MENU Le Forum Vive les rondes Connexion

L'adultère - Qu'est ce qui peut nous pousser à tromper ?

32 ans Vienne, Lyon 521
En général, c'est parce qu'il y a une routine, pour les jeunes couples ( je parle ceux de mon âge...sans généraliser), c'est un jeux de séduction, pour son expérience personnel,  
ou par envie.... Mais pour moi un homme/une femme qui trompe son conjoint, le refera.

Pour mon cas, si mon homme me trompe, je ne le pardonnerai pas, et je ne resterai pas avec. Pour moi, on trompe une fois, cela veut dire qu'on recommcera. Justement, une de mes amie, a pardonner à son petit ami qu'il l'a trompée durant son service à l'armé, elle l'a pardonner, alors qu'il continue de faire des avances aux autres filles....
53 ans 467
il peut y avoir plein de raison à l'infidélité, le manque d'attention, le manque de tendresse, pour ajouter du "piment" à sa vie....et des fois, et c'est ce qui est le pire, il n'y a aucune raison à l'infidélité. on trompe juste parce que l'occasion s'est présentée, d'une pulsion sexuelle
46 ans 10
tromper peut avoir plusieurs raison a mon avis la plus grande raison est la tentation l'envie de gouter a autre chose cette envie qui souvent dans un moment de faiblesse ou l'envie nous prend a le faire et des fois y'a même pas de raison c juste voulue il faut pas chercher a se trouver une raison.
39 ans Bordeaux 364
Alors, je vais dire comment je vois les choses du haut de mes 25 ans et de ma relation actuelle (car je pense que ma vision des choses à ce sujet pourrait changer selon le type de relation que j'ai avec telle ou telle personne).

Avec chéri, on en a déjà discuté. Pour moi, c'était important de savoir l'un comme l'autre ce qu'on en pensait. Et on est tous les deux d'accord pour dire que, dans l'idéal, on aimerait ne pas tromper l'autre, mais que dans les faits, ça peut arriver, pour x ou y raison.

Et celle qui me paraît la plus probable serait de rencontrer quelqu'un qui me fasse chavirer, à ce moment précis, plus que mon chéri.
Mais parallèlement à cela, on s'est fait la même réfléxion tous les deux: si un jour on se rendait compte qu'on commençait à avoir des sentiments ou une attirance très forte pour quelqu'un d'autre, on s'en parlerait à coeur ouvert, même si ça fait mal. Car je pense sincèrement que ça pourrait révéler un manque dans notre relation.

Je ne dis pas que ce doit être le cas pour tout le monde, je dis simplement que c'est de cette manière qu'on voit les choses, chéri et moi, à l'heure actuelle.

Je ne pense pas non plus qu'une frustration sexuelle pourrait me pousser à tromper. Même si le sexe est important pour moi dans la relation, nous avons des hauts et des bas à ce sujet. La libido n'est pas linéaire, elle fluctue en fonction de ce qu'on vit, des moments qu'on passe ensemble... et j'accepte parfaitement bien de ne rien faire certains moments.

Mon chéri a eu une libido au ras des pâquerettes pendant presque 7 mois, à cause d'une dépression, et durant ces 7 mois, même si je me sentais un peu frustrée et que ça me manquait, je n'ai jamais été tentée d'aller voir ailleurs.
Et puis, je sais me débrouiller toute seule aussi :lol:

Et puis on est chacun conscient qu'on n'a pas tout le temps envie en même temps, et chacun respectueux du fait que l'autre peut avoir envie de le faire seul à certains moments. La masturbation n'est pas tabou dans notre couple et ça nous aide beaucoup à respecter le manque qui peut arriver quand on n'est pas raccord.

Bref, voilà.

Je pense que si un jour j'avais une attirance trop forte pour quelqu'un, je me poserais des questions sur mon couple. Et si je me rendais compte que je n'avais plus envie de le sauver, je quitterais mon conjoint avant d'aller voir ailleurs, ne serait-ce que pour être au clair dans ma tête sur ce que je fais.

Maintenant, tout cela n'est que pure hypothèse, vu que la situation ne s'est encore jamais présentée. Mais c'est comme ça que nous voyons les choses à l'heure actuelle.
J'ai de l'adultère une vision très changeante depuis mon adolescence. Dans un premier temps je l'ai vu comme une forme de déni d'humanité de l'autre, comme un manque flagrant de valeurs et de droiture morale. Ensuite, pour avoir vécu la tentation au plus près, j'ai fini par me tourner vers des théories plus essentialistes, où la nature animale des primates que nous sommes était prise en compte comme poste principal de l'équation. Enfin, et c'est à cette conclusion que j'en suis arrivé: aucun homme ne cesse d'être attiré par les autres femmes.

C'est finalement un sentiment parfaitement naturel, si l'on considère que l'homme, au même titre que n'importe quelle autre espèce animale, est naturellement programmé pour faire autant d'enfants à autant de femmes différentes qu'il est possible. Car, bien loin de nous rendre compte que nous répondons à un plan qui nous dépasse, nous fonctionnons non pas pas individuellement, mais au niveau de l'espèce comme n'importe quel autre système organique organisé. A ce titre, la tentation et la réalisation de l'adultère seront de toutes les époques. Et quoique des facteurs puissent exagérés la tentation, comme une situation amoureuse difficile, une nature sanguine et fort portée sur la chose, il n'empêche que rares sont ceux qui s'autoriseront de vivre malheureux de ne pas pouvoir réaliser ces fantasmes pour le motif qu'ils ont un contrat à respecter vis-à-vis d'une femme qu'ils aiment par ailleurs.

L'esprit a ses limites. La nature reprend ses droits. Le tout est de vivre avec l'autre et de vivre avec l'Autre.
60 ans Aube 167
bin moi, j'ai simplement pas envie....
34 ans 2571
Sophistication a écrit:
J'ai de l'adultère une vision très changeante depuis mon adolescence. Dans un premier temps je l'ai vu comme une forme de déni d'humanité de l'autre, comme un manque flagrant de valeurs et de droiture morale. Ensuite, pour avoir vécu la tentation au plus près, j'ai fini par me tourner vers des théories plus essentialistes, où la nature animale des primates que nous sommes était prise en compte comme poste principal de l'équation. Enfin, et c'est à cette conclusion que j'en suis arrivé: aucun homme ne cesse d'être attiré par les autres femmes.

C'est finalement un sentiment parfaitement naturel, si l'on considère que l'homme, au même titre que n'importe quelle autre espèce animale, est naturellement programmé pour faire autant d'enfants à autant de femmes différentes qu'il est possible. Car, bien loin de nous rendre compte que nous répondons à un plan qui nous dépasse, nous fonctionnons non pas pas individuellement, mais au niveau de l'espèce comme n'importe quel autre système organique organisé. A ce titre, la tentation et la réalisation de l'adultère seront de toutes les époques. Et quoique des facteurs puissent exagérés la tentation, comme une situation amoureuse difficile, une nature sanguine et fort portée sur la chose, il n'empêche que rares sont ceux qui s'autoriseront de vivre malheureux de ne pas pouvoir réaliser ces fantasmes pour le motif qu'ils ont un contrat à respecter vis-à-vis d'une femme qu'ils aiment par ailleurs.

L'esprit a ses limites. La nature reprend ses droits. Le tout est de vivre avec l'autre et de vivre avec l'Autre.



Tu oublies que la sexualité chez l'être humain est bien peu naturelle à notre époque. Le temps des primates est très lointain, existe-t-il encore, d'ailleurs? Aujourd'hui, le désir sexuel de l'homme est motivé par des éléments très différents de ceux de la nature.
Par exemple, quelle est la place des phéromones dans l'attirance sexuelle entre deux individus qui communiquent à distance par ordinateur ?
Les images mentales fantasmatiques qui déclenchent le désir obéissent à des causes très complexes, et essentiellement psychologiques, sociales, et tiennent aussi de l'histoire individuelle.
Nous n'avons plus de périodes de "chaleur", mais la répartition temporelle de nos rapports sexuels tient d'autres logiques (sociales, culturelles, personnelles).
Quelle est la place de l'instinct lorsqu'on apprend à l'école quels sont les différents types de préliminaires ?
A quoi servent d'ailleurs ces préliminaires du point de vue de l'espèce ? Pourquoi les faisons-nous si nous ne faisons qu'obéir à notre "nature"?

Tu dis qu'aucun n'homme ne cesse d'être attiré par les autres femmes : ce serait oublier que le désir a une très forte composante psychologique dans notre situation (époque, culture, qui viennent s'opposer à la nature primitive, qu'on connaît d'ailleurs assez mal). L'amour peut être indispensable au désir chez certaines personnes, à ce titre.

Enfin, pour moi, la culture et les coutumes ne viennent pas contrarier une "nature" plus vraie, authentique et refoulée. Je n'ai aucun regret de ne pas vivre une sexualité animale. Ca ne me ressemblerait pas, car je suis davantage un être de culture qu'un être de nature. Je ne m'interdis rien, je suis simplement comme nans84 : je n'ai pas envie d'un autre homme, tant pis pour les sceptiques...
60 ans Aube 167
Salammbo a écrit:
Sophistication a écrit:
J'ai de l'adultère une vision très changeante depuis mon adolescence. Dans un premier temps je l'ai vu comme une forme de déni d'humanité de l'autre, comme un manque flagrant de valeurs et de droiture morale. Ensuite, pour avoir vécu la tentation au plus près, j'ai fini par me tourner vers des théories plus essentialistes, où la nature animale des primates que nous sommes était prise en compte comme poste principal de l'équation. Enfin, et c'est à cette conclusion que j'en suis arrivé: aucun homme ne cesse d'être attiré par les autres femmes.

C'est finalement un sentiment parfaitement naturel, si l'on considère que l'homme, au même titre que n'importe quelle autre espèce animale, est naturellement programmé pour faire autant d'enfants à autant de femmes différentes qu'il est possible. Car, bien loin de nous rendre compte que nous répondons à un plan qui nous dépasse, nous fonctionnons non pas pas individuellement, mais au niveau de l'espèce comme n'importe quel autre système organique organisé. A ce titre, la tentation et la réalisation de l'adultère seront de toutes les époques. Et quoique des facteurs puissent exagérés la tentation, comme une situation amoureuse difficile, une nature sanguine et fort portée sur la chose, il n'empêche que rares sont ceux qui s'autoriseront de vivre malheureux de ne pas pouvoir réaliser ces fantasmes pour le motif qu'ils ont un contrat à respecter vis-à-vis d'une femme qu'ils aiment par ailleurs.

L'esprit a ses limites. La nature reprend ses droits. Le tout est de vivre avec l'autre et de vivre avec l'Autre.



Tu oublies que la sexualité chez l'être humain est bien peu naturelle à notre époque. Le temps des primates est très lointain, existe-t-il encore, d'ailleurs? Aujourd'hui, le désir sexuel de l'homme est motivé par des éléments très différents de ceux de la nature.
Par exemple, quelle est la place des phéromones dans l'attirance sexuelle entre deux individus qui communiquent à distance par ordinateur ?
Les images mentales fantasmatiques qui déclenchent le désir obéissent à des causes très complexes, et essentiellement psychologiques, sociales, et tiennent aussi de l'histoire individuelle.
Nous n'avons plus de périodes de "chaleur", mais la répartition temporelle de nos rapports sexuels tient d'autres logiques (sociales, culturelles, personnelles).
Quelle est la place de l'instinct lorsqu'on apprend à l'école quels sont les différents types de préliminaires ?
A quoi servent d'ailleurs ces préliminaires du point de vue de l'espèce ? Pourquoi les faisons-nous si nous ne faisons qu'obéir à notre "nature"?

Tu dis qu'aucun n'homme ne cesse d'être attiré par les autres femmes : ce serait oublier que le désir a une très forte composante psychologique dans notre situation (époque, culture, qui viennent s'opposer à la nature primitive, qu'on connaît d'ailleurs assez mal). L'amour peut être indispensable au désir chez certaines personnes, à ce titre.

Enfin, pour moi, la culture et les coutumes ne viennent pas contrarier une "nature" plus vraie, authentique et refoulée. Je n'ai aucun regret de ne pas vivre une sexualité animale. Ca ne me ressemblerait pas, car je suis davantage un être de culture qu'un être de nature. Je ne m'interdis rien, je suis simplement comme nans84 : je n'ai pas envie d'un autre homme, tant pis pour les sceptiques...


merci salammbo...

je ne me pose même pas la question de ce qui pousse a l'adultère...
car se poser la question, c'est déjà se trouver des excuses pour qd on franchira le cap...
et se créer la situation...
il n'est plus aussi, gentil qu'avant, il n'offre plus de fleurs, la belle affaire
il n'a plus envie tous les jours comme au début, mais ca c'est normal... et nous ne sommes pas non plus des machines, le boulot, la fatique, les enfants, les soucis... ( ca fait pas très primate, ca )
et puis l'attente de quelques jours rend le plaisir encore plus fort...
je suis pour la discussion, qd quelque chose ne va pas, on en parle...
on veut toujours aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte.
mais un couple, ce n'est pas que le sexe, c'est une alchimmie, des dialogues, un regard, un sourire, c'est vivre avec l'autre une relation basée non pas sur la sexualité, mais sur le respect, la parole, les buts communs.....
2630
Sephira a écrit:
Alors, je vais dire comment je vois les choses du haut de mes 25 ans et de ma relation actuelle (car je pense que ma vision des choses à ce sujet pourrait changer selon le type de relation que j'ai avec telle ou telle personne).

Avec chéri, on en a déjà discuté. Pour moi, c'était important de savoir l'un comme l'autre ce qu'on en pensait. Et on est tous les deux d'accord pour dire que, dans l'idéal, on aimerait ne pas tromper l'autre, mais que dans les faits, ça peut arriver, pour x ou y raison.

Et celle qui me paraît la plus probable serait de rencontrer quelqu'un qui me fasse chavirer, à ce moment précis, plus que mon chéri.
Mais parallèlement à cela, on s'est fait la même réfléxion tous les deux: si un jour on se rendait compte qu'on commençait à avoir des sentiments ou une attirance très forte pour quelqu'un d'autre, on s'en parlerait à coeur ouvert, même si ça fait mal. Car je pense sincèrement que ça pourrait révéler un manque dans notre relation.

Je ne dis pas que ce doit être le cas pour tout le monde, je dis simplement que c'est de cette manière qu'on voit les choses, chéri et moi, à l'heure actuelle.

Je ne pense pas non plus qu'une frustration sexuelle pourrait me pousser à tromper. Même si le sexe est important pour moi dans la relation, nous avons des hauts et des bas à ce sujet. La libido n'est pas linéaire, elle fluctue en fonction de ce qu'on vit, des moments qu'on passe ensemble... et j'accepte parfaitement bien de ne rien faire certains moments.

Mon chéri a eu une libido au ras des pâquerettes pendant presque 7 mois, à cause d'une dépression, et durant ces 7 mois, même si je me sentais un peu frustrée et que ça me manquait, je n'ai jamais été tentée d'aller voir ailleurs.
Et puis, je sais me débrouiller toute seule aussi :lol:

Et puis on est chacun conscient qu'on n'a pas tout le temps envie en même temps, et chacun respectueux du fait que l'autre peut avoir envie de le faire seul à certains moments. La masturbation n'est pas tabou dans notre couple et ça nous aide beaucoup à respecter le manque qui peut arriver quand on n'est pas raccord.

Bref, voilà.

Je pense que si un jour j'avais une attirance trop forte pour quelqu'un, je me poserais des questions sur mon couple. Et si je me rendais compte que je n'avais plus envie de le sauver, je quitterais mon conjoint avant d'aller voir ailleurs, ne serait-ce que pour être au clair dans ma tête sur ce que je fais.

Maintenant, tout cela n'est que pure hypothèse, vu que la situation ne s'est encore jamais présentée. Mais c'est comme ça que nous voyons les choses à l'heure actuelle.


Je me retrouve dans ton message ; avec mon copain, on part du principe qu'on peut se parler de tout, voir même qu'il est plus sain de se parler de tout notamment quand ça concerne les sentiments ...

Je pense que le dialogue peut arranger beaucoup de choses à ce niveau-là, et que l'adultère arrive souvent quand on cache des choses et/ou qu'on ne veut pas en parler ; dire à son conjoint qu'on a ressenti une certaine attirance pour telle ou telle personne, c'est le meilleur moyen pour mettre les choses au clair, choisir d'une solution à convenir (ne plus voir cette personne, ou plus qu'en présence de son conjoint, ou pimenter les choses dans le couple si les choses allaient un peu plus mal, ou éventuellement se séparer si on voit que rien ne va plus, etc)
Cela dit, il faut impérativement avoir un conjoint qui est d'accord, parce qu'évidemment, il y aura des gens qui prendront mal qu'on vienne leur parler d'un coup de coeur ou d'une attirance pour un autre, et fermeront le dialogue ... :?

Je sais que si mon copain se montre parfaitement honnête avec moi, je n'aurais jamais de raison de lui en vouloir, quand bien même il m'aurait trompé (en étant saoul par exemple, et qu'il m'en parle dès le lendemain pour s'excuser).
Parce qu'en soi, moi c'est pas l'adultère qui me dérange, c'est le mensonge.
S'il me ment, ou s'il me cache des choses importantes, là je ne pourrais pas le pardonner, simplement parce que je n'aurais plus confiance en lui ...
1834
Effectivement c'est vraiment le sentiment de trahison et de mensonge qui fait bien plus mal que la chose en elle-même.

Mon grand truc du moment ce serait d'arriver à faire "avouer" à mon ex qu'elle m'a bien trompée en s'engageant dans
une autre relation sérieuse à peine quelques semaines après la fin de la notre (de trois ans, dont deux de vie commune).
Je sais, ça peut paraitre abusif comme ça, mais c'est plus compliqué évidemment je vous passe les détails pour faire court.

C'est dingue comme ça me libérerait d'un poids ce simple fait d'assumer, je sais pas pourquoi...

L'honnêteté c'est vraiment quelque chose qui peut apaiser la douleur, quand bien même elle ne change rien à la réalité. :roll:
60 ans douai 1905
moi je dirais tout simplement que si je devrais tromper mon homme, c'est parce que je chercherais chez un autre ce que je ne trouves pas chez lui, ce que je n'ai pas avec lui....aussi qu'il se rassures, je suis totalement comblée avec lui, je suis épanouie, heureuse, j'ai tout ce qu'il faut coté sexe, et franchement, je ferais la plus grosse bétise du monde si je le quittais.... non, non, je suis sérieuse, pourquoi allez cherchez ailleurs ce que l'on a déja chez soit????
60 ans Aube 167
lamaya59 a écrit:
moi je dirais tout simplement que si je devrais tromper mon homme, c'est parce que je chercherais chez un autre ce que je ne trouves pas chez lui, ce que je n'ai pas avec lui....aussi qu'il se rassures, je suis totalement comblée avec lui, je suis épanouie, heureuse, j'ai tout ce qu'il faut coté sexe, et franchement, je ferais la plus grosse bétise du monde si je le quittais.... non, non, je suis sérieuse, pourquoi allez cherchez ailleurs ce que l'on a déja chez soit????


exactement comme moi....
46 ans Ouest lyonnais 1301
J'ai un raisonnement assez simpliste là-dessus.

Parfois, il m'est arrivé de ressentir de l'attirance pour un autre homme que celui avec qui j'étais bien sur. ya rien de mal à ça. Mais ou mes sentiments envers "mon" homme étaient assez fort pour que je ne me laisse pas aller à la tentation, ou je le quittais. J'ai toujours rapproché le besoin de voir ailleurs avec une grande insatisfaction, un mal-être dans son couple.
quel est l’intérêt de rester avec une personne si on est pas heureux avec ?
Et quel est l’intérêt de la tromper au risque de la faire souffrir si on est plus heureux avec ?
L
42 ans Gard 87
Ylliria a écrit:
quel est l’intérêt de rester avec une personne si on est pas heureux avec ?
Et quel est l’intérêt de la tromper au risque de la faire souffrir si on est plus heureux avec ?


Je suis assez d'accord avec ça.

J'ajouterais qu'à mes yeux, il y a 2 tromperies :
- le coup d'1 soir, purement "sexuel". Là, ba, soit l'envie de séduction, soit la pulsion, soit l'insatisfaction, l'envie de voir ailleurs. A mes yeux, ça serait à la limite la moins "grave" (même si ça n'enlève rien au geste)
- la tromperie par manque... et là, c'est pas que sessuel, mais aussi de tendresse, d'affection, d'attention pt-être aussi. Et là, j'pense que ça traduit un vrai réel malaise dans le couple, et que oui, je rejoins Ylliria, il vaut mieux partir dans ces cas là, que faire 2 choses à la fois, vu que la 1ère est vraiment bancale, ayant entrainé la 2ème qui le sera tout autant
36 ans 65
Je n'ai jamais trompé un seul de mes copains, et pourtant c'est pas les occasions qui manquaient.
Aussi attirée puis-je être par un homme, je ne tromperais pas mon mari, je ne suis pas un animal qui ne maîtrise pas ses envies et qui fout tout en l'air sur un coup de tête.
Quant aux mensonges...tout finit par se savoir tôt ou tard, je ne vois pas l'utilité.
A quoi bon se mettre en couple si c'est pour copuler à gauche à droite sous prétexte de frustration sexuelle?
L'adultère est un total manque de respect que je ne m'autorise pas à franchir.
B I U


Discussions liées