La peur de ma vie ! En avez vous eu une ?

Je vois que pour une grande majorité la peur de l'enlèvement est présente...ce sentiment d'être dans l'incapacité d'agir est terrible....Idem lors d'un accident : l'un des parents agi l'autre reste là tétanisé...C'est dur, surtout lorsque cela touche nos enfants...Merci pour vos témoignages. Bise. ;)

isadou4 a écrit:


la méthode d'hemlich est bien pr se genre de situation: tu apprends ça en secourisme

perso je suis ces cours à mon boulot et remise à niv annuelle et on apprend les méthodes aussi sur les nourrissons (enfin des mannequins biensur) je trouve que c'est super important de savoir que l'on pourra secourir son enfant ou un proche en cas de nécessité

ces cours sont à demander à vos employeurs et c'est eux qui les financent

pour l'instant pas de grosse peur avec ma fille.
par contre moi j'ai fais des super frayeurs à ma mère :
- vers 18 mois on se ballader a la campagne avec mes parents et j'avais les épaules qui se déboitaient des qu'on me tirais le bras. donc mon père me tient la main, je trébuche, lui, me lache pour pas me déboiter l'épaule, manque de bol je tombe sur un cailloux pointu. résultat arcade ouverte je pissais le sang. et mon père roulant comme un fou pou rentrer en ville ( y'avait du sang partout dans la voiture)
- la j'avais 3 ans à peu près, j'étais chez ma grand mère et je jouait dans le couloir, ma mère me lache du regard 2 min et me voit plus. j'étais à la cuisine, j'étais monté sur 1 chaise et j'avais mis un genoux sur le rebord en me penchant pour voir mon père en bas qui réparai la voiture. ma mère m'a vu, s'est avancé sans un bruit et m'a attrapé. je vous dit pas la trempe que j'ai pris.
les fois ou je me cachais sans répondre quand on m'appeller et elle qui pleurait en croyant que j'étais partis.
et les nombreux passages aux urgences après avoir fait des cascades avec les copains ( oui j'étais un vrai garcon manqué).
d'ailleurs quand j'étais petite je disais qu'en vrai j'été un garcon mais comme je suis née prématurément ben le zizi il a pas eu le temps de pousser :oops:

Ma fille n'a que 5 mois et ne m'a pas encore fait de frayeur par contre, j'ai le souvenir horrible d'avoir perdu ma cousine.

On habitait dans le Sud et mon oncle est venu passer quelques jours chez nous avec la petite famille. Pas bêtes les parents, ils envoient moi (16 ans) et mon cousin (15 ans) emmener les enfants (8 ans, 6 ans et mon cousin trisomique donc à surveiller comme un enfant) à la plage pendant qu'ils se promènent entre adultes. Sauf que mon cousin, du haut de ses 15 ans, préfère courir les filles que rester avec nous. Je gardais les sacs sur la plage pendant que les enfants se baignaient et je vois revenir le cousin trisomique avec la petite de 6 ans mais pas celle de 8 ans. :shock: Je leur demande où elle est, que je leur avais bien dit de ne pas se séparer !!! Ils retournent vers l'eau mais pas de trace de ma cousine. Je commence à paniquer et je leur dis de rester sur les serviettes et de ne plus bouger d'un pouce ! Je monte un peu plus haut sur la plage pour avoir une vue d'ensemble et là le choix terrible, je cherche sur la gauche ou sur la droite ? Je choisir d'aller à droite, je parcours quelques mètres complètement paniquée et là, je la vois près de l'eau qui cherchent elle aussi notre emplacement. J'en ai voulu terriblement à mon cousin de m'avoir laissé en plan. J'imagine même pas si je ne l'avais pas retrouvée...

clelia_1975 a écrit:

c'est ce qu'elle a fait ! la méthode c'est d'ABORD claques dans le dos puis si échec, compressions. Et tout ça seulement si obstruction totale (si la personne parle ce n'est pas complètement obstrué)sinon on prend le risque de transformer un obstruction partielle en totale.
Avec mes trois gloutons jamais eu à le faire, j'ai du bol... c'est bien la peine d'être formée (pompier donc PSE2) :lol:

Alors Tyméo ma fait deux belles peurs en 1 semaine.

Vendredi dernier il était à côté de moi je prends sa soeur dans les bras et lui décide de traversé la route pour aller à la voiture du coup je l'ai attrapé comme j'ai pu part le col de la chemise car il y avait un scooter qui arrivait et qui là évitait de justesse :? si j'avais pas eu le réflexe de le rattraper il passé sous les roues :cry: il à eu une belle marque au cou :? mais bon au moins il est là.

La 2eme j'avoue c'est totalement de ma faute :oops: .
Pas plus tard qu'hier j'étais dans la chambre de Gaëlla en train de regarder mon grand qui partait avec le centre pour lui faire coucou et là j'entends Tyméo qui m'appelle "maman,maman" et là en 2 seconde j'ai compris que j'avais laisser la fenêtre de sa chambre ouverte et qu'il se penchait à la fenêtre pour me voir quand je suis rentrée dans sa chambre il était en équilibre sur le rebord moitié du corps dehors moitié du corps dedans :? je l'ai vite rattrapé mais je n'ose imaginer si j'avais attendu qq secondes de plus :!: :cry:

j'ai pas d'enfant donc pour le moment m'a plus grande peur n'est pas avec eux...

un jour avec mon Pascal on été partis à Marseille avec des amis...
Le soir on ce dit tient à vas aller à la plage (ouais il fait nuit c'est pas super mais bon, je l'avais déjà fait en atlantique)
mon Pascal met les pieds dans l'eau je lui dit tu fait gaffe je te rappel que tu n'as pas pieds...

Une vague plus grande que les autres le voilà coucher dans l'eau (faut dire qu'il a un super équilibre).
Je vais le chercher car je trouve qu'il s'éloigne.
je me fait un peu disputer, c'est plus un enfant, faut que je m'amuse un peu. Il me pousse dans l'eau bon je rigole avec lui. OUais sauf quand je lui dit aller on rentre...
Plus pied, rien. Je lui dit de nager (les amis à nous pensais que l'on s'amusais, il leur à jamais dit qu'il ne savais pas nager...)
Je lui dis peut importe se que tu fais tu bas des pieds... On est emporter à une vitesse folle (jamais connus cela en atlantique) je regarde d'un coté un grand mur (la route juste en haut) de l'autre coté une digue (c'est un coup à s'assommer) derrière nous, des bouée qui délimite la zone ou les bateaux peuvent venir. Je lui dis dernière toi il y a une bouée faut nager jusque l'a bas, si on la rate, on meurt...

(Bah oui j'était une bonne nageuse mais j'ai fait tellement d’entorse à la cheville que au bout de 10 min normalement je coule comme une pierre, et lui ne sais pas nager, juste flotté)
je passe plus vite que lui j'arrive à attraper la bouée, j'attrape mon Chéri (un mois que l'on été ensemble..)
et je lui ai dit,
" peut importe ce qui arrive tu reste accrocher à cette bouée, même si je lache, je sais nager on me retrouvera plus tard et j'aurais le droit de faire un tour en bateau ou en hélicoptère... "
il s'accroche, je me repose un peut.
D'ou on est on ne vois rien, juste de l'eau (il fait nuit)
les vague devienne de plus en plus forte, à chaque fois qu'il y en a une, La bouée s'enfonce sous l'eau, mon Pascal avec. Je le fait remonter,cracher, respirer, je le prévient, et cela recommence, encore et encore.
Au bout d'un moment voilà deux de ces amis... on leur explique, il ne sais pas nager, moi si je continue mais cheville vas lacher...,
ils repartent (ils ont mis plus d'un quart d'heure pour retourner sur le bord de plage)
il appel les pompier (6 min pour venir qu'ils disent...)
l'un deux revient, et heureusement, au moment ou il arrive, une vague plus forte que les autres, m'emporte..
Il attrape la bouée et moi par la même occasion.
On attend, on attend... c'est long, on est seul, c'est horrible...

Et là un projecteur, de la lumière, on vois enfin quelque chose.
J'insulte les pompiers, bah oui le temps passe très très lentement dans ces situations donc pour moi cela faisait 1h qu'on les attendais...
alors que les pompiers arrive, une vague encore plus grande que les autres, je suis emporter, une fois la vague passé je renage en direction de la bouée, mais je n'y arrive pas, je suis loin. une autre vague, je suis encore loin,
Je demande à notre amis si Pascal est toujours sur la bouée, je le vois plonger... Pascal n'est plus là, je hurle pour qu'il me réponde, j'entend rien...
une autre vague, encore et encore... j'en peu plus. je me laisse dérivé en faisant la planche. je suis trop fatiguer, chaque vague m'emporte de plus en plus loin sans savoir si les deux autres sont toujours à la bouée..
Et là des bras, aller savoir mais je l'ai insulter le pompier, je sais nager c'est pas moi le problème... Une corde est accrocher à lui. Il me dit de la prendre. J'ai assez de force pour me isé le long de cette corde, et rejoindre les autres pompiers...
Arrivée sur la plage la première alors que j'était la plus dure à localisée. Je me suis dis que c'était finis pour les deux autres... Je me voyais annonce la mort de Pascal à ces parents...

Et là je vois les pompiers s'activé, il tire la corde qui m'a fait revenir (j'ai jamais vu une corde aussi longue)
Mon Pascal est là. Ouf ensuite viens notre amis...
Prise de température, je suis à 35.1°C, je suis à 0.1°C de l'hospitalisation. Rythme cardiaque, 11.7....
oui oui 11.7, je suis calme pas fatiguer, j'ai même pas froid, rien.
Mon chéri se fais engueuler par le Pompier, il ne voulais pas lâcher la bouée (il était toujours sur la bouée en faite c'est juste que je ne le voyais pas..)
Donc voilà on a fait un tour dans le camion des pompiers, on c'est fait engueuler...
faut pas aller dans l'eau la nuit, (genre je suis toute habiller j'ai la tenue pour aller dans l'eau de mon plein gré) enfin, tout est finis...

Pascal c'était enroulé la chaîne autour de la jambe il a eu un joli bleu..

on est rester 1h dans l'eau en tout...

je ne peux plus aller dans l'eau maintenant (il faut que j'y retourne, mais en atlantique, là ou je connais)

moi cest pour mon fisl il 9a tendance a partir comme ca monsieur on vit a la campagne tout est toujours ouvert et monsieur part et comme c est grand on va vite a devoir faire des tour de maison pre champ pour le retrouver jusqu au jour ou il s est dit que ca serait bien d aller plus loin il est parti le long de la route et est parti dans un lotissement plus loin la peur de ma vie il aurait pu se faire enlever renverse par une voiture (il n y a pas de trottoir) depuis il a plus le droit de sortir sans que je sois la et j ai tellement crier sur lui qu il a eu aussi peur que moi au final