L
Avant (et même quand j'étais étudiante) je faisais les courses un peu au grès de mes envies. Maintenant je suis la championne des promos, des prix bas et de la comparaison. Ca me frustre profondément de devoir calculer au centime près pour garder un peu de marge pour les coups durs (et quand je dis un peu de marge ça se joue à la 10aine d'euros).
J'ai dû démissionner pour me sauver littéralement (+ 40kg en 6 mois, merci patron). Pendant 4 mois je vis sans aucune rentrée d'argent (je démissionne donc les assedics estiment ne rien me devoir et si j'ai un bon dossier je peux espérer avoir le chômage au bout des 4 mois mais c'est pas obligatoire).
De ce fait la situation est encore pire et cela m'a conduit à passer quasiment au tout surgelé (pour les légumes en particulier). In fine c'est pas plus mal en terme de rapport qualité nutritionnelle/prix mais ça m'a fais tout drôle je dois bien l'admettre (ex pour du chou-fleur: 1.24€ le kg surgelé - 2.50€ frais au marché donc avec des feuilles).
J'en arrive à repenser entièrement ce que je considère comme des produits de base genre je fais l'impasse sur le pain, je suis passée aux biscottes etc.
In fine ce qui me fait le plus marroner dans ce genre de débat c'est que l'on nous parle toujours des hausses (justifiées ou non) mais jamais des baisses. J'adore le discours "heu le cours du blé s'envole donc le prix des pâtes s'envole aussi" => bon pourquoi pas mais alors quand le cours du blé baisse, le prix des pâtes baisse? Ah mais non. Finalement c'est là que je me sens vraiment prise pour une vache à lait par l'ensemble de la filière agro-alimentaire (des transformateurs aux distributeurs).
J'ai dû démissionner pour me sauver littéralement (+ 40kg en 6 mois, merci patron). Pendant 4 mois je vis sans aucune rentrée d'argent (je démissionne donc les assedics estiment ne rien me devoir et si j'ai un bon dossier je peux espérer avoir le chômage au bout des 4 mois mais c'est pas obligatoire).
De ce fait la situation est encore pire et cela m'a conduit à passer quasiment au tout surgelé (pour les légumes en particulier). In fine c'est pas plus mal en terme de rapport qualité nutritionnelle/prix mais ça m'a fais tout drôle je dois bien l'admettre (ex pour du chou-fleur: 1.24€ le kg surgelé - 2.50€ frais au marché donc avec des feuilles).
J'en arrive à repenser entièrement ce que je considère comme des produits de base genre je fais l'impasse sur le pain, je suis passée aux biscottes etc.
In fine ce qui me fait le plus marroner dans ce genre de débat c'est que l'on nous parle toujours des hausses (justifiées ou non) mais jamais des baisses. J'adore le discours "heu le cours du blé s'envole donc le prix des pâtes s'envole aussi" => bon pourquoi pas mais alors quand le cours du blé baisse, le prix des pâtes baisse? Ah mais non. Finalement c'est là que je me sens vraiment prise pour une vache à lait par l'ensemble de la filière agro-alimentaire (des transformateurs aux distributeurs).