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Consultations RA

S
53 ans suisse 993
POur moi qui n'ai perdu aucun kilos je peux te dire que le fait d'en aovir perdu et d'imaginer en reprendre quelques uns me semble le nirvana;)

J'ai repassé la barre  
des 3 chiffres il y a quelques semaines et je me suis remise à me peser plus souvent et je sens bien que ca me stresse.

Mais je me fixe sur mes sensations encore et encore

Aujourd'hui journée de dingue comme de plus en plus souvent. Stress, fatigue, patients psychiquement très atteints et non soignés qui me déversent tout leur malheur etc etc.....

Ce soir petite faim mais vraiment envie de réconfort et nourriture "régressive". Donc chocolat chaud bout de fromage et carrés de chocolat. Bien réconfortée je n'ai plus faim.

J'attends le retour de la faim.

Selon la diét si j'ai repris du poids c'est que je mangeais "trop bien" ces derniers mois dans le sens trop sain trop parfait etc.....elle me demande de me fier plus à mes envies, tout en écoutant la faim.

Cette semaine elle m'a pesée sans que je regarde le chiffre (chez ellle c'est avec chaussures tout habillée donc chiffre encore plus haut). Et elle me repèsera en janvier pour voir si ca monte encore. Mais toujours selon elle vu ma diminution du sport (méga fatigue) le stress etc.... elle trouve que j'ai relativement pris peu de poids.

Il y a un moment ou de toute facon on est livrée à soi même avec sa vie, ses emmerdes, ses bonheurs.

Pour ma part je vois bien depuis 10 ans que les phases "difficiles" de ma vie ont eu un impact comme de perdre mon rein en 2009 et de ne plus pouvoir faire aucune activité physique pendant des mois.


Mais je me rappelle toujours au final que c'est uen histoire de globalité sur une vie. Que j'ai arrêté de fumer, je fais de la méditation etc etc.......et donc au final ces quelques kilos ne sont pas un grand danger pour ma santé.

Bon ca me flippe un peu quand même mais ca passe quand ej me dis "ok tu attends la faim, la faim te protège, tu dégustes sans culpabiliser et tout ira bien". Quelque soit mon poids et encore c'est un chiffre qui ne dit pas grand chose de moi et de ce que je fais de ma vie.
52 ans Lorraine 4326
SunSet, qu'est ce qui te fait penser que ce que tu fais pourrait être assimilé à un régime ?
t'as des points précis qui t'y font penser ?
S
89 ans 4951
sirelle a écrit:
POur moi qui n'ai perdu aucun kilos je peux te dire que le fait d'en aovir perdu et d'imaginer en reprendre quelques uns me semble le nirvana;)

J'ai repassé la barre des 3 chiffres il y a quelques semaines et je me suis remise à me peser plus souvent et je sens bien que ca me stresse.

Mais je me fixe sur mes sensations encore et encore

Aujourd'hui journée de dingue comme de plus en plus souvent. Stress, fatigue, patients psychiquement très atteints et non soignés qui me déversent tout leur malheur etc etc.....

Ce soir petite faim mais vraiment envie de réconfort et nourriture "régressive". Donc chocolat chaud bout de fromage et carrés de chocolat. Bien réconfortée je n'ai plus faim.

J'attends le retour de la faim.

Selon la diét si j'ai repris du poids c'est que je mangeais "trop bien" ces derniers mois dans le sens trop sain trop parfait etc.....elle me demande de me fier plus à mes envies, tout en écoutant la faim.

Cette semaine elle m'a pesée sans que je regarde le chiffre (chez ellle c'est avec chaussures tout habillée donc chiffre encore plus haut). Et elle me repèsera en janvier pour voir si ca monte encore. Mais toujours selon elle vu ma diminution du sport (méga fatigue) le stress etc.... elle trouve que j'ai relativement pris peu de poids.

Il y a un moment ou de toute facon on est livrée à soi même avec sa vie, ses emmerdes, ses bonheurs.

Pour ma part je vois bien depuis 10 ans que les phases "difficiles" de ma vie ont eu un impact comme de perdre mon rein en 2009 et de ne plus pouvoir faire aucune activité physique pendant des mois.


Mais je me rappelle toujours au final que c'est uen histoire de globalité sur une vie. Que j'ai arrêté de fumer, je fais de la méditation etc etc.......et donc au final ces quelques kilos ne sont pas un grand danger pour ma santé.

Bon ca me flippe un peu quand même mais ca passe quand ej me dis "ok tu attends la faim, la faim te protège, tu dégustes sans culpabiliser et tout ira bien". Quelque soit mon poids et encore c'est un chiffre qui ne dit pas grand chose de moi et de ce que je fais de ma vie.



Merci pour ton témoignage Sirelle, ton parcours m'aide beaucoup à passer le cap actuel qui dure un peu plus que d'habitude. Mais j'ai identifié la cause, (plusieurs sources), il faut juste que je sois un peu patiente pour m'en remettre. Dès que je repars dans un jugement dur sur moi, je mange trop, je me pèse trop aussi, le chiffre sur la balance a de nouveau un pouvoir. Je vais essayer de ne plus me peser pendant quelques temps et me recentrer sur mes sensations comme tu dit.

C'est intéressant ce que tu dis sur ta dièt qui pensait que tu mangeais presque "trop bien" avant.



Sunset, n'oublie pas le chemin que tu as parcouru déjà, je me souviens quand on échangeait il y a quelques années, d'avoir un meilleur rapport à la nourriture te paraissait inenvisageable.

Par rapport au fait d'être complètement libérée avec la nourriture, personnellement je n'ai plus cette attente, car je pense que ce rapport à la nourriture a fait partie trop longtemps de moi pour que je puisse complètement ne plus vivre cela par période. je suis déjà très heureuse de ne plus le vivre tout le temps, c'est déjà pas mal.
49 ans région parisienne 5831
SunSet a écrit:
Je suis épuisée en ce moment, dur dur au boulot, du coup, je crois que ça joue vraiment sur mon moral.


Perso la fatigue joue énormément sur ma prise de nourriture, pour moi. Par exemple, lorsque je suis très fatiguée et que je mange, la fatigue s'en va. D'ailleurs, j'ai lu quelque part qu'il y avait un réel lien hormonal entre la fatigue et la faim...
S
53 ans suisse 993
Perso quand je suis fatiguée je sais que LA solution c'est le repos;) juste que quand j'ai fini de bosser à 21h et que je reprend à 7h et bien.....c'est court .

Ces jours ca va ej vis bien avec mes envies. Lors de la dernière consultation on a constitué une "échelle de la faim" avec mes critères personnels de signaux de faim. Il s'avère que je mange quand j'ai une bonne faim. Et elle me suggère d'être plus attentive à mes petites faims qui ont en fait peu de signaux physiques mais plutôt des pensées tournées vers "je mangerai bien un truc". Et qui ont lieur entre des repas ou collations. L'idée est de manger selon mon envie à ce moment là, sans que cela soit une envie émotionnelle mais que cela répomde à un besoin physiologique ténu. Cela devrait avoir selon la diét poru conséquence d'être plus souple sur la journée et de conserver quand même de l'appétit pour un repas.

C'est un genre de fractionnement en fait si on suit les directives zermati.

Je la revois dans 4 semaines pour la dernière séance.

Bon du coup je viens de manger un petit bout de panettone avec du beurre miam et je fais tranquillement mon repas. Je crois avoir peur de ne pas avoir faim plus tard. J'ai encore pas mal de pensées genre si je mange ce petit truc maintenant plus tard je n'aurai pas faim je ne mangerai pas etc..comme si c'était un problème de ne pas manger. Alors que dans les faits je peux à l'occasion ne pas manger, genre lendemain de fait mais je me sens frustrée, non pas du repas en lui même je crois mais de l'acte de manger.

J'ai un fichier de mon échelle de la faim je le mettrai peut être ici .
37 ans 1547
Je trouve aussi (enfin je ne sais pas si c'est ton cas mais ce que tu évoques autour de manger avec une petite faim me fait penser à l'appétit prévisionnel) que les collations sont quelque chose de très subtil: manger sans chercher à atteindre la satiété (pas un repas, mais au contraire qui doit permettre d'attendre jusqu'au repas) et sans forcément satisfaire totalement l'envie de manger qu'on peut ressentir. Je pense que j'aborderai ça plus précisément un peu plus tard.

Très intéressant cette échelle de la faim personnalisée. Je suis en train de découvrir pas mal d'éprouvés nouveaux par rapport à la faim, avant ça se limitait surtout à des gargouillis pour moi, alors qu'en fait il y a tout un panel de sensations qui vont et viennent selon le temps qui se passe avant de manger.
S
101 ans 4480
Merci pour vos réponses, je n'ai pas pu repasser sur le net avant.

ladybugette a écrit:
SunSet, qu'est ce qui te fait penser que ce que tu fais pourrait être assimilé à un régime ?
t'as des points précis qui t'y font penser ?


JE mange de manière très saine à une immense majorité de mes repas, moi qui ne vivait que de malbouffe depuis des années. Alors ça me perturbe toujours de voir que je me délecte de légumes, chose que je ne pouvais pas imaginer il y a 2 ans par exemple.
Et ces derniers jours, je me suis tellement jetée sur mes aliments doudou que je me dis que je réagis vraiment comme si j'étais au régime et en restriction. Alors qu'en fait, tous les jours, je me fais plaisir. Du coup, bizarre tout ça. Je ne suis pas du tout au régime, je mange de tout, absolument mais je "compense" malgré tout par moments, comme si mon ancien comportement me manquait.

Hier, j'ai mangé une tonne de fromage, j'ai dégusté certes mais j'en ai trop mangé. Ce matin, je me suis pesée pour voir l'étendue des dégats de ces derniers jours (le pot de pate à tartiner mangé en 2 soirs, hum...) et forcément, j'ai repris quasi 2 kg.
Je me force à ne pas m'en faire et j'ai repris mes habitudes. Ce matin, je me suis pris un bon petit dejeuner copieux avant le sport, j'avais super faim. Au retour du sport, idem, j'étais affamée donc bon repas qui m'a fait plaisir. Là, j'ai un creux alors je viens de me faire une collation. J'essaie de bien écouter mon corps mais dur dur. J'ai envie de grignoter en fait et je lutte. Alors que depuis plus d'un an, je n'avais plus eu ce souci.


Saralou a écrit:




Sunset, n'oublie pas le chemin que tu as parcouru déjà, je me souviens quand on échangeait il y a quelques années, d'avoir un meilleur rapport à la nourriture te paraissait inenvisageable.

Par rapport au fait d'être complètement libérée avec la nourriture, personnellement je n'ai plus cette attente, car je pense que ce rapport à la nourriture a fait partie trop longtemps de moi pour que je puisse complètement ne plus vivre cela par période. je suis déjà très heureuse de ne plus le vivre tout le temps, c'est déjà pas mal.


Tu as raison :) Il faut que j'arrive à avoir ton état d'esprit :)

mamykro a écrit:
SunSet a écrit:
Je suis épuisée en ce moment, dur dur au boulot, du coup, je crois que ça joue vraiment sur mon moral.


Perso la fatigue joue énormément sur ma prise de nourriture, pour moi. Par exemple, lorsque je suis très fatiguée et que je mange, la fatigue s'en va. D'ailleurs, j'ai lu quelque part qu'il y avait un réel lien hormonal entre la fatigue et la faim...


Quand je rentre d'une journée de boulot épuisante, très souvent je me jette sur la nourriture, c'est clair. Mais j'ai un boulot fatiguant de base alors je fais comment ? lol
49 ans région parisienne 5831
C'est clair, je me pose la même question: est-ce que je renonce à toute vie après le boulot, y compris familiale, afin de me coucher à 20h ou est-ce que je mange pour tenir le coup et m'occuper de mes enfants jusqu'à ce qu'ils soient couchés?? :roll: J'ai pas la réponse... :?
S
53 ans suisse 993
Je me suis mise à la pratique de la pleine conscience pour gérer le stress et la fatigue justement . Et faire dans la journée des "sas" de décompression, des respirations, des moments de "rien".

En fin de journée aussi j'essaye de profiter des trajets de retour. Voir même n arrivant avant toute chose je me larve un moment avec un thé comme j'aime avant d'entamer la "2ème journée".

Dans mon cas avec un passif de burn out je m'astreints clairement à une hygiène de vie pour ne pas replonger. Plus de tv (sauf exception et encore on préfère se louer un film). plus d'infos le soir. Limitation des sorties qui me bouffent trop d'énergie. Et puis aussi déléguer un max, simplifier des tas de choses, repas etc plus de repassage depuis des années.

Du coup le besoin de réconfort dans mon cas n'est plus (ou beaucoup moins) sur les fin de journées mais dans la journée au travail, là j'ai encore du mal.

Dans mon cas déguster très lentement peut est réconfortant par contre manger trop sous le coup de l'émotion pas du tout. Et je ne supporte plus non plus au niveau digestif les repas trop lourds. Sachant que le prix à payer sera une nuit horrible pas reposante ca limite......

Sinon les fêtes de fin d'année ca se passe bien chez vous? moi j'ai refusé des invits ou déplacé en janvier. Le 24 chez moi c'est moi qui fait tout le repas ca ira bien. Le 25........et bien disons que je n'aurai surement pas trop faim jusqu'au 26;)

Et cette année ouf nous avons moins recu au travail des boites de chocolat et autres bisucuits. J'ai quand même dégusté du super panettone et c'est frustrant de ne pas avoir faim pendant des heures et des heures ensuite.
S
53 ans suisse 993
Partage autour de la sensation de faim.

J'ai été malade après les fêtes 8gros rhume-sinusite-gastro) avec en plus les difficultés à dormir liées à la cpap (pas possible avec gros rhube).

Bref il y a eu une journée ou je n'ai pas mangé tellement j'étais mal, juste tisanes, bouillon un peu de miel , normal.

Puis ca va un peu mieux et la faim réapparait, très impérieuse. Enfin il me semblait. Du coup j'ai repris mes échelles de la faim et regardé ce qui se passait, la petite faim qui passe, la 2^me vague plus taridive etc...jusqu'aux maux de tête à l'état agité, aux émotions qui débordent de partout.

J'ai expérimenté que chez moi il y a encore uen réelle peur de la faim. Comme si mon corps risquait de mourir là à l'instant alors que quand j'étais malade ne pas manger était juste ok.

Et du coup je mange moins depuis plusieurs jours, je mange ce que je veux sur la qualité, ce que je mets dans mon assiette etc. mais c'est comme un exercice de fractionnement un peu poussé.

Il y a là derrière la peur de la restriction alimentaire, aprce que même si je mange ce que je veux je restreint donc avec toutes les idées derrière de restriction cognitive etc.

Et en même temps j'ai envie de me confronter à la faim, à son intensité, à son retour et son cortège de symptômes. Et du coup j'ai lu aussi des trucs sur les mécanismes de la faim, la recherche perpétuelle de l'organisme d'un équilibre etc.

J'observe pour le moment et je note aussi ce que je mange et dans quelles conditions et toutes les émotions qui vont avec. Je revois ma diét en janvier. D'ici là je reprends le travail demain et je verrai comment ca se passe (j'ai un boulot assez exigent physiquement) puis quelques jours de repos avec bains chauds soleil etc.

Avez vous vécu ce genre de période au cours d'un RA?
37 ans 1547
Sirelle, je n'ai pas bien compris la période dont tu parlais dans ta question. Tu parles d'une diminution quantitative ?
La restriction cognitive, elle est mentale et relative au lien causal manger/poids. Si tu diminues les quantités pour expérimenter la faim, c'est différent de diminuer les quantités parce que tu te représentes ces aliments comme favorisants une prise de poids (ou l'inverse). Je dis cela car tu as déjà beaucoup cheminé. Pour d'autres qui sont en restriction cognitive "intense", j'imagine que même si c'est différent dans le principe, cela peut malgré tout être vécu de la même façon, comme de la restriction.

Concernant la faim, ce que tu dis m'intéresse beaucoup car je suis depuis plusieurs semaines autour des réexpérimentations des différents niveaux de faim, des sensations, émotions et pensées récurrentes qui apparaissent à leur occasion (toujours un peu surprise d'observer ces idées automatiques et leur contenu). RA + pleine conscience font bon ménage, mais ce qui est plus dur parfois c'est le faire cohabiter avec les journées ou semaines tourbillon.
Revenir sur les faims, je trouve ça très intéressant mais parfois un peu dur car je me confronte à un vide de compréhension à certains moments, qui dans le cadre alimentaire est moins facile à supporter pour moi (car dans d'autres contextes corporels cela me gêne moins).

J'ai fait le point avec ma diététicienne et nous avons convenu de l'intérêt de poursuivre ces mêmes expérimentations avec la faim à différents niveaux et la méditation guidée sur la faim, mais en essayant après d'écrire précisément mes ressentis plutôt que me limiter à répondre en fonction de suggestions de réponse pré-établies. Là où j'ai le plus de mal c'est pour la moyenne faim, j'ai tendance à avoir peur de cet état aux contours sensoriels moins clairs pour moi que la grande faim. Comment as-tu construis tes échelles ? Cela pourrait-il m'aider tu crois ? Si tu veux bien m'en parler je suis intéressée.
S
53 ans suisse 993
La période dont je parlais est finie. C'était suite à la maladie, je n'ai plus mangé quelques jours ou très très peu et je me suis observée tranquillement. Du coup je n'ai vraiment plus peur de la grande faim. Je crois avoir eu peur de retomber dans la restriction volontaire dans l'idée de maigrir, genre de régime consistant plutôt à s'abstenir de manger......

Mais dès la faim de la maladie, al reprise du boulot etc j'ai retrouvé le plaisir de manger, cuisiner etc.....

Ca m'a permi de tester des limites vis à vis des symptômes de la faim.

Je vois mercredi ma diét pour le dernier rendez vous normalement et ensuite je ne sais pas. Je continuerai tout simplement à manger comme une personne régulée, de tout en focntion de mes sensations. Et par moment, notamment en cas de stress au boulot de grosse échéance etc....je chercherai plus souvent du réconfort dans mes aliments doudous. Et j'attendrai le retour de la faim comme toujours.

Dans mon cas au vu de mon histoire gynéco et mon parcours j'essaye de ne pas trop flipper de la'rrivée de la ménaupause mais j'ai des inquiétudes à ce sujet sur les conséquences en terme de prise de poids.J'ai des exemples assez terribles autour de moi ou des personnes entre les insomnies les bouffées de chaleur les sautes d'humeur etc....grossissent sans changer radicalement leur alimentation.

Mais bon je n'y suis pas complètement encore chaque chose en son temps.

J'avoue penser de plus en plus régulièrement à la chirurgie bariatique comme le seule option "finale" pour moi dans le futur au vu de mes sympt^mes tel que l'apnée ou la perspective du diabète etc. Mais là de toute facon il y aurait l'étape préalable des 2 ans de réflexion et faire avec l'idée du by pass seule chir remboursée en suisse . Mais c'est une idée qui ne m'enchente guère quand je vois autour de moi des personnes ne plus pouvoir manger de crudités, ne plus supporter les produits laitiers, en plsu assimiler leurs traitements médicaux etc.

Je me sens en fait "coincée" dans ma situation, entre la ra la pleine conscience, l'activité physique régulière. Comme si je pouvais encore faire quelquechose mais quoi?

Je mets encore de l'espoir dans le changement éventuel de poste mais là non plus je ne peux pas décider de mon engagement et vu la conjoncture je sais que je peux être heureuse d'avoir un cdi avec un salaire suisse à la clé.
S
53 ans suisse 993
Ce qui devait être la dernières consultation a eu lieu.

Donc bilan, pesée cata......5 kilos pris en 6 mois.....du coup je vais continuer les consultations. Pas folle de joie mais la diét pense que arrêter maintennant c'est risquer de me voir débarquer dans 6 mois avec un bonus de 10 kilos encore plus compliqué à gérer.

Bref je la revois bientôt en espérant que cette prise de poids ne continue pas.

En faisant du tri je suis retombée sur des bouquins de geneen roth je vais m'y replonger.
S
89 ans 4951
:( :(

Pas évident cette reprise,j espere vraiment que cela se stabilise. Quand je te lis je trouve que tu ne manges pas beaucoup, tu as l air de ne pas beaucoup depasser ta faim.

es tu deja en peri menopause ?
37 ans 1547
De quel livre il s'agit ? J'ai cherché l'auteur, mais encore une fois je crois que mon peu d'anglais me fera passer à côté de certaines lectures. (Un jour je lirai des livres en anglais ! ... ou je les ferai traduire 8) )

Avant que tu ne constates sur la balance la prise des 5 kilos, as-tu senti, perçu d'une façon ou d'une autre une prise de poids globalement ? Te sens-tu moins bien sur le plan corporel ?

Personnellement le fait de consulter m'étaye pas mal en ce moment. Je continue mes explorations plus précises des sensations de faim en particulier d'une faim moyenne. Je reprends aussi des exercices autour de la dégustation en pleine conscience ou en attention "souple". J'ai eu un moment de plaisir l'autre jour où j'avais envie de frites à une heure où socialement ce n'est pas tellement ce qu'on va manger. J'ai dégusté mes frites dans une brasserie avec beaucoup moins de tension qu'habituellement, même si ce n'est pas encore ça de manger en public des aliments "connotés" pour moi. J'en ai davantage profité, ça m'a fait vraiment plaisir.

Aujourd'hui j'ai acheté un nouveau petit cahier autour de ces questions. Celui que je termine avait été commencé il y a plusieurs années, et je me rends compte que c'est surtout depuis 10 mois que j'ai vraiment investi ce carnet. J'avais mis au début une citation de pomdereinette de VLR dont j'avais tant aimé un message où elle écrivait notamment au sujet de son corps: "l'habiter du dedans plutôt que le juger du dehors". Faut que je retrouve son message tiens.

Pour la chirurgie dont tu parlais un peu plus haut, j'ai écouté différentes interventions autour de ce thème dans une rencontre du GROS, j'ai trouvé ça très intéressant, il y a même eu je crois des éléments/professionnels liés à la suisse car j'ai pensé à toi et à saralou en les écoutant. Si tu veux en savoir plus tu peux m'envoyer un mp.
B I U