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clinique du Grau du Roi ?

45 ans 821
Bonjour les filles,

j'ai déserté la section Ra du forum du fait d'une année bien compliquée .... au cours de laquelle j'ai bien entendu laissé tomber la RA (et repris tout  
le poids qu'elle m'avait fait perdre).

Mais je garde un souvenir bien marqué de tout ce que j'avais gagné grâce à la RA : pas de culpabilité, pas de prise de poids (j'en avais perdu pas mal)même si les débuts avaient été très laborieux, un mieux être évident et .... de l'espoir pour l'avenir (règler le pb de TCA avant l'arrivée du diabète).

je voudrai reprendre la RA du début mais j'ai trop de problème au boulot pour le faire calmement. L'idéal serait d'être hospitalisée dans un environnement pratiquant la RA. Je pense qu'il n'y a aucun étblissement agrée sécu qui applique la méthode Zermati mais j'ai un doute sur la clinique du Grau du Roi.

J'ai lu un témoignage sur linecoaching disant qu'elle avait appris la méthode dans cette clinique ....

Bref, si l'une de vous connait la clinique, je suis preneuse d'information.

ce que je veux éviter à tout prix : la clinique de type Villecresnes où on te mets au régime (1400 c avé les protéines, glucides, lipides et une bien pensance alimentaire à gerber).

alors les filles, des expériences sur cette clinique ?
S
53 ans suisse 993
Je n'ai aucune idées des cliniques ra.
Je te réponds car j'ai eu d'énormes soucis de travail qui se sont soldées par un burn out. Et clairement la RA dans ces conditions c'est super dur.

J'ai continué tant bien que mal enfin surtout en respectant faim et satiété. J'ai repris il y a quelques temps des consultations en privé ainsi qu'une formation à la pleine conscience. Et je vsoi vraiment que ma disponibilité est différente.

Par ex tant qu'il y avait tous ces soucis ma tolérance à la faim la frustration, l'anxiété etc... était nettement diminuée et faire des exercices comme le fractionnement me donnait surtout beuaocup d'inconfort émotionnel.

Maintenant si tu trouves ce fameux endroit de la clinique ra qui de ne te donne pas de régime et que ca t'aide tant mieux.

Sinon tu pourrais aussi t'offrir une journée avec apfeldorfer et zermati, ils offrent cela sur linecoaching mais c'est ouvert à ceux qui n'y sont pas inscrits.
45 ans 821
j'avais consulté zeramati au début mais vu ma dispo j'y allais rarement et la consultation était trop chère pour moi. tout ça + les pbs de travail (burn out, pulsion suicidaire au travail, stress etc.)la RA est très dure à relancer mais ça devient urgent pour moi de reprendre vu que mon poids, vu le stress, monte en flèche et va bientôt restreindre ma mobilité :x

Donc je pense que mon seul moyen serait d'être trrèèèsss loin de mes problèmes de taf pour pouvoir réamorcer la pompe et après voir si je peux continuer malgré le milieu "hostile".

Je vais m'inscrire sur linecoaching, rien que pour voir ce que ça donne. ce qui me saoule c'est que je crois me souvenir qu'il ne donnait pas accès à toute la méthode d'un coup mais par étape ... et ça, ça va me gonfler sévère rapidement ...
37 ans 1547
C'est effectivement très séquencé, chaque étape après chaque étape. Dur d'aller plus vite. D'autant que certaines étapes sont différentes selon le vécu à l'étape précédente.

Pour la clinique, je pense que le mieux est de demander le nom des professionnels et de regarder sur la liste du gros, et aussi de contacter la diététicienne, le médecin responsable, pour connaître le type d'approche. Les professionnels qui exercent sauront dire s'ils proposent ou non un régime ou un travail comportemental ou les deux à la fois (ce qui est le plus probable). De toute façon j'imagine qu'on consulte avant d'intégrer un "séjour". Tiens nous au courant ça pourrait en intéresser d'autres ;)

Si tu as envie d'en discuter niveau RA/mobilité physique/exercices de régulation on peut peut être t'épauler dans ce moment compliqué pour toi.
45 ans 821
merci Papille.

En ce moment, je cherche un peu tout azimut un moyen de m'y remettre mais paaffff, dès dimanche soir, je rentre de nouveau en transe à cause du taf et je me remets dans la spirale infernale de manger pour gagner 10 minutes de répis, de soulagement.

En ce moment j'essaie de travailler sur les idées mauvaises. Je ne sais plus comment Zermati appelé ça ; les idées fixes ?

en ce moment l'idée fixe c'est

ça va très mal se passer au travail = tu vas être licencié sous les huets et la vindicte collective = tu vas tout perdre = après quelques mois tu deviendras SDF et il t'arrivera des choses horribles

Z. me disait que ce genre de film d'horreur que je me passais dans la tête rendrait n'importe qui aussi flippée que moi et qu'il fallait que j'arrive soit à m'en défaire soit à prendre du recul. Donc c'est par ça que j'essaie de commencer : me foutre de la gueule de mon idée fixe. Mais pas facile voire impossible. c'est du lourd et du bien ancré.

côté nourriture : dès qu'une pulsion vient j'essaie de repérer l'idée de fixe et de me foutre de sa gueule pour faire baisser l'envie de baffrer.

Je n'en suis pas encore à écouter ma faim ....
S
53 ans suisse 993
Tu es très lucide sur le fait que la RA a marché pour toi et que ca ne marche plus car tes conditions de vie ne le permettent plus.

Le poids est dans ce cas précis un symtôme, traiter le symptôme a mon avis aura une ffet éventuellement ponctuel mais si la cause n'est pas abordée..........tu vois la suite?

Je me permets de le dire car je l'ai vécu. Le burn out est une maladie sérieuse, qui peut se dérouler sur 6-8 ans et plus c'est pris en charge tôt mieux on s'en sort. Au mieux quelques semaines d'arrêt et une modification de sa manière de travailler. Si on en arriv eà la grosse dépression avec troubles du sommeil enxiété majeure non stop même le week end etc... (c'était mon cas) c'est plusieurs mois d'arrêt et un risque de rechute assez conséquent.

Mon amie était en burn out au même moment que moi dans une équipe de travail différente. Dans son cas elle avait perdu 15 kilos et était devenue rachitique, elle fumait comme un pompier ne dormait plus etc.... ses derniers mots au tel avec moi " en dernier recours je me foutrai en l'air"

Alors quand mon mari m'a dit assieds toi j'ai une mauvaise nouvelle.......elle s'est jetée du pont en rentrant chez elle un soir du travail, le pont aux suicidés.

Parler à son enterrement de la belle personne qu'elle était, de sa générosité, son soucis du travail bien fait, son rapport à la nature et aux animaux, tout ca ne la fera pas revenir.

POur ma part je sais que je ne peux pas faire l'impasse désormais dans ma vie de soigner ce qui a besoin d'être soigné. c'est une question de vie ou de mort.

Une autre connaissance est actuellement hospitalisée dans une clinique spécialisée burn out. Arrêt de travail de plusieurs mois. Pendant 4 semaines programme de relaxation ,groupe de paroles, nourriture bonne et belle tous les jours, piscine chauffée, séances de psy etc...etc......il va lui falloir du temps mais c'est quoi le temps?

Les pensées dont tu parles (sdf...hont---chomage etc...) je les appelle pensées propagandes. J'ai lu ca dans "méditer pour ne plsu déprimer". Les pensées propagandes veulent notre malheur, que l'on reste terrorisé, c'est un cercle vicieux dont il est très difficile de sortir seul, comme la dépression.

Mon doc me disait que il pose parfois la question "si on vous donnait quelques millions que feriez vous?" le burn outé dit "j'arrête de travailler je vis ma vie voyge je me retape et je construis des projets". Le vrai dépressif il s'en fout des millions il te dira que de toute facon la vie est horrible qu'il est seul et malheureux et que quelques millions ne changeront rien.

Dans les 2 cas les TCC et la pleine conscience aident, sauf qu'en cas de dépression majeure tu ne peux pas faire de pleine conscience tant que les symptômes dépressifs sous peine d'augmenter le risque de décompensation il faut dans un premier temps soigner les asepcts dépressifs.

La pleine conscience permet littéralement de reconstruire notamment l'hypoocampe qui se retrouve toute ratatinée. Nos cerveaux sont sensibles des mois de stress et d'angoisse font produire des tas d'hormones pas jojos de coritsol and co. Il faut beuaocup de temps pour soigner tout cela. Il faut une vie entière.

Alors la ra.........
S
53 ans suisse 993
Je viens compléter pour les pensées, pour moi lutter contre, vouloir les supprimer etc. ca ne marche pas elles reviennent toujours.

Dans mon cas j'ai appris à faire ami ami avec elle, à les reonnaitre les débusquer, les apprivoiser et apprendre d'elles. C'est long c'est introspectif ca prend du temps. Il y a par ex ruth harris et "le piège du bonheur " qui explique sa méthode. J'ai la mienne qui m'est propre je peux t'en parler en mp.

Une pensée quand elle se présente n'a aucun poids en elle même. quand je me dis "cette fois c'est foutu" c'est des mots. Des mots qui provoquent en mois des images des sensations et des comportements (manger fumer consommer...)

Quand je fais ami avec cette pensée et que je cherche à comprendre son message je vois que ce ne sont que des mots. Au moment ou je pense ca je suis sur mon canapé. je suis à l'abri il y a des gesn qui m'aiment tout va bien. Ca c'est le début de mon processus.

POur moi c'est un chemin qui ne peut pas se fair seul ca ron est trop "pris" par ce qu'on croit être la réalité , on croit au chomage, on croit à la honte , on croit qu'on va devenir sdf, le cerveau est comme convaincu de tout cela. Donc seule une personne extérieure qui m'aide peut me permettre de faire ce chemin de retrouver une réalité différente.

Dan mon cas j'ai rencontré différentes personnes, médecin, psy, ostéo, accup etc....qui m'ont accompagnée. Bon c'est vrai ca m'a couté un saladier mais c'est ce qu'il fallait.

Ce que j'ai gagné comme sérénité sur ce parcours c'est pour la vie entière. Par ex le 16 j'ai une réunion ou je vais apprendre la suppresion de mon poste à moyen terme, une histoire de droit de pratique de formation etc......et bine c'est ok, je stresse vaguement. Mais au fond e moi j'ai refais une formation, j'ai postulé je fais ce que je peux. Et ma foi la suite je n'en sais rien, le chomage le reclassement? qui sait. POur le moment je suis juste sur mon canapé. J'ai fait ce qui était en mon pouvoir, le reste ne m'appartient pas.

Le burn out pour moi m'a appris un truc énorme, lâhcer prise, baisser les armes, s'abandonner, dire "non je ne peux plus". Et retrouver derrière toute ma force, mon autonomie, mon amour de la vie.
45 ans 821
c'est bien ma peur : la RA ne pourra pas débuter tant que je ne règle pas mes pbs de taff ..... or ils durent depuis des années et des années. j'ai déjà été arrêté plusieurs mois pour dépression majeure suite à une expertise il y a quelques années + quelques semaines tous les ans+ hospitalisation en psychiatrie. J'ai une base dépressive et anxieuse qui se trouve démultipliée par le taf. Mon poste n'est pas du tout adapté à ma santé.

La seule solution serait de changer de métier (changer de façon de travailler supposerait que j'évolue dans un milieu professionnel raisonnable et un minimum bienveillant et souhaitant que les choses marchent). J'ai envoyé des centaines de CV (et ce n'est pas une exagération)...... Rien à faire, je ne suis pas bankable, et ce malgré de gros investissements financiers et humains en formations diverses et variées (à se demander comment les nouveaux entrants sans expérience pro arrivent à trouver un emploi ? :shock: ). La discrimination à l'obésité et à d'autres éléments n'arrangent pas mes candidatures bien entendu.

la dépression est là depuis maintenant 8 ans et le stress présent au quotidien (sauf pendant le "coeur" des arrêts maladie : les premiers jours je suis dans le mauvais trip, au milieu ça va mieux je dors et reste affalée sur le canapé puis quelques jours avant la reprise je commence à dégueler .... c'est pas très élégamment décrit mais c'est comme ça que cela se passe).

mon hypocampe doit être foutue depuis le temps .... :lol: j'ai en effet le cortisol et l'ACTH tous les deux "augmentés" ce qui est un non sens biologique ... sauf quand on est soumis à une anxiété majeure.

Mais même si reprendre une RA est très ambitieux dans ce contexte, j'ai intérêt de trouver une piste rapidement car il y a urgence : IMC à 60 ? je ne peux pas le savoir ma balance s'arrête à un poids déjà élevé mais je l'ai dépassé, des problèmes de motricité qui arrivent à grands pas (bientôt les escaliers ne seront plus possible pour moi), une prise de poids à des endroits douloureux (mon dos se "pince", ça fait mal - euphémisme -) etc. Et bien sûr, je ne veux pas de chirurgie, qui me tuerait à la première compulsion alimentaire, que mon poste ne manquera pas de me créér.


Bref une gentille clinique qui appliquerait la RA me serait d'une grande utilité et ça urge (même si je le doute qu'entre la demande et l'hospitalisation ils vont demander 6 mois (sauf si ils pensent qu'à mon IMC il y a vraiment urgence).

J'a déjà un psychatre qui me suit depuis toutes ces années, mais je serai intéressée par les coordonnées des psy spécialisés dans les pbs au travail. ;)
45 ans 821
nos messages se sont croisés. merci pour ta proposition de mp. je serai intéressée par savoir comment les idées mauvaises. Z . avait commencé à me l'expliquer mais j'ai arrêté de le voir à ce moment là et je ne me souviens plus du tout de ce que je dois en faire.


J'ai bien sûr encore d'autres idées mauvaises récurrentes qui font que je vis ma vie dans un état d'anxiété quasi permanent et je sais que c'est une clé si ce n'est LA clé des compulsions alimentaires. Tout cela fortement excité par mon poste.
45 ans 821
j'ai comme d'habitude lu trop vite. désolée pour ton emploi. c'est toujours très violent à apprendre et à gérer. :cry:
S
53 ans suisse 993
Non non t'inquiète pour mon emploi je ne le vis pa sis violemment. Ce qui est violent c'est d'accepter que mon emploi du temps ne m'apartienne pas, que je ne puisse pas exaucer de veoux pour des horaires, que je doive être dispo 7h sur 7 de 7h à 21h et que je n'aie que une demi après midi fixe de congé (quand elle est respectée).

Je fais aussi cv offres etc....et pour le moment malgré toutes mes formations ca ne marche pas. Mais je reste claire sur le fait de bine me soigner, respecter cette vie en moi et ma foi le reste le risque de licenciement etc....

As tu envisagé la possibilité d'une invalidité? je ne sais pas en france je vis en suisse mais avec des soucis chroniques de santé c'est une piste. Ici le système peut permettre de retrouver un emploi adapté mais c'est long et clairement ca passe par un sacrifice financier.

Pour les psy du travail ej ne sais pas comment ca se passe il doit y avoir des conusultations hospitalières spécialisées, ou même dans le service de santé de ta boîte?

Clairement certains emplois ne sont plus adaptés à certaines personnes. dans ce cas seul le départ peut permettre de s'en sortir, ou diminuer son temps si possible.

reste que quand on a un imc très important et des soucis de santé conséquents la piste de la chirurgie est là aussi. C'est une piste que je me garde quelquepart au fond de moi selon l'évolution de mon état de santé.

Mais même amincie quelle que soit la méthode ta santé étant atteinte depuis plusieures années en lien avec ton travail........tu n'as pas 10000000 solutions.
37 ans 1547
vivi75 a écrit:
Mais je garde un souvenir bien marqué de tout ce que j'avais gagné grâce à la RA : pas de culpabilité, pas de prise de poids (j'en avais perdu pas mal)même si les débuts avaient été très laborieux, un mieux être évident et .... de l'espoir pour l'avenir (règler le pb de TCA avant l'arrivée du diabète).


Vivi, te souviens-tu de ce qui t'avait aidé à entrer dans cette dynamique d'écoute envers toi (là c'était sur le plan alimentaire si j'ai bien compris) ? Etait-ce une période où tu avais arrêté de travailler ?

Ce que tu décris me fait partiellement penser à moi à un moment où je ne pouvais plus bouger sans ressentir de douleurs. Personnellement cette voie là, celle de retrouver du plaisir dans son corps, a été cruciale et a ensuite permis de déployer d'autres chose.
Ça ne règle pas du tout le reste, mais ça permet de mieux le supporter avant de trouver d'autres ressources pour les autres domaines.
Peut-être trouveras-tu plus facilement des professionnels capables de t'aider à cela à proximité, comme des kiné ou des éducateurs sportifs, ou dans le cadre d'associations.
Un pas après l'autre, et souvent, les choses étant terriblement intriquées, se mobiliser sur l'un vient mobiliser les autres. Perso la nourriture était un domaine tellement dévasté que ça n'a pas pu être la voie d'accès pour aller mieux.

Ce n'est qu'une suggestion, pas forcément ajustée car je pense à mon expérience mais je sais bien que ça n'a pas forcément valeur pour tout le monde.
En tout cas je te souhaite de trouver le terrain d'expérimentation qui te convient, ça permet aussi de faire un pas de côté avec les pensées et de s'ancrer dans des expériences "vivifiantes".
45 ans 821
Pour l'invalidité mon psy refuse cette voie estimant que je suis parfaitement apte mais pas à mon emploi. Je supporte même pas mal le stress à condition que ce ne soit pas sur une longue période ou à un niveau dingo. D'autres psy consultés sont ok avec ça. pas d'invalidité car je ne suis pas invalide.... Je suis obligée de suivre car en France l'invalidité, c'est la misère assurée ... Et je ne suis pas assez atteinte pour avoir une allocation adulte handicapée du fait de la dépression.

Le médecine du travail a essayé de m'aider mais ça n'a pas été très efficace.

Ma seule solution est de changer d'emploi : mais après 500 C envoyés sur 3 ans (que des candidatures ciblées et personnalisées à chaque fois), je me dis qu'il est impossible de changer de métier malgré ma reprise d'études qui m'a donné un tout nouveau diplôme, tout beau ... qui ne me sert à rien.

Pour répondre à Papille : en effet, lorsque j'ai commencé la RA, j'étais en arrêt maladie pendant 3 mois ..... dès que je m'éloigne du travail, je n'ai "que" mes pbs de dépression à régler et, même si c'est dur, je peux avancer.

En ce moment j'ai très envie d'aller à la piscine mais n'ai plus le courage d'y aller :cry:
45 ans 821
énorme nouvelle pour les chanceuses qui habitent la région du Grau du Roi (mais uniquement ces personnes là :cry: ) :
le CHU de nimes secteur diabeto et je sais plus quoi, applique la méthode de rééducation alimentaire (satiété, sensation alimentaire etc.) pendant des séjours de 14 à 21 jours avec des ateliers menés par infirmière et médecin.

heureuse pour celles qui pourront en bénéficier (et malheureuse comme les pierres pour moi).

L'ARS restreint l'accès au CHU de Nimes aux gens de la seule région.
B I U