49 ans
gagny
3067
Mike-O a écrit:
moi j'ai le même pblm ms avec le chocolat.je peux le dire c'est une vraie drogue, savoir qu'il y en a côté de moi me rend dingue....la seule solution est de l'éviter.... alors je ne te dis pas comment cela me stresse l'arrivée de noel.au vu de ma santé, je ne dois pas reprendre de poids sinon c'est regalère et grosse douleur à la clé...
en fait tant que tu te sens bien ss vrai soucis de santé, tu ne te bouges pas c'est clair.moi mon corps m'a laché alors je n'ai pas eu le choix ms je te comprends
le_chat_du_cheshire a écrit:
Pendant très longtemps, non. J'étais dans un relâchement total et ma prise de poids m’apparaissait comme une fatalité. Et puis je n'y prêtais pas attention. Je me pesais, je savais où j'en étais, mais je ne me posais aucune question.
J'ai commencé à réfléchir à la chose que récemment, disons un an, un an et demi.
Je n'ai pas d'analyse très poussée. J'ai l'impression d'être comme les accrocs aux drogues "douces". Comme le type qui fume 30 joints par jour et qui ne peut pas vivre autrement.
Ma drogue c'est la nourriture. Je suis un gros mangeur. Je me sers des grosses portions aux repas, je grignote beaucoup. Je m'alimente en permanence, c'est mon quotidien, une habitude à laquelle je ne fais plus attention. Sauf si je dois être sevrer.
Je n'ai aucune résistance à la gourmandise. Dès que j'ai envie de manger quelque chose, je dois satisfaire cette envie ou je me sens très mal, énervé, frustré etc.
Même si j'ai conscience de tout ça, je n'ai pourtant pas l'intention de réagir. C'est idiot, je sais, mais je suis encore dans ce laisser-aller. Je ne souffre pas particulièrement de mon poids (malgré les difficultés qu'on connait tous) alors, rester comme ça me semble plus simple et moins angoissant que de faire quelque chose. Mais peut-être que je changerai d'avis un jour si mon poids devient un problème.
Et tu as un peu décortiqué ton rapport à la nourriture Mike-0 ?...
Pendant très longtemps, non. J'étais dans un relâchement total et ma prise de poids m’apparaissait comme une fatalité. Et puis je n'y prêtais pas attention. Je me pesais, je savais où j'en étais, mais je ne me posais aucune question.
J'ai commencé à réfléchir à la chose que récemment, disons un an, un an et demi.
Je n'ai pas d'analyse très poussée. J'ai l'impression d'être comme les accrocs aux drogues "douces". Comme le type qui fume 30 joints par jour et qui ne peut pas vivre autrement.
Ma drogue c'est la nourriture. Je suis un gros mangeur. Je me sers des grosses portions aux repas, je grignote beaucoup. Je m'alimente en permanence, c'est mon quotidien, une habitude à laquelle je ne fais plus attention. Sauf si je dois être sevrer.
Je n'ai aucune résistance à la gourmandise. Dès que j'ai envie de manger quelque chose, je dois satisfaire cette envie ou je me sens très mal, énervé, frustré etc.
Même si j'ai conscience de tout ça, je n'ai pourtant pas l'intention de réagir. C'est idiot, je sais, mais je suis encore dans ce laisser-aller. Je ne souffre pas particulièrement de mon poids (malgré les difficultés qu'on connait tous) alors, rester comme ça me semble plus simple et moins angoissant que de faire quelque chose. Mais peut-être que je changerai d'avis un jour si mon poids devient un problème.
moi j'ai le même pblm ms avec le chocolat.je peux le dire c'est une vraie drogue, savoir qu'il y en a côté de moi me rend dingue....la seule solution est de l'éviter.... alors je ne te dis pas comment cela me stresse l'arrivée de noel.au vu de ma santé, je ne dois pas reprendre de poids sinon c'est regalère et grosse douleur à la clé...
en fait tant que tu te sens bien ss vrai soucis de santé, tu ne te bouges pas c'est clair.moi mon corps m'a laché alors je n'ai pas eu le choix ms je te comprends