S
Je ne connais pas les dispositions en France mais en Suisse, il y a une législation assez sévère en ce qui concerne ces opérations.
Certains critères doivent être impérativement remplis pour pouvoir subir ce genre d'opérations. Par exemple, pour un by-pass:
- avoir plus de 18 ans
- avoir un IMC de plus de 40
- avoir des facteurs aggravants liés au surpoids (diabète, odèmes, problèmes de dos, etc.)
- avoir fait pendant au minimum 2 ans (donc 24 mois) de régime
Donc, en Suisse, des personnes avec un IMC de 30 ne pourront jamais se faire opérer d'un by-pass. Le règlement est assez strice à ce sujet si on veut que ces interventions soient prises en charge par l'assurance-maladie.
Donc il se peut qu'en France, des médecins (ou des charlatans) opérent des patientes pour se faire du fric. Cela est un autre problème.
Par ailleurs, suivant le type de mangeuse que l'on ait, certaines opérations ne peuvent pas effacer des crises de boulimie donc l'opération n'est pas possible.
De plus, comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, ce fut pour moi une solution de dernier secours après avoir épuisé toutes les autres possibilités existantes.
Par contre, je ne suis pas tout à faire d'accord avec toi Anne sur le fait que l'on doit avoir impérativement des factures de co-morbidité aggravante. Il y a des personnes qui ont 50 kilos en trop mais qui n'ont pas des facteurs aggravants et qui souhaitent tout de même se faire opérer (pour des raisons psychologiques). Donc je pense personnellement que ces opérations devraient pouvoir également mises à disposition de ce genre de personnes.
Je ne pense pas qu'il y ait une seule personne qui a eu un by-pass et qui n'a eu aucun inconvénient. Sauf que certaines personnes font avec et se sentent nettement mieux dans le corps avec 40 kilos en mois.
Pourquoi cacher le fait qu'une partie des personnes opéreés se sentent revivre après une telle opération. Quel est le pourcentage ? J'en sais rien. Si les médecins font correctement leur boulot, ils doivent expliquer correctement à leurs patients les désagréments d'une telle opération.
Maintenant à chacun de nous de choisir sa propre voie selon ses propres désirs. Personne n'a jamais dit qu'il n'y avait pas de désagréments.
Certains critères doivent être impérativement remplis pour pouvoir subir ce genre d'opérations. Par exemple, pour un by-pass:
- avoir plus de 18 ans
- avoir un IMC de plus de 40
- avoir des facteurs aggravants liés au surpoids (diabète, odèmes, problèmes de dos, etc.)
- avoir fait pendant au minimum 2 ans (donc 24 mois) de régime
Donc, en Suisse, des personnes avec un IMC de 30 ne pourront jamais se faire opérer d'un by-pass. Le règlement est assez strice à ce sujet si on veut que ces interventions soient prises en charge par l'assurance-maladie.
Donc il se peut qu'en France, des médecins (ou des charlatans) opérent des patientes pour se faire du fric. Cela est un autre problème.
Par ailleurs, suivant le type de mangeuse que l'on ait, certaines opérations ne peuvent pas effacer des crises de boulimie donc l'opération n'est pas possible.
De plus, comme je l'ai déjà dit plusieurs fois, ce fut pour moi une solution de dernier secours après avoir épuisé toutes les autres possibilités existantes.
Par contre, je ne suis pas tout à faire d'accord avec toi Anne sur le fait que l'on doit avoir impérativement des factures de co-morbidité aggravante. Il y a des personnes qui ont 50 kilos en trop mais qui n'ont pas des facteurs aggravants et qui souhaitent tout de même se faire opérer (pour des raisons psychologiques). Donc je pense personnellement que ces opérations devraient pouvoir également mises à disposition de ce genre de personnes.
Je ne pense pas qu'il y ait une seule personne qui a eu un by-pass et qui n'a eu aucun inconvénient. Sauf que certaines personnes font avec et se sentent nettement mieux dans le corps avec 40 kilos en mois.
Pourquoi cacher le fait qu'une partie des personnes opéreés se sentent revivre après une telle opération. Quel est le pourcentage ? J'en sais rien. Si les médecins font correctement leur boulot, ils doivent expliquer correctement à leurs patients les désagréments d'une telle opération.
Maintenant à chacun de nous de choisir sa propre voie selon ses propres désirs. Personne n'a jamais dit qu'il n'y avait pas de désagréments.