Hypersexualité féminine

Je vois quon à a peu près toute la même solution alors ^^ mais ce qui serait bien serait de pvr traiter le problème à la base, combler ce manque affectif ... mais bon je suis pas sûre que ce soit possible lol

146133 a écrit:

je confirme pour être en plein dedans ... mieux vaut un sur la même longueur d'onde !

pour ma part le manque affectif c'est un peu comblé avec la naissance de ma fille et tout l'amour qu'elle me donne en retour. Elle est très caline et emphatique. Mais le manque est toujours la moins fort qu'avant.

Pas sure qu'une frustration sexuelle, puisque c est cela dont on parle ici, puisse être durablement comblé par de l'affectif...
Je veux dire que si frustration il y a, la tendresse ne la contiendra pas éternellement..

Si?

Non pas éternellement, mais le bute n'est pas de remplacer définitivement mais de compensé à un moment donné en attendant pour faire patienté ...

Enfin c'est comme ça que je vois les choses
Souvent on ressent de la frustration à ne pas avoir de sexe, on croit qu'on en manque, mais non en vrai on manque juste d'amour donc ça peut très bien calmé la frustration

http://www.intimementv...s-plus-quid-de-la-nymphomanie/

Un petit billet sur le sujet, qui n'est pas très poussé mais assez juste je trouve.

Et pourquoi ne pas explorer d'où vient ce "besoin intense" ?

C'est la question principale, c'est certain. Mais meme une fois qu'on le sait, qu'on l'a accepté, on est dans l'impasse... Au fond on a toujours ce manque, bien qu'on en soit consciente.

helenou a écrit:
La bonne blague, je dirais presque. Chez un homme, ça s'appelle un obsédé sexuel.

De fait... Et c'est plutôt perçu de manière négative avec tous les clichés associés genre " c'est un obsédé il saute surement tout ce qui bouge"
C'est pas systématique...

146133 a écrit:
Et même sur ce qui ne bouge pas ! 8)

Faut pas tout mélanger. Un solide appétit sexuel est différent de la nymphomanie et consort. Avoir très souvent envie avec une personne qu'on aime (ou même sans qu'il n'y ait de grand amour) est une chose. Y penser tout le temps et fantasmer sur des personnes qu'on croise et être obligé de se retenir de peur de passer à l'acte en est une autre. Ca je ne pourrais pas le vivre avec une femme.

Mais avec un homme oui? :P

Effectivement il y a une différence...
Cela dit la frustration semble ici importante....

Prax a écrit:
Tu as raison Prax, ça pourrait figurer dans la rubrique sexisme ordinaire...

Ceci dit, chez la femme, c'est considéré comme "être une pute". Je ne sais pas ce qui est le mieux ^^

Noemimie a écrit:
Je suis assez d'accord avec le fait de dire que le manque peut être comblé (en partie) par diversion, en exerçant une autre activité. Il faut aussi peut-être tenter le sevrage, c'est à dire l'abstinence, le corps devrait finir par s'habituer (phénomène addictif), chose plus facile à dire qu'à mettre en pratique.

Sinon, petit HS, j'ai vu dans ce blog un article qui tendait à réhabiliter les caresses, ça c'est une bonne idée!