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Le grand changement, avez-vous osé ?

52 ans Sous la pluie !!! 4781
Si on peut répondre pour plusieurs changements alors moi il y en a eu 2 autres
:arrow: à 17 ans j'ai quitté ma famille pour m'installer avec  
mon ex et vivre une grande et belle histoire qui a durée 7 ans :roll:
:arrow: il y a 2 ans avec Obléix et les monstres ont à quitté Marseille, nos amis, leur école et tout pour venir en Auvergne laors c'est vrai que les débuts ont étaient catastrophique :cry: mais maintenant j'ai enfin une maison que j'aime dans une région que j'ai appris à aimer \:D/
Donc non décidemment je ne regrettes rien de rien ;)
S
101 ans 4480
J'y pense de plus en plus ;)
Envie de tout lacher sur place et venir m'installer à PAris, mon rêve de gamine..

Envie de couper les ponts avec certaines personnes et me rapprocher d'autres...

Envie de bouger....

je crois que ça risque d'arriver plus tot que prévu 8)
48 ans 17521
Je suis en train de le faire... Et je ne suis pas super rassurée...

Déja je vais avoir un bébé, ce qui n'était pas du tout prévu au programme... ensuite je pars m'installer avec mon ami à l'autre bout de la france (nice) alors que je suis sur paris depuis 1995, que j'y ai tous mes amis, mon réseau, et surtout mon boulot, pour lequel je ne peux pas obtenir de mutation... donc repartir à zéro une fois encore, changer de taf, d'orientation, et partir dans un endroit où je n'ai personne à part mon ami... pour élever un enfant en plus...

Bon... on verra bien ce que ça donne, mais franchement, ça me fout les boules, je ne suis pas du tout optimiste... trop de trucs à la fois... :?
U
48 ans 1910
Je contribue...
J'ai jamais TOUT plaqué pour aller vivre ailleurs. Par contre, j'ai décidé un jour de faire ce que j'avais envie de faire quoiqu'en dise tout le monde autour et me voilà partie à 450 km (seulement !) de chez moi... pour faire une formation de menuiserie et je suis devenue menuisière.

Puis au bout de 4 ans, un matin... j'ai quitté la menuiserie définitivement et ça a été la galère... mais je ne regrette rien du tout...
parce que la vie ne serait pas ce qu'elle est si j'avais pas fait tout ça ! et quel dommage ce serait !
52 ans strasbourg 6049
tout quitté pour mon ex. puis tout quitté avec mon ex pour revenir ici et recommencer, puis quitté mon ex alors que j'avais 0 revenus avec un enfant en bas age (sans l'aide familiale donc ct la merde) puis... j'ai fait faire le grand saut à mon copain actuel (c'est leur tour maintenant :D)

en fait le tout quitter ce que je voulais à la base, c'est prendre un sac à dos et faire l'australie, l'angleterre et les états unis à pied et en stop. ca j'ai pas pu je suis tombée amoureuse avant :)
49 ans albertville 1799
discogrenouille a écrit:
J'ai pas voté car comme Lodie l'a dit c'est pas comme LE grand saut, c'est la vie qui continue.



Je suis aussi du même avis.
Les déménagements ne constituent pas pour moi "LE GRAND CHANGEMENT". Depuis fin 99 que je travaille, j'ai travaillé successivement dans 5 villes de France différentes (et toutes aussi éloignées les unes des autres), et je ne compte pas les différents déménagements dans ces mêmes villes (donc du coup j'ai habité 7 logements différents en 9 ans)
Et je sais bien que d'ici qques mois j'aurais une prochaine mutation probablement sur Paris, à moins que (vu que mon entreprise gagne pas mal de marchés à l'étranger) ce ne soit dans un pays autre que la France.
Mais même cela ne constitue pas un grand changement, c'est une évolution de vie, j'avais prévu ma vie comme ça, une carrière que j'essaie de mener, des opportunités que je prends, que je refuse....

Pour moi le grand changement serait, par exemple, de tout arrêter et de partir élever des vaches en amérique du sud. Je ne dis pas que c'est un rêve, je dis cela pour l'exemple.

Mais une évolution de poste, un déménagement..., ne constituent pas en soi de véritables changements.
1443
Les grands changements concernaient toujours ma scolarité.

A 15 ans j'étais dans une classe sport étude-européenne et c'était évident pour tout le monde (profs, amis, parents) que j'irai dans un lycée général continuer des études du même ordre.
Sauf que non. A la fin de l'année j'ai décidé d'aller en BEP menuiserie.

Dans ce genre de classe aller en lycée professionnel c'est forcément une régression donc j'ai eu droit à tout les commentaires, un nombre incalculable de rendez-vous avec l'équipe pédagogique pour essayer de me dissuader (comme si j'allais me jeter sous un train)...

Mais j'ai pas flanchie, je me suis retrouvée seule fille du lycée, j'ai passé mon BEP, mon CAP, j'ai perdu mes copines "d'avant", il a fallu que je me batte pour trouver ma place, pour trouver des stages, contre les préjugés de ma famille, ça a complètement bouleversé ma petite vie tranquille et protégée.

Après 3 ans de menuiserie j'ai tout plaqué, le patron et ses regards lubriques, le vestiaire plein de photos pornos et j'ai décidé de tout reprendre à 0.
La évidemmment, re :shock: pour tout le monde.
J'avais commencé à travailler et je voulais retourner en seconde, je perdais la tête, fallait que j'arrête mes conneries...
Mais en bonne tête de mule que j'étais, toujours pas laissé tomber l'idée.

Je re-plaque donc tout et pars en internat (grâce à une bourse providentielle) pour rentrer en seconde dans un lycée qui m'acceptait à ce moment là.
Je passe deux semaines en seconde, on me propose finalement d'aller directement en première, j'accepte et je passe donc mon bac deux ans plus tard.

A ce niveau je ne sais plus trop ce que je veux faire de ma vie mais ma mère refuse catégoriquement que je recommence à travailler, je m'inscris donc à la fac en anglais.

Je déménage à nouveau, m'installe dans ma cité U, m'inscris à tous mes cours, commence à faire des connaissances...et deux mois plus tard, subitement, en cours de civilisation j'ai l'impression de n'être plus à ma place. J'ai l'impression de m'étouffer...
Ce jour là j'ai attendu la fin du cours, j'ai récupéré ma valise dans ma chambre, j'ai fait du stop et je suis rentrée chez moi, j'ai dit à ma mère que je n'y retournerai pas (et je n'y suis pas retournée si ce n'est pour re-déménager mes affaires chez mon chéri).

Ca commencait à faire un peu beaucoup de changements subits dans ma vie, je me suis posée, installée avec mon homme, j'ai trouvé du travail comme animatrice et pendant un an j'ai vraiment cru (mais les autres y ont-ils cru ?) que c'était ma voie....

Un beau matin de septembre j'ai eu une subite illumination et je me suis ré-inscrite à la fac (mais dans ma ville cette fois) en Information-communication et médiation culturelle.
Plus personne n'a cherché à me contrarier, et aujourd'hui je passe en 3ème année... :D

Bref (enfin pas tellement) ces changements paraissent minimes mais ils ont systématiquement tout bouleversé dans ma vie, il a fallu que j'affronte systématiquement mon entourage, que j'accepte de laisser tomber tout ce que j'avais obtenu, que je déménage régulièrement et que je change d'amis à chaque fois...
52 ans strasbourg 6049
mike73400 a écrit:
discogrenouille a écrit:
J'ai pas voté car comme Lodie l'a dit c'est pas comme LE grand saut, c'est la vie qui continue.



Je suis aussi du même avis.
Les déménagements ne constituent pas pour moi "LE GRAND CHANGEMENT". Depuis fin 99 que je travaille, j'ai travaillé successivement dans 5 villes de France différentes (et toutes aussi éloignées les unes des autres), et je ne compte pas les différents déménagements dans ces mêmes villes (donc du coup j'ai habité 7 logements différents en 9 ans)
Et je sais bien que d'ici qques mois j'aurais une prochaine mutation probablement sur Paris, à moins que (vu que mon entreprise gagne pas mal de marchés à l'étranger) ce ne soit dans un pays autre que la France.
Mais même cela ne constitue pas un grand changement, c'est une évolution de vie, j'avais prévu ma vie comme ça, une carrière que j'essaie de mener, des opportunités que je prends, que je refuse....

Pour moi le grand changement serait, par exemple, de tout arrêter et de partir élever des vaches en amérique du sud. Je ne dis pas que c'est un rêve, je dis cela pour l'exemple.

Mais une évolution de poste, un déménagement..., ne constituent pas en soi de véritables changements.


en fait ca dépend ce que ce changement implique pour toi... ce ne sont pas pour moi les 14 déménagements que j'ai fait qui m'ont fait dire que j'avais changé de vie. mais parce que les fois citées ont été vraiment un grand inconnu et par là même une grande angoisse...
moi la question je l'ai comprise comme ca, dans l'esprit de chacun "le grand saut" est différent.
comme karen le fait d'avoir un enfant avec un homme c'était "angoissant" mais ca l'a moins été que le jour où je suis partie avec ma tente pour ne pas revenir finalement et me marrier en moins de 110 jours à peine 3 mois plus tard... question de point de vue ;)
52 ans strasbourg 6049
erratum : me marrier en moins de 10 jours (pas 110 :lol: )
42 ans Sud Ouest 3873
louis_cyfer a écrit:
mike73400 a écrit:
discogrenouille a écrit:
J'ai pas voté car comme Lodie l'a dit c'est pas comme LE grand saut, c'est la vie qui continue.



Je suis aussi du même avis.
Les déménagements ne constituent pas pour moi "LE GRAND CHANGEMENT". Depuis fin 99 que je travaille, j'ai travaillé successivement dans 5 villes de France différentes (et toutes aussi éloignées les unes des autres), et je ne compte pas les différents déménagements dans ces mêmes villes (donc du coup j'ai habité 7 logements différents en 9 ans)
Et je sais bien que d'ici qques mois j'aurais une prochaine mutation probablement sur Paris, à moins que (vu que mon entreprise gagne pas mal de marchés à l'étranger) ce ne soit dans un pays autre que la France.
Mais même cela ne constitue pas un grand changement, c'est une évolution de vie, j'avais prévu ma vie comme ça, une carrière que j'essaie de mener, des opportunités que je prends, que je refuse....

Pour moi le grand changement serait, par exemple, de tout arrêter et de partir élever des vaches en amérique du sud. Je ne dis pas que c'est un rêve, je dis cela pour l'exemple.

Mais une évolution de poste, un déménagement..., ne constituent pas en soi de véritables changements.


en fait ca dépend ce que ce changement implique pour toi... ce ne sont pas pour moi les 14 déménagements que j'ai fait qui m'ont fait dire que j'avais changé de vie. mais parce que les fois citées ont été vraiment un grand inconnu et par là même une grande angoisse...
moi la question je l'ai comprise comme ca, dans l'esprit de chacun "le grand saut" est différent.
comme karen le fait d'avoir un enfant avec un homme c'était "angoissant" mais ca l'a moins été que le jour où je suis partie avec ma tente pour ne pas revenir finalement et me marrier en moins de 110 jours à peine 3 mois plus tard... question de point de vue ;)


En effet, comme je l'ai mentionné plus haut, pour notre cas ce serait à la fois, quitter un boulot, soit pour monter un truc (ce qui implique non seulement un changement important mais aussi une prise de risque importante) soit pour se réorienter, avec aussi donc un changement de lieu conséquent (l'autre bout de la France).
Non pas qu'on ait eu l'intention de s'encroûter quelque part, mais quand on a déménagé souvent enfant, on a envie de se poser de s'installer en dur au bout d'un moment. Enfin, moi, en tout cas :roll:.
Parce que vivre en permanence comme "en provisoire" ben c'est pas très satisfaisant pour nous. Et c'est pas ce qu'on souhaite pour notre fille.

J'ai volontairement laissé la question très ouverte, mais louis_cyfer l'a bien compris, quand on a toujours vécu, admettons, 30 ans dans un rayon de 100 km, partir s'installer seul à 500 km c'est un grand changement.
42 ans Sud Ouest 3873
mike73400 a écrit:
discogrenouille a écrit:
J'ai pas voté car comme Lodie l'a dit c'est pas comme LE grand saut, c'est la vie qui continue.



Je suis aussi du même avis.
Les déménagements ne constituent pas pour moi "LE GRAND CHANGEMENT". Depuis fin 99 que je travaille, j'ai travaillé successivement dans 5 villes de France différentes (et toutes aussi éloignées les unes des autres), et je ne compte pas les différents déménagements dans ces mêmes villes (donc du coup j'ai habité 7 logements différents en 9 ans)
Et je sais bien que d'ici qques mois j'aurais une prochaine mutation probablement sur Paris, à moins que (vu que mon entreprise gagne pas mal de marchés à l'étranger) ce ne soit dans un pays autre que la France.
Mais même cela ne constitue pas un grand changement, c'est une évolution de vie, j'avais prévu ma vie comme ça, une carrière que j'essaie de mener, des opportunités que je prends, que je refuse....

Pour moi le grand changement serait, par exemple, de tout arrêter et de partir élever des vaches en amérique du sud. Je ne dis pas que c'est un rêve, je dis cela pour l'exemple.

Mais une évolution de poste, un déménagement..., ne constituent pas en soi de véritables changements.


Par ailleurs, tu parles de mutation, volontaire ou bien subie ?
Là est toute la différence. ;)

Mon questionnement se pose surtout sur le fait d'oser, donc de faire une démarche volontaire de changement.
Pour moi, personnellement, simplement déménager en ayant un job assuré à la clef (comme dans le cas d'une mutation), ce n'est pas du tout un grand changement. Vu que je ne suis nulle part vraiment chez moi de toutes façons :roll:.
P
40 ans Nice 21965
karen a écrit:
Je suis en train de le faire... Et je ne suis pas super rassurée...

Déja je vais avoir un bébé, ce qui n'était pas du tout prévu au programme... ensuite je pars m'installer avec mon ami à l'autre bout de la france (nice) alors que je suis sur paris depuis 1995, que j'y ai tous mes amis, mon réseau, et surtout mon boulot, pour lequel je ne peux pas obtenir de mutation... donc repartir à zéro une fois encore, changer de taf, d'orientation, et partir dans un endroit où je n'ai personne à part mon ami... pour élever un enfant en plus...

Bon... on verra bien ce que ça donne, mais franchement, ça me fout les boules, je ne suis pas du tout optimiste... trop de trucs à la fois... :?


bah et moi alors :cry: :lol: le probleme dans ta situation c'est que tu l'a subi, t'as pas decidé de tomber enceinte ce qui amene tout ces changements, tu le vivrais mieux si c'etait pas un accident et que tout se ferait par etape, par contre je comprend tout a fait ton "humeur" changer de vie du jour au lendemain sans que ca soit d'une grande envie, voila quoi

perso aucun grand changement pour moi, pas assez courageuse mais l'envie a ete tres forte plusieurs sauf que c'etait pour disparaitre totalement et devenir quelqu'un d'autre

le seul grand changement a ete de demissionner de mon cdi cet ete, tout le monde me disait que j'etais folle, tu te rend pas compte t'as un boulot stable à temps partiel, blablabla sauf que moi je deprimais, je petais un cable litteralement c'etait une torture d'y aller j'en pleurais le matin dans le bus et ze liberation quand j'ai demissionné (enfin quelque temps apres car bizarrement les choses trainaient pas mal niveau argent :roll: ) apres y'a eu le chomage c'etait pas evident mais au moins j'avais decidé une fois dans ma vie!
46 ans 4830
j'ai osé aussi, et au grand étonnement de tout mon entourage! (parce qu'assez casanière de nature et n'aimant pas du tout le changement à la base)...après avoir murement réfléchi, j'ai démissionné de mon emploi (que pourtant j'aimais beaucoup), quitté mon appart, mes amis et ma famille, pour rejoindre... un forain.. je vous explique même pas la différence de culture la-dedans, ni les remarques de mes proches me disant que j'étais folle de plaquer ma vie sérieuse pour une vie de saltimbanque...

ils ont changé d'avis depuis. et moi je ne regrette rien, au contraire! Je crois qu'il y a des moments ou il faut se lancer; en tous cas moi je ne voulais plus subir ma vie, ni avoir des regrets plus tard de n'avoir pas osé...!
49 ans albertville 1799
petitefraisedesbois a écrit:
mike73400 a écrit:
discogrenouille a écrit:
J'ai pas voté car comme Lodie l'a dit c'est pas comme LE grand saut, c'est la vie qui continue.



Je suis aussi du même avis.
Les déménagements ne constituent pas pour moi "LE GRAND CHANGEMENT". Depuis fin 99 que je travaille, j'ai travaillé successivement dans 5 villes de France différentes (et toutes aussi éloignées les unes des autres), et je ne compte pas les différents déménagements dans ces mêmes villes (donc du coup j'ai habité 7 logements différents en 9 ans)
Et je sais bien que d'ici qques mois j'aurais une prochaine mutation probablement sur Paris, à moins que (vu que mon entreprise gagne pas mal de marchés à l'étranger) ce ne soit dans un pays autre que la France.
Mais même cela ne constitue pas un grand changement, c'est une évolution de vie, j'avais prévu ma vie comme ça, une carrière que j'essaie de mener, des opportunités que je prends, que je refuse....

Pour moi le grand changement serait, par exemple, de tout arrêter et de partir élever des vaches en amérique du sud. Je ne dis pas que c'est un rêve, je dis cela pour l'exemple.

Mais une évolution de poste, un déménagement..., ne constituent pas en soi de véritables changements.


Par ailleurs, tu parles de mutation, volontaire ou bien subie ?
Là est toute la différence. ;)

Mon questionnement se pose surtout sur le fait d'oser, donc de faire une démarche volontaire de changement.
Pour moi, personnellement, simplement déménager en ayant un job assuré à la clef (comme dans le cas d'une mutation), ce n'est pas du tout un grand changement. Vu que je ne suis nulle part vraiment chez moi de toutes façons :roll:.


Pour les changements passés, il y a eu des mutations imposées (enfin plus ou moins car dans mon métier et mon statut il est fréquent de se voir proposer des postes ailleurs donc c'est pas forcément une surprise absolue à chaque fois), mais aussi une démission en 2004.
Dans le cas de ma mutation à venir, il s'agit plutôt de l'évolution de ma carrière (ouh le vilain mot!) et le déménagement restera secondaire.
En fait ce que j'ai voulu exprimer dans mon précédent message c'est que ce qui est perçu comme un changement pour certains et certaines, dans mon cas je le perçois plutôt comme une continuité.
Donc je partage avec toi le fait que démissionner pour aller chercher un autre job avec l'appart qui va bien etc.... n'est pas vraiment un grand changement.

Mais il est vrai que chacun place la barrière où il le veut. La question de la localisation géographique et de l'acceptation d'aller vivre ailleurs m'intéresse beaucoup. Je suis curieux de voir ces disparités:
Certains amis me disent qu'ils n'ont pas accepté tel ou tel poste car il était situé à 100km, c'est trop loin pour eux, c'est "quand même" le département d'à côté...
D'autres changent de continent comme ils changent de chemise.
49 ans albertville 1799
louis_cyfer a écrit:
mike73400 a écrit:
discogrenouille a écrit:
J'ai pas voté car comme Lodie l'a dit c'est pas comme LE grand saut, c'est la vie qui continue.



Je suis aussi du même avis.
Les déménagements ne constituent pas pour moi "LE GRAND CHANGEMENT". Depuis fin 99 que je travaille, j'ai travaillé successivement dans 5 villes de France différentes (et toutes aussi éloignées les unes des autres), et je ne compte pas les différents déménagements dans ces mêmes villes (donc du coup j'ai habité 7 logements différents en 9 ans)
Et je sais bien que d'ici qques mois j'aurais une prochaine mutation probablement sur Paris, à moins que (vu que mon entreprise gagne pas mal de marchés à l'étranger) ce ne soit dans un pays autre que la France.
Mais même cela ne constitue pas un grand changement, c'est une évolution de vie, j'avais prévu ma vie comme ça, une carrière que j'essaie de mener, des opportunités que je prends, que je refuse....

Pour moi le grand changement serait, par exemple, de tout arrêter et de partir élever des vaches en amérique du sud. Je ne dis pas que c'est un rêve, je dis cela pour l'exemple.

Mais une évolution de poste, un déménagement..., ne constituent pas en soi de véritables changements.


en fait ca dépend ce que ce changement implique pour toi... ce ne sont pas pour moi les 14 déménagements que j'ai fait qui m'ont fait dire que j'avais changé de vie. mais parce que les fois citées ont été vraiment un grand inconnu et par là même une grande angoisse...
moi la question je l'ai comprise comme ca, dans l'esprit de chacun "le grand saut" est différent.
comme karen le fait d'avoir un enfant avec un homme c'était "angoissant" mais ca l'a moins été que le jour où je suis partie avec ma tente pour ne pas revenir finalement et me marrier en moins de 110 jours à peine 3 mois plus tard... question de point de vue ;)


Il est vrai qu'à chaque fois, on sait ce que l'on perd, on ne sait pas ce que l'on gagne. Cela implique par conséquent une certaine anxiété de cette nouvelle étape. Pour ma part, même si j'ai besoin de verrouiller un maximum pour me sentir en sécurité, j'ai ces périodes où je fonce dès que je suis en confiance et bizarrement je réalise qu'après que j'avais pris un risque et que cela aurait pu foirer.
B I U


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