S
Issu d'une famille qui adore la bonne nourriture savoureuse, de tous les coins du monde ou presque, qui sert toujours en très larges quantités, et en plusieurs plats (au moins plat principal + dessert, souvent fromage aussi ou salade), tendance à l'embonpoint et surpoids dans la famille surtout côté femme... j'ai toujours aimé la nourriture, mais est-ce seulement de la gourmandise et pas aussi additionnellement un problème plus important?
Déjà petit ma mère s'inquiétait de me voir redemander plusieurs fois, batailler pour la plus grosse part, même s'il y avait possibilité de se reservir, vouloir absolument la dernière...
On ne peut pas dire que je rechignais à finir mes plats, à croire qu'on était en temps de guerre et que la moindre miette était vitale, stockée au cas où...
Toujours manger les différentes parties du plat l'une après l'autre. c'est quelque chose qui est resté. Mal?
Acheter des choses en cachette ou piquer dans les stocks et manger en un temps éclair sans vraiment prendre le temps de savourer, juste pour avoir le goût en bouche et ne pas le laisser passer je faisais ça très souvent surtout à partir de la puberté et jusqu'à ce que je quitte le domicile familial...
Il m'arrive encore de filer en douce dans la cuisine et me servir comme ça mais plus rare... déjà parce que ce sont pas les mêmes choses que nous achetons et car je me sens bien plus coupable de manger ainsi sans faim pour je ne sais quelle pulsion
Au fil des années j'ai pris conscience petit à petit du problème, j'ai réduit toutes mes prises de nourriture inconsidérées, notamment quantitativement, en fréquence, malgré ça mon poids n'a jamais fait que se stabiliser temporairement pour monter d'un à trois kilos de plus, etc...
Mon copain ne m'a jamais forcé la main à réduire, il est excellent cuisinier, ayant travaillé en plus dans la restauration, il a un goût inné pour combiner agréablement les saveurs les plus inattendues, il est un "puissant" allié
Je m'étonne d'avoir pu garder mon poids grosso modo dans une tres lente progression au lieu d'exploser des plafonds, peut-être grâce à ma marche quotidienne de une à trois heures (quand j'étais ado notamment) grâce à mes chiens...
Déjà petit ma mère s'inquiétait de me voir redemander plusieurs fois, batailler pour la plus grosse part, même s'il y avait possibilité de se reservir, vouloir absolument la dernière...
On ne peut pas dire que je rechignais à finir mes plats, à croire qu'on était en temps de guerre et que la moindre miette était vitale, stockée au cas où...
Toujours manger les différentes parties du plat l'une après l'autre. c'est quelque chose qui est resté. Mal?
Acheter des choses en cachette ou piquer dans les stocks et manger en un temps éclair sans vraiment prendre le temps de savourer, juste pour avoir le goût en bouche et ne pas le laisser passer je faisais ça très souvent surtout à partir de la puberté et jusqu'à ce que je quitte le domicile familial...
Il m'arrive encore de filer en douce dans la cuisine et me servir comme ça mais plus rare... déjà parce que ce sont pas les mêmes choses que nous achetons et car je me sens bien plus coupable de manger ainsi sans faim pour je ne sais quelle pulsion
Au fil des années j'ai pris conscience petit à petit du problème, j'ai réduit toutes mes prises de nourriture inconsidérées, notamment quantitativement, en fréquence, malgré ça mon poids n'a jamais fait que se stabiliser temporairement pour monter d'un à trois kilos de plus, etc...
Mon copain ne m'a jamais forcé la main à réduire, il est excellent cuisinier, ayant travaillé en plus dans la restauration, il a un goût inné pour combiner agréablement les saveurs les plus inattendues, il est un "puissant" allié
Je m'étonne d'avoir pu garder mon poids grosso modo dans une tres lente progression au lieu d'exploser des plafonds, peut-être grâce à ma marche quotidienne de une à trois heures (quand j'étais ado notamment) grâce à mes chiens...