38 ans
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Angia a écrit:
Il y avait une part de démystification c'est vrai (puisque j'avais des apriori sur les féculents) et donc en accord avec la RA, mais aussi une certaine obligation "nutritive" qui m'a aidée à retrouver des sensations de satiété et de faim et d'équilibre. Je devais aussi manger à des heures fixes par exemple, contrairement à la RA. Ca m'a aidée à retouver la faim. En fait, c'était une étape mais je ne le savais pas forcément. J'avais confiance en mon médecin par contre. Mais j'ai eu la chance de tomber sur quelqu'un de très bien.
Donc pour la notion de contrôle qui frôle celle du régime....c'est vrai que la question se pose. Elle pourrait d'ailleurs la poser à sa nutritionniste pour voir si elle avance dans cette optique ou pas du tout?
Theophee a écrit:
La différence il me semble, c'est que dans ton cas le but de la réintroduction c'était surtout de "démystifier" certains aliments et de se débarasser de la notion d'aliment tabou. Dans le cas de solice, c'est plus dans une idée d'équilibrer la prise alimentaire, donc plutôt une notion de contrôle, ce n'est pas tout à fait la même chose. Mais comme dit Oxymore, si ça peut l'amener à essayer de nouvelles choses et découvrir de nouveaux plaisirs alimentaires, pourquoi pas.
(d'accord avec le reste de ton message par ailleurs).
Au début de ma RA, et suivie par un comportementaliste alimentaire, je devais réintroduire des aliments dans mes repas (en l'occurence, des féculents dont j'avais peur :) ) Cette première étape m'a aidée ensuite à mieux suivre une RA où peu importe l'aliment, ce qui compte c'est la satiété.
La différence il me semble, c'est que dans ton cas le but de la réintroduction c'était surtout de "démystifier" certains aliments et de se débarasser de la notion d'aliment tabou. Dans le cas de solice, c'est plus dans une idée d'équilibrer la prise alimentaire, donc plutôt une notion de contrôle, ce n'est pas tout à fait la même chose. Mais comme dit Oxymore, si ça peut l'amener à essayer de nouvelles choses et découvrir de nouveaux plaisirs alimentaires, pourquoi pas.
(d'accord avec le reste de ton message par ailleurs).
Il y avait une part de démystification c'est vrai (puisque j'avais des apriori sur les féculents) et donc en accord avec la RA, mais aussi une certaine obligation "nutritive" qui m'a aidée à retrouver des sensations de satiété et de faim et d'équilibre. Je devais aussi manger à des heures fixes par exemple, contrairement à la RA. Ca m'a aidée à retouver la faim. En fait, c'était une étape mais je ne le savais pas forcément. J'avais confiance en mon médecin par contre. Mais j'ai eu la chance de tomber sur quelqu'un de très bien.
Donc pour la notion de contrôle qui frôle celle du régime....c'est vrai que la question se pose. Elle pourrait d'ailleurs la poser à sa nutritionniste pour voir si elle avance dans cette optique ou pas du tout?