Un mariage sur deux qui tombe à l'eau. La société de consommation a frappé, jusque là.
Bon, possible que le couple soit une invention des curés, ou de la société, les gens changent, pas dans le même sens, le quotidien qui érode, ... Trop c'est trop, on change, on vire, on recompose ou on se décompose.
Ça ne donne pas envie.
Vive les sex friends, ce qui n'empêche pas le respect, la complicité, et qui permet, qui sait, de déboucher si je puis dire sur d'autres perspectives.
Mais pour qui voudrait l'amour absolu, l'inconditionnel, qui y croit encore, ou espère malgré tout, le tout comme dans les comptes de fée, à la SPA, il y a plein d'êtres sensibles qui sont réputés fidèles, sans crainte de tours de c*n ni de frais d'avocats sauf s'ils ont décidé de bouffer les poules du voisin.
Celles à plumes, pas ses conquêtes, encore qu'une conquête en boa... Mais je m'égare du nord.
Aussi, ce compagnon là ne sera pas accusé de harcèlement s'il remue la queue un peu trop insistant à chaque retrouvailles. Mieux, il sera adulé - oh qu'il est gentil le Youki, il ne lui manque que la parole... S'il l'avait, il ne serait peut-être pas si adulé longtemps ! Les vices aboient, le chien trépasse.
Le félidé quant à lui est un autonome personnage, ce qui ne plaît pas toujours, et qui a le bon goût d'enterrer ses pipis. L'homme pourrait en prendre de la graine, lui qui marque ses passages à coté de la cuvette, bien souvent !
Le félin a en plus la chance de faire se bidonner la réseaux sociaux sphère, sauf en Australie qui les dégomme, accusé qu'il est de bouffer trop d'oiseaux.
Bref, il est là le Graal ! Ce n'est pas un "parallèle", mais une alternative.
Quant à commenter en disant qu'on s'abstient de commenter, c'est commenter tout de même. In the political correctness we trust.