Patty a écrit:Allez on se replonge dans son adolescence ! Et pour ceux qui y sont encore on raconte !
Quand j'étais ado, je lisais un magazine qui s'appelait OK. Et régulièrement, tous les étés, il y avait THE article sur les amours de vacances, le beau mec bronzé qui sent bon l'huile solaire, le premier bisou sur la plage au clair de lune, les balades romantiques main dans la main, la coupe "sorbet fraîcheur" chez le glacier du coin et l'horrible séparation de la fin des vacances avec les larmes, les promesses de s'écrire et de se téléphoner qui duraient jusqu'à la rentrée quand on s'apercevait qu'il y avait un super brun aux yeux bleus dans la classe du dessus...
Alors soyez sympas, dites moi si ça existe et comment ça fait ? ;) On ouvre les boites à souvenirs ! ;)
Didjou, Patty, moi aussi je lisais OK !
et je me disais toujours que c'était que des counewies, jusqu'à ce que ça m'arrive... et alors là toujours,
vive le film!
Le mec, plus âgé que moi, (aimais pas les djeun's de mon âge à l'époque, trop gnan-gnan et pas assez homme) était souvent bronzé de naissance (vu l'endroit où je passais mes vacances), jouait super-bien de la guitare et de préférence mes chansons-d'amour-qui-tuent au clair de lune et sous les étoiles.
C'est la constante, on peut dire chez mes zamours d'été...
Le pluriel, c'est bien à partir de 2, n'est-ce pas?
Manger des glaces, pff, on avait autre chose à faire... :roll:
Les échanges de courrier duraient en général jusqu'en octobre, puis une carte de voeux, puis un souvenir!
Pour moi, l'avantage avec "amour d'été", c'est que ça a duré, ce que ça devait durer. ça a flatté mon ego et m'a permis de "grandir".
Au-delà de ça, ça me convenait parce que je n'avais pas envie de concilier études et relation. Fallait qu'une relation fasse pâtir mes cours quoi ! (cherchez le trauma...) Du coup, le petit gars aux yeux bleus dans ma classe, rien, pas d'effet.
ps: un truc qui m'effrayait bien dans ce magazine, c'était toutes les mises en garde contre les mycoses des plages et MST souvenirs d'été... rien qu'à la lecture, j'observais chez moi tous les symptômes!