Mais c'est horrible...on est combien dans ce cas là ?Il y a encore quelques mois, je pensais être la seule à agir de cette façon, et là je viens de lire tous ces témoignages, et je suis entrain de pleurer.
Je suis heureuse de me sentir comprise, de savoir exactement de quoi vous parlez, mais en même temps, j'aime pas du tout l'idée "d'être" ça...on "est" hyperphage...c'est bien de pouvoir le dire, de s'en rendre compte, d'en parler, mais ça nous mène où?? Je déteste cette "maladie" ( maintenant que je sais que s'en est une), et c'est déjà ça, puisque avant, c'est moi que je détestais.
Mais je ne sais toujours pas quoi faire!! Il faut faire quelque chose bordel !!
J'en suis rendue à un point de non retour, où je cherche à remplacer mon addiction à la nourriture par une autre...mais je suis trop fidèle pour être nympho, trop fragile pour fumer plein d'herbe, déjà trop grosse pour devenir une sportive compulsive, et j'arrive même pas à être alcoolique... Tout le monde à des problèmes, ça on peut toutes en être certaines, mais je crois que notre façon d'y faire face est la plus répugnante et la pire qui soit.
Il faut réagir, en parler beaucoup plus...
Est ce que " les hyperphages anonymes" existent ? Un vrai endroit, avec des vrais gens, qui s'aident réellement à moins souffrir, et à se contrôler..
Si des rennaises tombent sur ce message, qu'elles n'hésitent pas à me contacter, pour se rencontrer, pour mettre au point une entraide infaillible...parce que là, je ne sais plus quoi faire, je n'en peux plus.
Bon courage à toutes.