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Parité devant la fellation, le cuni, la sodomie

32 ans Dunkerque 538
De mon point de vu attention point par point ;)

:arrow: je suis d'accord, le cunni ou la fellation sont des choses à faire en confiance, dans une  
relation, c'est un autre plaisir: celui de faire plaisir (wouuuh philosophe ^^)

:arrow: pour moi en tout cas, la fellation n'a jamais été humiliante, au contraire, je trouve que voir son mec prendre du plaisir, c'est très excitant (ce n'est que mon avis)

:arrow: la sodomie :twisted: question épineuse ^^. Perso, je ne l'ai même jamais envisagé, pour moi c'est un sens unique, encore une fois tout dépend des personnes. Mais je ne sais pas si les hommes se rendent compte, que pour une femme non entraînée, c'est extrêmement douloureux. Ce n'est pas un tabou, et je ne doute pas qu'une fois découvert, ce plaisir est différent, mon ex a essayé de m'expliquer en me disant qu'il existe des orgasmes différents, comme pendant la sodomie mais son raisonnement est tombée à l'eau quand je lui ai demandé s'il avait lui même essayer les bienfaits de ce plaisir :lol:
45 ans Orléans (45) 223
de mon point de vue, la fellation et le cunni ne se demandent pas, ils s'offrent. 9a fait peut être cliché, mais je vois ça comme un cadeau, le désire de faire plaisir à l'autre.
Quand à la sodomie, je vois ça plus comme une expérience pour les 2 partenaires, soit pour découvrir de nouvelles choses, soit pour apporter un peu de diversité et de folie à la vie sexuelle du couple.
2630
:twisted: Moi ce que j'adore, c'est les mecs qui considèrent qu'une femme qui les suce est "soumise" alors qu'en réalité, ayant leur queue entre les dents, c'est elles qui ont le pouvoir !!! :lol:
35 ans 819
Ah Iwena, merci! J'osais pas le dire. :D
32 ans Tu vois où c'est le Puy de Dome ? Et bah, c'est pas là. 975
Iwena --> C'est drôle, car moi je pense tout à fait l'inverse. J'ai vraiment pas l'impression que c'est la femme qui a le pouvoir étant donné que c'est elle qui exécute. Pour prouver l'idée que ce serait les femmes qui aient le pouvoir, il faudrait que par exemple, elles se mettent à vraiment mordiller, enfin, montrer que c'est elles qui font ce qu'elles veulent xD. A partir du moment ou tu ne manifestes pas vraiment cette ascendance, j'en déduis un peu qu'il s'agit de l'arroseur arrosé. T'aura beau le penser, ça ne change rien pour l'homme qui fantasmera quand même sur l'idée de la femme "soumise".

Enfin, je dois paraitre un peu extrémiste dans mon message.
35 ans 819
Ben personellement, le dernier à avoir pensé cela (il regardait un peu trop de porno celui là...), il doit encore avoir les traces de mes dents.
1834
Missoury a écrit:
Enfin, je dois paraitre un peu extrémiste dans mon message.

Extrémiste... ou simplement très théorique quoi ! :mrgreen:

Me rappelle de mon ex me disant "ah mais non je ne supporte pas l'idée de me mettre à genoux pour faire ça, soumission tout ça etc..."

Et puis le lendemain même être à genoux devant moi en train de... :sifl:

Et de me dire, un peu penaude de sa tirade de la veille, que finalement ça dépend du contexte, du copain, que là elle n'y avait même pas pensé en fait.

Bah ouais, parce que sur le moment, tout ça n'a n'est pas forcément réfléchi comme un problème social ou philosophique hein. :lol:

On prend plaisir à se donner, et même à se soumettre (à divers degré selon les personnes et les envies), c'est un cadeau pour l'autre, c'est du plaisir, de l'amour...

Parfois ça ne va pas plus loin que ça finalement... et heureusement ! ;)
2513
Je n'ai jamais sucé en étant à genoux, justement ce serait dans cette position que j'aurais l'impression d'être une soumise plutôt que quelqu'un qui veut simplement faire plaisir à son copain.
Et aussi interdit qu'il pose ses mains sur ma tête, m'impose un quelconque rythme et encore moins qu'il me tienne par les cheveux. :shock:

Au tout début il avait voulu poser une main sur ma tête, je lui ai dit non assez sèchement, il n'a plus jamais recommencé. :lol:
P
38 ans France 125
lwena a écrit:
:twisted: Moi ce que j'adore, c'est les mecs qui considèrent qu'une femme qui les suce est "soumise" alors qu'en réalité, ayant leur queue entre les dents, c'est elles qui ont le pouvoir !!! :lol:


+ 1

Moi je me sens pas du tout soumise bien au contraire.
42 ans Lyon 124
Plume-d_ange a écrit:
lwena a écrit:
:twisted: Moi ce que j'adore, c'est les mecs qui considèrent qu'une femme qui les suce est "soumise" alors qu'en réalité, ayant leur queue entre les dents, c'est elles qui ont le pouvoir !!! :lol:


+ 1

Moi je me sens pas du tout soumise bien au contraire.



+1 !!!
2630
Missoury a écrit:
Iwena --> C'est drôle, car moi je pense tout à fait l'inverse. J'ai vraiment pas l'impression que c'est la femme qui a le pouvoir étant donné que c'est elle qui exécute. Pour prouver l'idée que ce serait les femmes qui aient le pouvoir, il faudrait que par exemple, elles se mettent à vraiment mordiller, enfin, montrer que c'est elles qui font ce qu'elles veulent xD. A partir du moment ou tu ne manifestes pas vraiment cette ascendance, j'en déduis un peu qu'il s'agit de l'arroseur arrosé. T'aura beau le penser, ça ne change rien pour l'homme qui fantasmera quand même sur l'idée de la femme "soumise".

Enfin, je dois paraitre un peu extrémiste dans mon message.


Nan mais après je m'en fous qu'il se croit dominant à ce moment-là, voire même si ça lui fait plaisir ou l'excite, tant mieux !
Mais moi je sais que s'il commence à mal me traiter, à se comporter comme si j'étais vraiment à sa botte, j'ai toujours la possibilité de lui faire comprendre ma position avec mes dents :lol:
34 ans 2571
Je suis tout à fait d'accord avec lwena ! S'il fantasme sur sa domination, bah quel est le souci ? On a bien le droit d'avoir les fantasmes qu'on veut lol, du moment qu'il se montre pas désagréable avec moi.

Je trouve pas non plus que ce soit humiliant de faire ça, quelle que soit la position, la posture, du moment que c'est confortable et agréable.

Tout n'est pas qu'une question de pouvoir, hein...
45 ans Orléans (45) 223
une ex m'avait bien fait comprendre que c'était elle qui avait tout pouvoir lors de la fellation, et ce n'étais pas en menaçant d'y planter ses crocs, mais ou contraire en me faisant prendre conscience qu'elle pouvait tout stopper à n'importe quel moment et me laisser frustré, ou inversement en s'y mettant à un moment embarrassant, par exemple quand j'étais au téléphone.

"allo, c'est toi maman?"
*ziiiiip*
"oui, non,....j'te rappel maman...dans 10 minutes....en fait plutôt 5..."
:oops: :lol:
32 ans Tu vois où c'est le Puy de Dome ? Et bah, c'est pas là. 975
Je viens de trouver une réaction très pertinente de la blogueuse Maia Mazaurette qui a été référencée et dont j'ai visité le site, elle aborde justement la sodomie et exprime clairement mon point de vue, je vous cite :

" Le problème c’est quand le rêve devient réalité, ou qu’il devient un nouveau standard - allez, c’est quand même de plus en plus rare de rencontrer un mec qui n’essaie pas de moyenner : “hé, dis, on pourrait, euh, on pourrait, tu vois, le sexe anal et tout ?” (le sexe anal ayant rarement lieu dans son rectum personnel). A priori, c’est toujours ok de demander. Sauf que quand une majorité de mecs demandent, ils déplacent la normalité pour les femmes qui sont de l’autre côté de la question : si tous les mecs attendent ça, c’est peut-être que toutes les femmes le font ? Est-ce qu’on n’est pas décevante ? Est-ce que les femmes qui aiment ça sont de meilleurs coups ?

Bah non. En tout cas pas encore. Gloire du trentenariat : aucun homme de ma génération ne considère la sodomie comme un dû. Je ne sais pas comment c’est quand on a quinze ans. Je suis contente de ne pas avoir quinze ans. La pression est déjà assez forte comme ça, et je le dis avec autant de liberté que la sodomie ne me dérange pas du tout. Mais j’attends de pied ferme le premier mec qui me demandera une gorge profonde (toi d’abord, chouchou, voyons combien de centimètres d’aubergine on peut t’enfoncer dans la gorge avant que tu étouffes).

Il n’empêche que la sodomie se passe rarement, faut pas déconner, sans au moins une pointe de douleur - même en y mettant toute la douceur et la patience du monde. Donc il fallait souffrir pour être belle, souffrir pour être épilée, maintenant il faut souffrir pour baiser. C’est-à-dire que du début à la fin, de la préparation à la concrétisation, la séduction et le sexe font mal. Ou prennent la direction de faire mal.

(Oh, au fait : félicitations aux mecs qui plaisantent sur la petite claque sur les fesses, “obligatoire en cas de levrette” : autre excellente manière d’associer plaisir et douleur comme si c’était normal. Je vous recommande de ne pas tenter ça avec n’importe qui, un coup de shotgun dans l’oeil est vite arrivé.)

BORDEL. C’est quand même pas exactement comme ça qu’on va construire une érotique positive. En fait, on est en plein retour de bâton, où le sexe (re)devient sacrificiel, avec une seule moitié de la population qui est censée serrer les dents. Pas drôle. Si on cherchait un moyen de dégoûter les femmes du sexe, là, je pense qu’on s’y prend plutôt carrément efficacement. Certaines personnes peuvent trouver la douleur libératoire. Mais pas moi. Et j’ai pas l’impression d’être en minorité sur ce coup-là. Si j’ai envie qu’on me fasse mal, JE demande. Je répète pour bien être comprise : c’est à MOI de suggérer.

Je me demande comment réagiraient les hommes si parmi les passages pas obligatoires, mais du moins encouragés, de la sexualité, il y a avait différentes étapes de douleur. Je me demande ce que ça donnerait si 25% des femmes pensaient qu’il n’y a rien de mieux que d’enculer leur conjoint adoré, si chaque femme demandait après deux jours ou deux semaines de relation : au fait, je peux t’attacher, t’étouffer, te mettre une épingle à cheveux dans l’urètre ?

Ceci n’est en aucun cas un blâme collectif (après tout, il reste une moitié de mecs qui n’idolâtrent pas la sodomie, et je ne doute pas que les répondants sodomie = Graal ont en tête cette sodomie rare où tout passe comme dans du beurre demi-sel). Mais quand on demande quelque chose qui potentiellement fait mal, on banalise la douleur, sur une population potentiellement captive (si une fille vous aime, elle a la pression pour vous plaire, c’est un pouvoir auquel il convient de faire attention). Bref : vos envies ont des conséquences."
45 ans Orléans (45) 223
Missoury a écrit:

" Le problème c’est quand le rêve devient réalité, ou qu’il devient un nouveau standard - allez, c’est quand même de plus en plus rare de rencontrer un mec qui n’essaie pas de moyenner : “hé, dis, on pourrait, euh, on pourrait, tu vois, le sexe anal et tout ?” (le sexe anal ayant rarement lieu dans son rectum personnel). A priori, c’est toujours ok de demander. Sauf que quand une majorité de mecs demandent, ils déplacent la normalité pour les femmes qui sont de l’autre côté de la question : si tous les mecs attendent ça, c’est peut-être que toutes les femmes le font ? Est-ce qu’on n’est pas décevante ? Est-ce que les femmes qui aiment ça sont de meilleurs coups ?

Bah non. En tout cas pas encore. Gloire du trentenariat : aucun homme de ma génération ne considère la sodomie comme un dû. Je ne sais pas comment c’est quand on a quinze ans. Je suis contente de ne pas avoir quinze ans. La pression est déjà assez forte comme ça, et je le dis avec autant de liberté que la sodomie ne me dérange pas du tout. Mais j’attends de pied ferme le premier mec qui me demandera une gorge profonde (toi d’abord, chouchou, voyons combien de centimètres d’aubergine on peut t’enfoncer dans la gorge avant que tu étouffes).


C'est étrange, personnellement, je n'ai jamais demandé ni suggéré la sodomie, pourtant 2 de mes ex ont voulu essayer spontanément, et une troisième commençait à évoquer l'idée avant qu'on se sépare. C'est d'ailleurs pour ça que je voie ça comme une experience à 2, mais effectivement, la sexualitée des jeunes ne semble pas évoluer dans le bon sens.

J'avais entendu une sexologue québécoise qui disait qu'il y à 10 ans la question la plus posée par les jeunes filles était "comment on embrasse?" aujourd'hui c'est plus souvent "Comment tailler une bonne pipe? faire qu'il aime vraiment ça?"

Ce constat dramatique est selon moi l'aboutissement d'une éducation sexuelle qui s'appuie trop sur l'industrie pornographique, et l'explosion d'internet n'y est certainement pas étranger.

Missoury a écrit:


Je me demande comment réagiraient les hommes si parmi les passages pas obligatoires, mais du moins encouragés, de la sexualité, il y a avait différentes étapes de douleur. Je me demande ce que ça donnerait si 25% des femmes pensaient qu’il n’y a rien de mieux que d’enculer leur conjoint adoré, si chaque femme demandait après deux jours ou deux semaines de relation : au fait, je peux t’attacher, t’étouffer, te mettre une épingle à cheveux dans l’urètre ?

ça existe, même si c'est généralement accidentelle, ça s'appelle "la rupture du frein". :puppydogeyes:
B I U


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