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Histoire sans fin

38 ans Pour l'instant c'est secret...mais y a qu'à demander! 1046
quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleue mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt  
de la faim...la pauvre n'avait rien avalait depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle apperçu quelque chose par terre...
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquète n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressaient. Mais un sentiment d'oublie le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard c'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laisser seul. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans expliquation après la porte d'entré sentant un danger present, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus que urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait ce qu'il vit était plus qu'amusant la vieille été haut perché sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenais en bas. Apres son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêté de hurler comme ca, pas la peine de rametter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop sérrés autour de ses poignets qui l'entaillait. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleue mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalait depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle apperçu quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le
.On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle apperçu quelque chose par terre, une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster. Pendant ce temps...
M
51 ans 1134
On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle apperçu quelque chose par terre, une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixait toute la scène qui se déroulait au loin.L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire.Enfin il........
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquète n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressaient. Mais un sentiment d'oublie le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard c'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laisser seul. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans expliquation après la porte d'entré sentant un danger present, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus que urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait ce qu'il vit était plus qu'amusant la vieille été haut perché sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenais en bas. Apres son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêté de hurler comme ca, pas la peine de rametter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop sérrés autour de ses poignets qui l'entaillait. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleue mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalait depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle apperçu quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixait toute la scène qui se déroulait au loin.L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
41 ans Paris 250
revepleinlesyeux a écrit:
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il....
41 ans Paris 250
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il....
47 ans Jura 2256
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il se dirigea lentement vers McOnel, mais il s'arrêta net quand il aperçut...
44 ans haute vienne 52
revepleinlesyeux a écrit:
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquète n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressaient. Mais un sentiment d'oublie le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard c'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laisser seul. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans expliquation après la porte d'entré sentant un danger present, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus que urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait ce qu'il vit était plus qu'amusant la vieille été haut perché sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenais en bas. Apres son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêté de hurler comme ca, pas la peine de rametter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop sérrés autour de ses poignets qui l'entaillait. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleue mais ce que l'on lisait dans ses yeux ...

etait une expression de detresse quand soudain le coup de grace..
39 ans 288
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il se dirigea lentement vers McOnel, mais il s'arrêta net quand il aperçut la coriace Mademoiselle Belhomme, qu'il avait pourtant si soigneusement baillonnée, se battre du pied, à coups de talons aiguilles, avec le rat de malheur qui était en train de lui ôter tout espoir de soulager la faim qui la tenaillait.
E
103 ans Occitanie 3854
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il se dirigea lentement vers McOnel, mais il s'arrêta net quand il aperçut la coriace Mademoiselle Belhomme, qu'il avait pourtant si soigneusement baillonnée, se battre du pied, à coups de talons aiguilles, avec le rat de malheur qui était en train de lui ôter tout espoir de soulager la faim qui la tenaillait.

Etonné de cet acharnement, il fut distrait un instant, ce qui permit à McOnel...
41 ans 2362
elfeline a écrit:
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il se dirigea lentement vers McOnel, mais il s'arrêta net quand il aperçut la coriace Mademoiselle Belhomme, qu'il avait pourtant si soigneusement baillonnée, se battre du pied, à coups de talons aiguilles, avec le rat de malheur qui était en train de lui ôter tout espoir de soulager la faim qui la tenaillait.

Etonné de cet acharnement, il fut distrait un instant, ce qui permit à McOnel...


de lui faire une prise de karaté qui le désarma et lui fit perdre l'équilibre
39 ans 288
Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour chacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme. Soudain, stupéfait,...
il se rendit compte qu'il n'était pas seul, la maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, a la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, sans explication après la porte d'entrée sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre. Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler et se retourna , ce qu'il vit etait plus qu'amusant, la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument quand il s'immobilisa l'instrument à la main une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca . elle vit sa fille baillonnée et attachée derriere un poteau, du sang glissait sur ses mains, surement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout, autour de son cou quelqu'un avait passé une corde , si serrée que les levres de la jeune femme etait dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim...la pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle...soudain elle aperçut quelque chose par terre , une sorte de morceau de viande cru à la couleur legerement ecoeurante mais la faim l'emportait , elle aurait tout fait pour ramasser le morceau, malheureusement pr elle, un rat passa par la et commença a le deguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il se dirigea lentement vers McOnel, mais il s'arrêta net quand il aperçut la coriace Mademoiselle Belhomme, qu'il avait pourtant si soigneusement baillonnée, se battre du pied, à coups de talons aiguilles, avec le rat de malheur qui était en train de lui ôter tout espoir de soulager la faim qui la tenaillait. Etonné de cet acharnement, il fut distrait un instant, ce qui permit à McOnel de lui faire une prise de karaté qui le désarma et lui fit perdre l'équilibre.
Il se crut perdu un instant, fort étonné des capacité de combat du détective. Mais dans son désir de vengeance,
39 ans 288
Il n'y a que moi que ça amuse, cette petite histoire??? :( Ecrivez n'importe quoi, c'est le but et c'est comme ça qu'elle avance, même si ça n'a pas grand sens... Un peu d'absurdité ne fait pas de mal, du moins pas ici...


Il était tard ce soir là...
Et le detective Jack McOnel, n'arrivait toujours pas à comprendre cette enquête, car le manque d'indice lui laissait de multiples suppositions qui ne demandaient qu'à être explorées. Cependant il decida malgré tout de se rendre une nouvelle fois sur les lieux avec son assistante de choc, Melle Belhomme, une grande rousse plantureuse qui se revelait être aussi belle qu'efficace. Mais arrivés sur les lieux, ils se rendirent compte que les lieux en question étaient sur le point d'être rasés pour permettre la construction d'un Center Parc et qu'ainsi les indices seraient perdus si l'enquête n'avançait pas plus vite que la dernière fois qu'ils les avaient étudiés avec la plus grande attention.
C'est pourquoi le temps les pressait. Mais un sentiment d'oubli le perturbait. Baissant la tête, il vit avec stupeur qu'il était sorti sans se changer. Le froid lui mordit les jambes (et même plus !), passant à travers le fin tissu de son pyjama. Confus, il s'excusa auprès de Mlle Belhomme, qui n'avait rien remarqué (d'ailleurs, elle ne le regardait jamais), et rentra dans un magasin pour s'acheter un costume. Dans la boutique au moment où il essayait le costume noir trois pièces sur lequel son regard s'etait porté dès la porte franchie , il entendit un bruit sourd provenant de l'arrière du pantalon, il était évident qu'il s'était trompé de taille, toutefois il n'en tint pas compte et acheta un pardessus pour cacher la déchirure, maman le racommoderait une fois rentré. Sorti de la boutique, il se rendit compte que Melle Belhomme n'était plus là. Il s'en voulu un peu de l'avoir laissée seule. D'instinct, il se dirigea vers le lieu du crime, un terrain vague sans âme.
Soudain, stupéfait, il se rendit compte qu'il n'était pas seul. La maman de Mlle Belhomme, attendait devant l'entrée du terrain vague, à la recherche de sa fille qui lui avait donné RDV là, après la porte d'entrée, sans explication. Sentant un danger présent, il demanda à la vieille dame de l'attendre.
Alors qu'il se dirigait vers un petit muret pour soulager un besoin plus qu' urgent , il entendit la vieille dame hurler. Il se retourna et ce qu'il vit etait plus qu'amusant: la vieille était haut perchée sur des cagettes en bois, tandis qu'un rat se tenait en bas. Après son fou rire il se decida de finir ce qu'il était en train de faire, de ranger son instrument, mais quand il s'immobilisa, l'instrument à la main, une chose curieuse dépassait de dessous. Une lame s'appuyant fortement sur ses parties, une voix lui dit:
-Hey cowboy si tu veux encore pouvoir ranger quelque chose dans ton pantalon recule doucement vers les cagettes, et vous la vieille arrêtez de hurler comme ca, pas la peine de rameuter la flicaille.
Mais ce n'était ni le couteau, ni le rat qui faisait hurler cette pauvre femme comme ca. Elle voyait sa fille baillonnée et attachée derrière un poteau, du sang glissait sur ses mains, sûrement à cause de ces liens trop serrés autour de ses poignets, qui l'entaillaient. Mais ce n'était pas tout: autour de son cou quelqu'un avait passé une corde, si serrée que les levres de la jeune femme étaient dejà teintées de bleu mais ce que l'on lisait dans ses yeux était plutôt de la faim... La pauvre n'avait rien avalé depuis la veille...On sentait l'odeur des biscuits que fabriquait l'usine d'à côté et l'odeur semblait encore plus forte pour la pauvre demoiselle... Soudain elle aperçut quelque chose par terre, une sorte de morceau de viande cru à la couleur légèrement écoeurante. Mais la faim l'emportait, elle aurait tout fait pour ramasser le morceau. Malheureusement pour elle, un rat passa par là et commença à le déguster.
Pendant ce temps, dans la pénombre, deux yeux noirs et perçants fixaient toute la scène qui se déroulait au loin. L'idée que la vengeance tant attendue arrivait enfin fit apparaitre un sourire. Enfin il se decida à sortir de l'ombre , enfin il allait mettre un terme à son jeu ... enfin , il allait ...
pouvoir faire payer ce satané détective. Il avait attendu tellement longtemps pour mettre au point un plan machiavélique, et maintenant, le moment crucial était arrivé. Sortant de sa poche un objet long et pointu, il se dirigea lentement vers McOnel, mais il s'arrêta net quand il aperçut la coriace Mademoiselle Belhomme, qu'il avait pourtant si soigneusement baillonnée, se battre du pied, à coups de talons aiguilles, avec le rat de malheur qui était en train de lui ôter tout espoir de soulager la faim qui la tenaillait. Etonné de cet acharnement, il fut distrait un instant, ce qui permit à McOnel de lui faire une prise de karaté qui le désarma et lui fit perdre l'équilibre.
Il se crut perdu un instant, fort étonné des capacités de combat du détective. Mais dans son désir de vengeance, il parvint à se dégager de la poigne amollie de McOnel, à faire un salto arrière jusque sur la cagette, percutant la mère Belhomme et rattrapant de justesse le précieux sac en papier de l'épicier du coin, qu'il utilisait en guise de cagoule.
McOnel se mit à rire:
37 ans 4879
...l'homme avait récupéré le mauvais sachet... celui que la grand mêre avait emmené avec elle afin de se restaurer un peu. Il était rempli de fraises bien mures qui produisirent un sproutch retantissant en s'écrasant sur sa tête. L'homme furieux...
B I U