploser dans la violence verbale et/ou physique (Dallaire, 2007 : 54-58-59-60-61; voir aussi Dallaire, 2015 : 198).

Il explique aussi que l’homme « en colère, […] claque la porte et va prendre une marche ou (malheureusement) il frappe la source de sa colère » (Dallaire, 2001 : 109; voir aussi 2009b : 193). Dallaire prétend que la violence conjugale relève d’une « dynamique relationnelle interactive » où les deux protagonistes sont « coresponsables » et également victimes (Dallaire, 2002b : 28) : « il y a toujours deux victimes dans les cas de violence conjugale […] et deux cocréateurs de cette escalade vers l’explosion physique, peu importe le sexe » (Dallaire, 2001 : 130). Selon Louise Brassard (2008 : 99-100), il s’agit là d’une « belle entreprise de déculpabilisation des hommes et de responsabilisation des femmes ! […] Surtout, Dallaire minimise tout rapport de pouvoir des hommes sur les femmes ». Évacuer ainsi les rapports de pouvoir entre les sexes est d’autant plus incohérent pour Dallaire qu’il insiste pour rappeler l’importance de rapports inégalitaires entre les hommes et les femmes pour que les couples (hétérosexuels) fonctionnent bien.

À titre d’explication, Dallaire recourt ici à la notion anthropologique de «schismogénèse», développée dans les années 1930 et tombée en désuétude, qui désigne une dynamique à deux pôles contradictoires (empruntée à Bateson, 1984 : voir Dallaire, 2015 : 185, note infra 214 et Dallaire 2002a : 12, note infra 1, et 57). Selon Dallaire, le caractère féminin et le caractère masculin sont dans une dynamique de « schismogénèse complémentaire », c’est-à-dire que leurs différences sont à la fois incompatibles et se renforcent mutuellement. Dallaire ne voit point de bonheur hors du couple (hétérosexuel) et il précise que « la prévention de la violence sous toutes ses formes passe par la responsabilisation individuelle, la promotion du couple et la prévention du divorce » (Dallaire, 2009a — je souligne). Les femmes devraient donc rester dans un couple inégalitaire où elles éviteront la violence en parlant le moins possible, en ne critiquant pas leur partenaire, en le félicitant pour toute tache ménagère accomplie sans attendre la réciproque, et en ne le quittant pas..."


je n'ai pas pu lire jusqu'à la fin, les premiers paragraphes me donnent envie de vomir
1791
WDpowoa a écrit:
Hummmm

Sinon je vais sans doute me répéter mais ça ne serait pas plus simple si on partait du postulat que nous avons un être humain en face de nous, unique, qui a ses propres caractéristiques et non un homme ou une femme qui doit surement coller avec l'étiquette qu'on lui a imposé ?!

Bref :p

entièrement d'accord, mais pour ça il faut discuter avec les personnes et avoir le temps de les découvrir donc pas dans la rue, entre 2 métros. internet est un bon outil pour ça, faire connaissance au rythme de la vie de l'autre.

WDpowoa a écrit:
Pour en revenir au sujet, effectivement il y en a marre de ces queutards au QI d'huitre qui tapent l'incruste sur vrl en pensant qu'ils peuvent venir faire leur marché et se proposent de nous sauver nous "rondes en manque parce que pas baisables" mais très très ouvertes et aux poitrines plus qu'opulentes
Un ménage est nécessaire, encore faut-il se donner les moyens pour ça et ça n'a pas l'air d'être dans l'état d'esprit des modos

je crois qu'ils ne sont que 2, ce n'est pas suffisant pour ce travail nécessaire (ainsi que faire du vide dans les vieux messages de VLR qui remontent 6 ans plus tard)

Sinon Françoisparis a papoté un peu avec moi, il n'a pas été discourtois ou lourd :-)
mais j'avoue le "harcèlement" en mp ou sur le tchat c'est pas du meilleur effet, t'as foiré ton coup François là :D

:D
1791
allegorie a écrit:
"Enfin, j'avais dit que c'était sans mauvaise intention de ta part quand même. Je voulais montrer comment Allégorie se sert de la crédulité des autres mais surtout comment certains sites se servent de la sienne en premier lieu."

J'adore toutes les fois où tu remets en cause mon intelligence car je ne partage pas ton avis et surtout toutes les fois où tu décribilises les féministes comme sur l'histoire du droit de vote ou du patriarcat dans notre société (les hommes se sont battus pour un partage plus équitable d'un pouvoir qu'ils détenaient déjà entre eux depuis des millénaires alors que les femmes ne voulaient qu'avoir un droit de parole et de vote obtenus en France depuis 47).
Ou du fait que dans les universités les postes de recherches soient dans leur immense majorité détenus par des hommes (pourquoi se plaignent les femmes franchement lorsque l'on sait que les postes administratifs et d'encadrement sont détenus par elles, cela
devrait leur suffir)
Ou lorsque tu nous expliques que les garçons sont discriminés dans nos écoles car les filles réussissent mieux en classe alors que les différences sont minimes au final... mais que dans la vie active le plafond de verre est une réalité bien plus discriminante à tous les niveaux.

Sans parler de #metoo and co. Sinon tu vas encore partir sur une diatribe dont tu as le secret. Je ne sais plus combien de fois tu as expliqué que l'homme était en danger de nos jours à cause des féministes et de leurs combats pour les mêmes droits. Je te reconnais une grande maîtrise des subtilités de la langue française pour savoir critiquer sans en avoir l'air.


👍 👍 👍 👍 👍 👍 👍 👍 👍 👍

allegorie a écrit:
Petit illustration parfaite de cet exercice de style :
"CitronGlace, ce n'est que mon avis, tu es libre, cela va de soi. Bien que je sois de ton côté je crois qu'il serait bénéfique à tous et à toutes de dire que tu cites des messages privés à titre spécial (ou en utilisant les mots que tu veux). Enfin, autant je te comprends(vraiment) que cela me choque moralement. Ce n'est pas contre toi et je ne te demande pas des excuses du tout. Je ne te vois pas faire cela habituellement et je ne pense pas non plus que cela soit pour toi une banalité. Peut-être simplement le souligner"
Tout y est : "tu es libre, cela va de soi, bien que je sois de ton côté..."blablabla, "cela me choque moralement", pour finir par ma phrase préférée "ce n'est pas contre toi et je ne te demande pas des excuses" (!)😨 et "je ne te vois pas faire cela habituellement...". Belle façon de manipuler les mots pour dire au final que tu n'apprécies pas du tout ce qu'elle fait. Avec un tel talent pour enrober de mots ces idées là, je te prédis un bel avenir en politique.

et bien, tu sais quoi, je dois avoir tellement l'habitude de ce genre de propos que je les ai gommé en lisant, j'ai condensé le propos en éliminant les phrases qui donnent son avis.
c'est drôle de s'en rendre compte en lisant ton com
1791
Saralou a écrit:
Juste pour apporter un regard extérieur.

En premier lieu je ne suis pas capable de parler comme haris tote et je ne comprends pas toujours d ailleurs tout ce qui est écrit.

Donc je vais juste crise simplement mon ressenti. Même si je ne doute pas que tu sois de bonne fois haris tote il m est parfois difficile de comprendre pourquoi tu cites des personnes si tu ne partages pas leur point de vue ? C est arrivé plusieurs fois. Cela a tendance à donner un message peu clair.

D un côté tu dis je suis contre le genre et je soutiens les femmes et d un autre côté tu tiens un discours qui peut paraître ambigu (en tour cas pour des gens comme moi qui parlent simplement). Ensuite tu dis qu il faut lire un auteur avant de juger. Personnellement chaque fois que tu as cite un auteur j ai fait des recherches et ce que j ai lu de peggy Sastre ne m a pas donné envie de la lire et encore moins d Yvon dallaire.

Simone de beauvoir ça va je connais un peu mieux et j apprécie.

Je ne comprend pas très bien cette réaction contre allégorie qui ne t a pas accusé directement dans ce premier message mais à juste donné matière à lire sur cet Yvon dallaire. Moi perso ça m intéresse.

Et cela me questionne sur le fait que tu parles d un homme qui est très loin d être antigenre. Parce que du coup c est pas évident d avoir des échanges avec quelqu un qui se dit contre le genre et qui parle de quelqu un qui l est en disant "ça peut être intéressant de le lire". Ben pour quoi ?

J ai une vision simple du féminisme. Comme je l ai déjà dit il profitera aux hommes et aux femmes. Je suis la seule femme dans mon foyer et les hommes qui partagent mon univers vivent le féminisme simplement, je crois tellement et profondément que cela peut être simple si on perçoit juste les gens comme des individus. Mais cela implique aussi de relever tout ce qui doit encore être fait pour arriver à ce que l égalité des droits dans tous les domaines puissent permette de juste considérer la personne en face comme un être humain.

Personnellement j apprécie la manière d écrire d allégorie et je ne la trouve pas agressive par exemple. Elle relève juste certaines choses.

Je pense Haris-tote que ton discours gagnerait en force et en clarté si tu pouvais faire des phrases plus simples et plus claires. A moins que je ne sois la seule à ne pas toujours comprendre ou tu veux en venir. J ai parfois le sentiment que tu donnes des idées simplement opposées dans un même message et comme c est écrit d une manière que je ne suis pas capable de reproduire je laisse tomber au lieu de te répondre.

J ai trouvé aussi bizarre que tu dises "je te soutiens citronglsce mais je suis choqué" bon ben à


+ 1 mais comme dit à allegorie, mon cerveau a éliminé les propos dont je n'avais pas besoin pour condenser
1791
allegorie a écrit:
wildtendercat a écrit:
Je cite un paragraphe rapporté plus haut : « dès que l’homme est excité, toute son attention est concentrée sur son désir, lequel devient intrusif : il veut pénétrer la femme source de sa stimulation et de son excitation. Et il n’aura de cesse que lorsqu’il y sera parvenu. […] son énergie va de l’intérieur vers l’extérieur : son désir le pousse à l’action pour son plaisir. […] Pour être heureuse en amour et s’épanouir sexuellement, la femme doit savoir et accepter que la sexualité de l’homme soit visuelle, génitale, intrusive, intense, rapide et toujours à l’affût. L’homme qui se sent respecté dans son être sexuel aura plus de facilité à s’ouvrir aux caractéristiques sexuelles féminines et à en tenir compte dans sa relation avec sa partenaire » (Dallaire, 2009b : 65).

Je ne vois pas ce qu’il y a de choquant, au contraire, ce sont des conseils de bon aloi, comme vous dites 😂


Rapide est un mot qui prend tout son sens lorsque l'on connaît sa vision sur l'éjaculation précoce. 😨😂


😂 😂 😂 😂 😂 😂
B I U