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Sauf que pour savoir que è + me = ème, c'est syllabique.
Les différentes manières d'écrire les son et quand écrire "ai", "è" ou "es" c'est justement du par coeur.
Il n'y a pas de logique, on écrit "aime" et pas "ème" parce que c'est comme ça.
Enfin, y a une logique historique, mais pas une logique qu'on devine.
C'est en voyant les mots écrits de cette façon qu'on sait qu'ils s'écrivent ainsi et pas autrement.
C'est en voyant les homophones dans leur contexte et en les comprennant qu'on sait lequel veut dire quoi.
Pour ce qui est de ton fils, il a un problème d'apprentissage, c'est pas une tare, peut-être pas la dyslexie, mais à mon avis, la méthode d'apprentissage a rien changé.
C'est la méthode syllabique qui fait que "è" + "me" = ème.
La méthode globale c'est "aime", qu'il peut confondre avec "aire" s'il n'a pas compris le méchanisme derrière pour déchiffrer les mots nouveaux.
Les différentes manières d'écrire les son et quand écrire "ai", "è" ou "es" c'est justement du par coeur.
Il n'y a pas de logique, on écrit "aime" et pas "ème" parce que c'est comme ça.
Enfin, y a une logique historique, mais pas une logique qu'on devine.
C'est en voyant les mots écrits de cette façon qu'on sait qu'ils s'écrivent ainsi et pas autrement.
C'est en voyant les homophones dans leur contexte et en les comprennant qu'on sait lequel veut dire quoi.
Pour ce qui est de ton fils, il a un problème d'apprentissage, c'est pas une tare, peut-être pas la dyslexie, mais à mon avis, la méthode d'apprentissage a rien changé.
C'est la méthode syllabique qui fait que "è" + "me" = ème.
La méthode globale c'est "aime", qu'il peut confondre avec "aire" s'il n'a pas compris le méchanisme derrière pour déchiffrer les mots nouveaux.