Bonjour à tous et à toutes :),
Je suis désolée si je remonte ce post mais c'est que j'ai justement un problème de belle-mère sur la conscience...
Madame ma belle-doche est est une emmerdeuse hypocondriaque nombriliste, menteuse et jalouse :bad-words:
Vi, tout ça. Pour ne pas vous saouler avec un post-fleuve je ne rentrerais pas dans les détails. Je me contenterais d'un résumé très succint des derniers évènements marquants.
Au terme d'un séjour chez elle, son fils (mon chéri ^^) a fini par craquer et l'envoyer bouler complètement. Elle a été odieuse au possible. Nombriliste à 450% alors que sa mère de 82 ans était à l'hopital, en attente d'un traitement visant a sauver sa jambe de l'amputation. Elle s'est montré ignoble avec elle, insupportable avec nous. Tout y est passé, y compris le chantage affectif et le chantage au suicide, étant donné que son fils ne rentrait pas dans son délire.
Elle paracheva son oeuvre, après notre départ, en allant cracher une énorme saloperie sur mon dos.
Madame ma belle-doche se dorlotte dans ses "malheurs" depuis des années et ces temps ci aime a appuyer ses dires en disant partout qu'elle se bourre de Xanax. Je l'ai mise en garde contre ses saletés de benzodiazépine, à plusieurs reprises. Premièrement à cause de la dépendance, et deuxièmement cause des effets pervers possibles, pris à long terme et à haute dose. A savoir aggravation du mal être justement, aggravation des bouffées d'angoisse, bouffées délirantes, et même pulsion suicidaire dans certain cas (un documentaire est passé sur France5 à cepropos il y a quelques temps, ça m'a beaucoup aidé à comprendre certaine chose. Voir ci dessous).
J'ai appuyé ma mise en garde en me servant de l'exemple tragique de ma propre mère qui, comme madame ma belle-doche, a jamais voulu d'anti-dépresseurs mais se gavait de Xanax, et qui a fini par mettre fin à ses jours.
Eh bien savez vous ce qu'elle a été dire ? Elle a été raconter partout que je lui aurais dit : "t'as qu'à prendre tes cachets et en crever" :shock: :evil:
Son fils, depuis tout ça, la bat froid. C'est silence radio. Mais comme elle a saoulé sa vielle mère (qui est sortie de l'hopital entre temps, et avec ses deux jambes ^^ ouf ! ) en prétextant être injustement la victime de récriminations non méritées et que mémé a fini par tenir un discour pénible pour mon chéri, celui ci lui a pris sa plume et a concocté une lettre de 8 pages pour rappeler ses mauvaisetés à madame ma belle-doche.
Il semble qu'elle en est pris un coup tout de même vu qu'elle a envoyé un texto ce midi en disant qu'elle lui envoyait une lettre à son tour.
Eh bien vous savez quoi ? Tout d'abord je ne tombe pas de haut, je ne suis surprise de rien, je n'ai jamais été dupe.
J'ai tout de suite reconnu en elle ce que j'avais pu voir chez ma propre mère. Pas de surprise, juste du dépit.
Cela dit je ne crois pas que ce monstre d'égoïsme se remette en question. Elle ne l'a jamais fait, c'est une enfant gâtée à qui l'ont passa tous ses caprices (rendez vous compte qu'à bientôt 60 ans elle ne se cuisine rien, c'est sa mère qui lui fait la bouffe ! si si sa mère de 82 ans, celle là même qui vient de sortir de l'hopital).
Je crois qu'elle se cherchera des excuses vaseuses -comme d'hab- pour moitié et qu'elle s'enfoncera dans le mensonge pour l'aute moitié...
D'autre part, même si ça s'arrangeait, ce que je souhaite pour mon homme, moi je ne lui pardonnerais pas.
Ni aujourd'hui, ni demain, ni dans 20 ans. Je ne veux plus la voir, c'est terminé. J'ai pris sur moi de laisser mon chéri s'illusionner en se/me disant que sa mère m'aimait bien tant que ça ne dépassait pas certaines limites. Mais là le point de non-retour est franchi. Je suis dans une colère noire contre cette bonne femme, aussi indigne en tant que mère qu'en tant que fille ! :2gunfire: Elle a fait du mal à tout le monde, dont à mon chéri que j'aime profindément. Elle m'a sali sans autre raison que sa jalousie à la limite du malsain et enfin elle a remonté à ma mérmoire, par son attitude, certain épidose pénible de ma vie.
J'ai trop souffert avec ma propre mère pour accepter de revivre ne serait ce qu'une once de ce cauchemar avec une étrangère. On ne peut aider que les gens qui veulent l'être, et elle ne veut pas d'aide, elle veut qu'on se lamente avec elle. Alors je dis m****.
Même si ça s'arrange, avec moi c'est fini. [-(
Désolée. je voulais faire court et c'est râté :oops: . J'imagine que mon post est aussi confus que long et inintéressant, mais ça me rongeait trop, il fallait que ça sorte.
Merci de m'avoir lu jusqu'ici :roll: