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Infidélité, doit-on avouer?

L
49 ans 33
Vous trompez votre mec ou nana une soirée, peu importe les raisons mais vous vous rendez trés vite compte avoir fait une erreur, est-il nécessaire de l'avouer à votre moitié  
que vous aimez sachant qu'à coup sur vous allez la perdre aprés ces aveux? Si oui, à quel moment le faire et comment lui dire?
37 ans 4879
Non, si j'aime ma moitié et que je sais qu'il s'agit d'une erreur d'un soir je n'en parlerai probablement pas. Surtout si je sais qu'il ne pardonnera pas.
Pourquoi se faire du mal pour rien?
48 ans 17521
iilune a écrit:
Non, si j'aime ma moitié et que je sais qu'il s'agit d'une erreur d'un soir je n'en parlerai probablement pas. Surtout si je sais qu'il ne pardonnera pas.
Pourquoi se faire du mal pour rien?


Je suis plutôt d'accord...
40 ans 5932
En même temps, si l'autre finit par le découvrir autrement (parce qu'un mensonge ça s'apprend toujours) ça risque d'être pire que s'il l'apprend par sa conjointe, non ? #-o
R
39 ans Paris 1624
D'accord avec Iilune et Karen, sur la théorie. :P

En pratique, je place l'honnêteté au-dessus de bien des choses... Par respect pour autrui, mais également pour moi, histoire d'avoir la meilleure conscience possible.

Dans l'hypothèse où j'aurais été infidèle, ça me boufferait intérieurement de lui cacher. Je préfèrerais être plaquée en me disant que je l'aurais bien mérité plutôt que de lui cacher, d'autant plus que me connaissant je finirais par lui avouer.

Et à l'inverse, je pardonnerais plus facilement une infidélité avouée tout de suite (et regrettée, évidemment).
46 ans 4830
en voilà un sujet qui a été abordé 50000x (enfin on te pardonne tu es nouvelle)
pourquoi lui dire? même s'il l'apprend plus tard, qu'est ce qui peut être pire que de se faire quitter?? d'autant plus que tu dis qu'il te quittera s'il l'apprend.. autant croiser les doigts et oublier l'affaire, si elle n'a pas eu d'importance à tes yeux.

ce que l'autre ne sait pas ne peut pas lui faire de mal...
46 ans 4830
Kitaki a écrit:

En pratique, je place l'honnêteté au-dessus de bien des choses... Par respect pour autrui, mais également pour moi, histoire d'avoir la meilleure conscience possible.

Dans l'hypothèse où j'aurais été infidèle, ça me boufferait intérieurement de lui cacher. Je préfèrerais être plaquée en me disant que je l'aurais bien mérité plutôt que de lui cacher, d'autant plus que me connaissant je finirais par lui avouer.

Et à l'inverse, je pardonnerais plus facilement une infidélité avouée tout de suite (et regrettée, évidemment).


oui bon c'est bien beau tout ça, mais si tu respectes et que tu aimes l'autre, tu ne vas pas forcément le tromper...et quelquefois, être plaqué c'est le moinre des maux qu'on puisse avoir, et ça entraine des conséquences!
je sais que personnellement je ne pardonnerais pas. je ne quitterais pas forcément, mais regretté ou pas, ça irait très mal pour lui! d'ailleurs, je lui ai déjà dit que si l'envie lui prenait de me tromper, il devait le faire de manière à ce que je n'apprenne rien!!
48 ans 17521
paine a écrit:
En même temps, si l'autre finit par le découvrir autrement (parce qu'un mensonge ça s'apprend toujours) ça risque d'être pire que s'il l'apprend par sa conjointe, non ? #-o


Si le postulat de départ c'est qu'il nous quitte en apprenant l'infidélité, ça ne change pas grand chose, en fait...
40 ans 5932
Ben justement ce que je me disais c'est que comme "faute avouée est à moitié pardonnée" peut-être qu'en disant à son conjoint qu'on a merdé il pourrait avoir un mouvement d'humeur, partir, etc. Mais aussi qu'il pourrait se raviser en se disant que finalement ce n'est pas bien grave d'autant que tout a été avoué, honnêtement. Bref, la séparation pourrait ne pas être définitive.
Par contre, si la faute n'est pas avouée ou qu'elle est apprise autrement, le conjoint peut se dire qu'en plus d'une tromperie (certes très passagère) il y a également mensonge et donc trahison sur toute la ligne. Du coup il n'y a plus de raison qu'il revienne à un moment ou à un autre sur sa décision de mettre fin à la relation.

'Fin j'en sais rien, moi, c'est juste une hypothèse.
10361
karen a écrit:
iilune a écrit:
Non, si j'aime ma moitié et que je sais qu'il s'agit d'une erreur d'un soir je n'en parlerai probablement pas. Surtout si je sais qu'il ne pardonnera pas.
Pourquoi se faire du mal pour rien?


Je suis plutôt d'accord...


+1

Apres il faut savoir combien de fois , tu vas faire des " erreurs" aussi

@ paine , tu sais le faute avoué blablabla, moi si j'etait concerné je le prendrais hyper mal, parce que cela induit : wep de toute façon j'ai fait une erreur ! tout le monde peut se tromper ! je te l'avoue donc t'es OBLIGE de me pardonner ! ( enfin je ne fait que reprendre ton exemple rien de plus hein ? ;) !)

Oui mais non quoi, on est pas obligé de pardonner une faute avoué.C a fait genre , pardon charles je t'ai crevé un oeil, mais tu me pardonne parce que je m'excuse.
Un peu " facile" a mon avis.

C'est comme la formule de politesse : on ne dit pas : je vous présente mes excuses, mais plutôt , je vous prie de bien vouloir m'excuser
L
39 ans Bruxelles 1086
Pour moi quand on avoue, c'est parce que notre concience travail, qu'on se sent mal par rapport à ce que l'on a fait.
Et je dirais ben tant mieux. Et quelques parts c'est un peu égoiste de tout lui dire, car c'est juste pour se décharger de sa culpabilité. Ce n'est pas par honneteté. Surtout si on sait que c'est juste un soir et pas du a un probléme dans le couple.
1917
Kitaki a écrit:


Dans l'hypothèse où j'aurais été infidèle, ça me boufferait intérieurement de lui cacher. Je préfèrerais être plaquée en me disant que je l'aurais bien mérité plutôt que de lui cacher, d'autant plus que me connaissant je finirais par lui avouer.


Dans ce cas-là je trouve que c'est à soi qu'on pense si on "avoue" sa faute ... pour ne pas être bouffer de l'intérieur et pas tellement pour être honnête et sincère par respect. Faut pas se voiler la face on est bien souvent très égoïste (je me mets dans le lot hein ;) )

évidemment je ne parle pas des infidélités à répétition, mais d'une infidélité "la chair est faible", si j'étais la personne trompée, je préfèrerais ne rien savoir, donc ne rien dire non plus.
3712
iilune a écrit:
Non, si j'aime ma moitié et que je sais qu'il s'agit d'une erreur d'un soir je n'en parlerai probablement pas. Surtout si je sais qu'il ne pardonnera pas.
Pourquoi se faire du mal pour rien?


Tout pareil.

Avouer une erreur de ce genre, ce n'est pas de l'honnêteté, c'est juste un soulagement de conscience qui peut faire très mal à l'autre.

Par contre si le/la trompé(e) peut l'apprendre par un tiers, alors il vaut peut mieux prendre les devants. L'apprendre par quelqu'un d'autre serait terrible je crois.
W
39 ans Moulins (03) 200
Kitaki a écrit:
D'accord avec Iilune et Karen, sur la théorie. :P

En pratique, je place l'honnêteté au-dessus de bien des choses... Par respect pour autrui, mais également pour moi, histoire d'avoir la meilleure conscience possible.

Dans l'hypothèse où j'aurais été infidèle, ça me boufferait intérieurement de lui cacher. Je préfèrerais être plaquée en me disant que je l'aurais bien mérité plutôt que de lui cacher, d'autant plus que me connaissant je finirais par lui avouer.

Et à l'inverse, je pardonnerais plus facilement une infidélité avouée tout de suite (et regrettée, évidemment).
Moi je serais dans ce cas aussi, et puis on ne peut jamais dire à l'avance si la personne va pardonner ou non...
A
112 ans 6176
gurgle a écrit:
ce que l'autre ne sait pas ne peut pas lui faire de mal...


Effectivement, pour avoir été a la place des trompés, à l'epoque j'aurai préféré de rien savoir tant ça m'a démolie. Je reste donc persuadée qu'il vaut mieux taire ce genre d'erreur de passage sans intérêt et ne pas mettre en péril une histoire d'amour qui, elle, compte vraiment.

quant à savoir s'il vaut mieux avouer pour eviter que l'autre l'apprenne par un tiers, honnêtement le sentiment de trahison est le même et la blessure n'en est pas moins grande parce que l'autre a avoué. La seule chose à conseiller à celui ou celle qui ferait un tel écart c'est d'être discret au maximum pour que cet écart reste ce qu'il est : un evenement négligeable .
B I U