37 ans
1547
Je trouve aussi que certaines activités sont plus propices que d'autres, même si finalement ça dépend beaucoup de comment on le fait. Par exemple, certaines choses très répétitives à un rythme doux où l'on se meut par automatisme, comme la marche ou la nage. Il me semble que certains sportifs parlent de "flow" pour décrire ça. J'ai dégoté une revue sur le sport et la pleine conscience, faudrait voir s'ils en font un lien.
En ce moment je m'octroie des moments de grande attention pendant mes dégustations de chocolat, de café, et niveau méditation guidée j'apprécie bien celles du livre de C. André, méditer jour après jour. Pendant le body-scan je me suis sentie davantage observatrice de mes pensées, c'était nouveau. J'observais et je revenais à mes sensations corporelles.
En ce moment je m'arrête plus facilement de manger à satiété, du coup je sens différemment le fait de la dépasser (alors qu'en général c'est plutôt très régulier). Là, après coup, j'ai trouvé intéressant de faire ce body scan à un moment où je n'avais pas faim, j'avais mangé peu de temps avant et dépassé un peu ma satiété. Je me rends compte que c'est un état relativement inconfortable et que je cherche généralement à "faire passer" sans trop le vivre, en m'occupant l'esprit. Je trouve ça intéressant de chercher à discriminer l'état de faim (petite, bonne, grande...), l'envie de manger émotionnelle, mais aussi finalement observer ce que c'est le confort de la satiété et ce que ça fait selon de combien on la dépasse. Peut être que du coup après on sent mieux ce fameux moment juste avant son dépassement quand on est aussi attentif à comment on se sent après la prise alimentaire ? En général j'ai l'impression que je repère surtout le moment où c'est "carrément trop", mais plus difficilement celui où c'est juste "un chouïa trop". Mais bon, là je parle surtout de la sensation globale de satisfaction corporelle/sensations dans le ventre, dans le corps, pas du plaisir gustatif.
En ce moment je m'octroie des moments de grande attention pendant mes dégustations de chocolat, de café, et niveau méditation guidée j'apprécie bien celles du livre de C. André, méditer jour après jour. Pendant le body-scan je me suis sentie davantage observatrice de mes pensées, c'était nouveau. J'observais et je revenais à mes sensations corporelles.
En ce moment je m'arrête plus facilement de manger à satiété, du coup je sens différemment le fait de la dépasser (alors qu'en général c'est plutôt très régulier). Là, après coup, j'ai trouvé intéressant de faire ce body scan à un moment où je n'avais pas faim, j'avais mangé peu de temps avant et dépassé un peu ma satiété. Je me rends compte que c'est un état relativement inconfortable et que je cherche généralement à "faire passer" sans trop le vivre, en m'occupant l'esprit. Je trouve ça intéressant de chercher à discriminer l'état de faim (petite, bonne, grande...), l'envie de manger émotionnelle, mais aussi finalement observer ce que c'est le confort de la satiété et ce que ça fait selon de combien on la dépasse. Peut être que du coup après on sent mieux ce fameux moment juste avant son dépassement quand on est aussi attentif à comment on se sent après la prise alimentaire ? En général j'ai l'impression que je repère surtout le moment où c'est "carrément trop", mais plus difficilement celui où c'est juste "un chouïa trop". Mais bon, là je parle surtout de la sensation globale de satisfaction corporelle/sensations dans le ventre, dans le corps, pas du plaisir gustatif.