Voilà un topic qui me fait bien plaisir :D
Bon beh je suis Jess, j'ai 22 ans (bientôt 23) et jamais, jamais, jamais je n'ai fumé, et jamais je ne pourrai le faire!
A une époque, quand les copines essayaient pour faire les branchées, on m'a souvent proposé, et on m'a aussi fait quelques fois des remarques parce que je refusais (comme si essayer était vraiment indispensable pour pouvoir dire "je n'aime pas") et je n'ai JAMAIS accepté.
Déjà l'odeur et la fumée m'ont tjs dérangé, pourtant j'ai un papa qui fume depuis bien longtemps, parfois dans la maison, et beaucoup de membres de ma famille fument, donc c'est une ambiance que je "fréquente" depuis...pfiou...ma plus tendre enfance. Et je n'ai jamais pu m'habituer.
Je ne fais pas de remarques, les gens vivent comme ils veulent, mais depuis que je suis en âge de pousser des gueulantes, mon père fume très rarement dans la maison, et toujours dans la pièce du fond, la porte de derrière ouverte, pour ne pas que ça voyage vers nous, mais le plus souvent il va carrément dehors.
Et la famille...et bien je ne vais plus chez les gros fumeurs, c'est trop insupportable. Même quand on fait un barbec dehors l'été, ça stagne, et ça incommode. Ceux chez qui je vais fument moins, ou s'abstiennent quelque peu le temps que les invités s'en aillent.
J'ai vécu seule pendant 5 ans, et personne n'a jamais fumé chez moi. Hors de question, et d'ailleurs ils ne penseraient même pas à le faire. En tout cas ça n'a jamais été un problème pour moi de répondre "oui vous pouvez fumer, mais dehors, et interdiction de laisser tomber vos mégots dans mon jardin".
Et encore heureux que je ne fume pas quand je vois les prix :shock:
Je suis étudiante, et quand l'une ou l'autre de mes "connaissances qui fument" se plaint parce qu'elle a du mal point de vue finances, pour finir son mois etc...j'ai du mal à ne pas mettre en évidence tout ce qu'elle dépense pour fumer.
Je remarque que finalement, j'ai peu d'amis fumeurs
:arrow: c'est logique en même temps, en première année de fac, les fumeurs sortaient à la pause, et les non-fumeurs restaient dans l'amphi, et on faisait connaissance pendant les pauses, c'est aussi simple que ça.
Je ne suis jamais sortie qu'avec des hommes non-fumeurs.
Et tout récemment, je me suis pour la première fois retrouvée dans un resto (on était 8 ou 9 à table, pour l'annif d'une copine) et TOUT LE MONDE fumait, sauf la copine qui fêtait son annif. C'est bien pour elle que je suis restée, sinon j'aurais pris mes cliques et mes claques très vite. Surtout qu'étant en majorité, ils ne prenaient pas attention à la seule non-fumeuse de la bande, ce que je peux comprendre.
Et en attendant le repas qui tardait, c'était vraiment clope sur clope, ça coupe la faim ou quoi? C'était vraiment pénible.
Enfin tout ça pour dire que ce n'est même pas de la fierté de ne jamais avoir commencé, c'est une question de volonté dès le départ, pouvoir dire non aux autres sans faire gaffe aux conséquences.