60 ans
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9kristel7 a écrit:
Principe de précaution uniquement. On considère que moins une substance va venir perturber le fonctionnement normal du corps (alcool, tabac, drogues, excès alimentaires...) plus les chances de réussite sont bonnes, plus les traitements ont de chance de mieux être métabolisés par l'organisme et plus ils seront efficaces.Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de traitements lourds et surtout très chers et qu'il vaut mieux mettre toutes les chances de son côté pour que ça marche.
C'est aussi purement psychologique. Si on dit à une personne de réduire sa consommation d'alcool, il faut d'abord savoir de quelle consommation on parle. Entre une femme qui boira un apéro par semaine et une qui boit du vin quotidiennement, la réduction de consommation n'est pas la même. Or, il n'y a pas de dose "recommandée". Le plus simple c'est donc de dire 0 alcool, 0 drogue, 0 tabac, là au moins on est sûr que le maxi n'est jamais dépassé ! ;)
Il n'y a qu'à voir comment ça se passe avec l'alcool au volant, personne ne sait clairement si et quand il dépasse les 0,50g d'alcool. Ne pas boire du tout reste la seule façon de ne pas dépasser ! ;)
Et puis ce n'est jamais simple de demander à quelqu'un quelle est sa consommation d'alcool, et la plupart du temps les gens mentent sur ce sujet, surtout s'ils ont un problème. Là encore, ne rien demander et dire 0 consommation est un principe de précaution. Si la personne boit, elle le fait mais sans l'accord tacite du médecin.
En fait j'aimerai savoir une chose (et c'est une vrai question) Pourquoi nous est-il déconseillé de boire (quand je dis boire je veux dire "boire raisonnablement") avant et pendant le traitement ?
La réponse à cette question pourra peut être aider celles qui n'ont pas encore pris de décision à ce sujet.
La réponse à cette question pourra peut être aider celles qui n'ont pas encore pris de décision à ce sujet.
Principe de précaution uniquement. On considère que moins une substance va venir perturber le fonctionnement normal du corps (alcool, tabac, drogues, excès alimentaires...) plus les chances de réussite sont bonnes, plus les traitements ont de chance de mieux être métabolisés par l'organisme et plus ils seront efficaces.Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de traitements lourds et surtout très chers et qu'il vaut mieux mettre toutes les chances de son côté pour que ça marche.
C'est aussi purement psychologique. Si on dit à une personne de réduire sa consommation d'alcool, il faut d'abord savoir de quelle consommation on parle. Entre une femme qui boira un apéro par semaine et une qui boit du vin quotidiennement, la réduction de consommation n'est pas la même. Or, il n'y a pas de dose "recommandée". Le plus simple c'est donc de dire 0 alcool, 0 drogue, 0 tabac, là au moins on est sûr que le maxi n'est jamais dépassé ! ;)
Il n'y a qu'à voir comment ça se passe avec l'alcool au volant, personne ne sait clairement si et quand il dépasse les 0,50g d'alcool. Ne pas boire du tout reste la seule façon de ne pas dépasser ! ;)
Et puis ce n'est jamais simple de demander à quelqu'un quelle est sa consommation d'alcool, et la plupart du temps les gens mentent sur ce sujet, surtout s'ils ont un problème. Là encore, ne rien demander et dire 0 consommation est un principe de précaution. Si la personne boit, elle le fait mais sans l'accord tacite du médecin.