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Quel moyen de contraception utilisez vous ?

50 ans 665
personnelement je n utilise rien pour mon malheure j ai une sterilitee tubere bonc aucun risque de grossesse :oops: :oops: du moins de facons naturelle
50 ans Bayonne 1323
pour ma part j'utilise une pillule micro dosée (non remboursée :!: ) mais c'est celle là qui me convient depuis le debut donc j'ai pas cherché à en prendre une autre remboursée qui m'aurai faite grossir ou avoir des douleurs
44 ans 2506
Salut !

Ma gynéco vient de me prescrire "jasminelle", c'est une pillule toute nouvelle et non remboursée, qui a (soi disant) l'avantage de ne pas faire grossir.. :roll:

Quelqu'un connaît ?? :)
44 ans Lyon 160
Annel a écrit:
Salut !

Ma gynéco vient de me prescrire "jasminelle", c'est une pillule toute nouvelle et non remboursée, qui a (soi disant) l'avantage de ne pas faire grossir.. :roll:

Quelqu'un connaît ?? :)


Salut !
on vient de me la prescrire il y a deux semaines ... je l'ai commencé y a quelques jours donc je peux pas te dire si ce qu'elle t'a dit est vrai ou pas
M
45 ans 74 3
salut moi c'est jamine



elle te font pas grossir et tu as moins de probleme d'acne. c'est une plaquette de 21 jours et pause de 7 jours.

voila pour moi.

;)

50 ans vosges (a 30 kms d Epinal) 7
:teddy: bonjour a toutes
pour moi depuis 3 ans c etait le sterilet qui empeche les regles ( vachement bien) mais desole pour celle que ca interresse je ne sais plus le nom, demander a votre gyneco, mais depuis le mois de mars c est fini, nous essayons d avoir un 3 eme enfants, mais les filles je vous le conseil ce sterilet est \:D/ , si je devais reprendre un contracetif ca sera celui la bon bein voila c est tout :kiss: et bon week end a toutes
D
37 ans alsace 48
je prend la pillule depuis presque 4 ans c'est la trinordiol ou alors le générique c'est dailyG. le générique n'est pas cher du tout (environs 2 euros). c'est une plaquette de 21 jours avec 7 jours d'arret et c'est vrai qu"elle est efficace encore durant les 7 jours d'arret.
E
42 ans ICI 1394
il y a des sujets qui merite vraiment de sortir de leur petite cachette. j'allais lancer exactement la meme question quand apres une recherche je l'es deniche.
Justement je viens de passer de la pillule au sterilet apres mettre pas mal interroger sur l'implant. qui a fait de veritable progres ces dernieres années.

La plupart et c'est normal des sujets recent concerne la pilule premier moyen de contraception apres sur vlr c'est un peu plus vide. Donc pour toute celle qui envisagerez de changer de moyen de contraception pour x raison. il me semble que le sujet merite mieux que Le fond du tiroir.

Tout d'abord il existe 7 types de contraception
La pilule
Le préservatif masculin
Le préservatif féminin
Le stérilet
Les spermicides
L'implant contraceptif
La contraception d'urgence

Bien qu il faille considere le dernier comme un moyen ultime.

moyen 1 La pillule
ce qui est faux:
La pilule provoque le cancer. Elle fait grossir, fait perdre se cheveux, donne mal au coeur. Il existe la pilule pour les hommes.
ce qui est vrai :
La pilule est efficace à 99,5 %, si elle est prise régulièrement.
La pilule est délivrée en pharmacie sur prescription médicale. Il faut donc consulter
un médecin.
La pilule coûte de 3 à 25 € pour trois mois. Certaines pilules sont remboursées,
d'autres non. Elle est gratuite pour les mineures


moyen 2 le sterilet
ce qui est faux
Le partenaire peut sentir le stérilet au cours d'un rapport sexuel
On ne peut pas utiliser des tampons avec un stérilet.
ce qui est vrai
Le stérilet est efficace de 97 à 99 %.
Le stérilet est délivré en pharmacie, sur prescription médicale. Il faut donc consulter
un médecin.
Le stérilet le moins cher coûte environ 22€. Certains sont en partie remboursés à 65 %.

moyen 3 le spermicide
kezako : une sorte d'éponge.
L'action principale des spermicides est due aux substances chimiques qu'ils
contiennent. Celles-ci ont pour but de détruire les spermatozoïdes. L'éponge a
en plus pour fonction d'absorber le sperme ?L'efficacité
L'éponge contraceptive est efficace de 80 à 90 %, les autres spermicides de 70 à 80 %.
Les différents spermicides sont en vente libre dans les pharmacies, sans ordonnance.
Les spermicides coûtent entre 6 et 12 € la boîte de 6. Ils ne sont pas remboursés.

moyen 4 l'implant
Kezako L’implant contraceptif libère régulièrement une hormone qui bloque l'ovulation.
De plus, l'implant entraîne une modification de la glaire cervicale qui gêne l'avancée
des spermatozoïdes.
Il s'agit d'un bâtonnet cylindrique de 4 cm de long et 2 mm de diamètre.placé sous la peau, sur la face interne du bras, par un médecin. Cette intervention simple ne nécessite qu'une anesthésie locale et ne dure que quelques minutes. Une fois implanté, il est efficace trois ans.L'implant peut être retiré, par un médecin, dès que la femme le désire.L'implant contraceptif est efficace à 99 %.
attention L'implant n'est pas recommandé comme première contraception, sauf pour les femmes présentant une contre-indication ou une intolérance à la pilule et au stérilet.
L'implant est délivré en pharmacie, sur prescription médicale. Il faut donc consulter un médecin.
L'implant coûte environ 138 €. Il est remboursé à 65 %.

moyen 5 le preservatif femin
kezako :Le préservatif féminin tapisse la paroi vaginale. Il empêche le passage du sperme
vers l'utérus, et empêche ainsi la fécondation.
C'est une gaine en polyuréthane munie d'un anneau souple aux deux extrémités.vatif femininS'il est bien utilisé, le préservatif féminin est efficace à 95 %.
Le prix
Le préservatif féminin coûte environ 4,5 € les 3. Il n'est pas remboursé.

moyen 6La contraception d'urgence
Kezako c'est une méthode de rattrapage à utiliser après un rapport
sexuel sans contraception ou en cas d’échec de la méthode utilisée (oubli de la pilule,
rupture de préservatif, etc.). Son emploi doit rester exceptionnel. Elle ne remplace pas une contraception régulière.
La contraception d'urgence est efficace à environ 80 %. et pas a 100%
Il existe deux types de pilules :
- l’une est délivrée en pharmacie, sur ordonnance médicale, est remboursée par
la Sécurité sociale ;
- l’autre est délivrée en pharmacie, soit sans ordonnance et n'est alors pas
remboursée, soit sur ordonnance et est alors remboursée. Elle est gratuite en pharmacie pour les mineures.
La contraception d'urgence coûte entre 4,10 et 9,15 €.

enfin le best of declare palme d'or
le preservatif masculin
ce qui est faux Le préservatif masculin empêche pas le plaisir.
ce qui est vrai Il en existe de multiples.
À chacun de trouver le sien. Le mettre peut même devenir un jeu érotique.et S'il est bien utilisé, le préservatif masculin est efficace à 95 %.Les préservatifs masculins et féminin sont les seuls moyens de contraception qui
protègent aussi des Maladies Sexuellement Transmissibles (MST) et du Sida.
Ils peuvent s'utiliser seuls ou en complément d'un autre moyen de contraception :
pilule, stérilet, crème et gel spermicides, etc.

voila c'etait un peu long mais j'espere que cela pourra en aider le plus possible.

Petit detail le virus du sida ne prendra de vacance cette année. et l'ivg n'est pas un moyen de contraception.
Autre chose : la pilule ne se prend pas en continu. (a moins de vouloir avoir des sequelles irreparrable!)
63 ans Au bord de la mer 15536
ensorcelleuse a écrit:

Autre chose : la pilule ne se prend pas en continu. (a moins de vouloir avoir des sequelles irreparrable!)

Alors là, désolée, mais tu fais erreur.
On peut tout à fait enchaîner des plaquettes de pilule, sans aucun effet indésirable.
D'ailleurs il y a même des pilules qui se prennent en continue.
Je l'ai déjà dit sur ce forum, mais à l'origine, les inventeurs de la pilule contraceptive avaient d'ailleurs prévu qu'elle se prenne ainsi, en continu.
C'est parce qu'une majorité de femmes préférait avoir des "règles" (raison psychologique), que cet "arrêt" de 7 jours a été mis en place.
Ce ne sont d'ailleurs pas de vraies règles, mais des saignements déclenchés par la privation d'hormones.
E
42 ans ICI 1394
bien lu ton message et pourtant assez sceptique
la raison

Citation:
citation
Citation:

Il faut comprendre que la durée du cycle sous pilule contraceptive oestroprogestative a été « historiquement » et arbitrairement calée sur 28 jour pour que les femmes conservent un rythme de saignement identique au cycle naturel. On aurait très bien pu choisir une périodicité de 30 jours (1 mois), en rajoutant deux pilules avant la semaine d’arrêt, ou n’importe quelle autre durée.
En effet, le principe de ces pilules est de contrôler totalement l’axe hypotalamo-hypophyso-ovarien (action antigonadotrope) et de se substituer à la sécrétion hormonale endogène. Le cycle naturel n’est pas « déréglé » : il n’existe plus. L’action de la pilule oestroprogestative sur l’endomètre est due à l’action conjuguée de l’oestrogène qui induit une prolifération cellulaire et du progestatif qui limite cette dernière et induit une différenciation.
Cette action varie un peu selon le type de pilule (mono, bi, triphasique). Globalement elle maintient une certaine trophicité de la muqueuse. Le saignement 7 jours après la dernière pilule de la plaque est une hémorragie de privation hormonale. Le cycle naturel n’a pas le temps de se remettre en place que l’axe est à nouveau inhibé par la reprise de la première pilule de la nouvelle plaque. Notons que le fonctionnement des pilules microprogestatives est très différent.

L’administration en continu de la pilule oestroprogestative revient à allonger indéfiniment la durée arbitraire du cycle artificiel. L’effet contraceptif est totalement conservé. Il n’y a plus de saignement périodique. L’axe est maintenu au repos. Les effets secondaires à court moyen terme de ce type d’administration sont possiblement dépendants du dosage de la pilule et limités le plus souvent à d’éventuels petits saignements sporadiques (« spotting »).
La trophicité de la muqueuse peut se trouver modifiée sur la durée. Des cycles normaux sont récupérés à l’arrêt du traitement. Ce mode d’administration de la contraception oestroprogestative trouve son intérêt par exemple lorsque les saignements menstruels sont dangereux pour la patiente. Les indications sont cependant rares et le médecin prescripteur de la contraception est seul habilité à faire un tel choix. Il n’est pas souhaitable d’utiliser ainsi de son propre chef la pilule oestroprogestative car les effets à long terme de cette contraception très sûre ont été évalués selon les modalités classiques d’administration.

helas je pense que le debat risque de ne pas encore etre clos sur ce sujet. Si tu as raison j'en suis enchante car lire sur de plus en plus de forum. si vous voulez maigrir prennez votre pilule en discontinu ça a le ton de m'agacer.
Si tu veux je te met les liens :lol: ça y est je sais faire en mp :lol: car je vais pas en plus leur faire de la pub ! et franchement j avais peur pour les plus jeunes. mais si ça ne pose pas de probleme autant pour moi et tant mieux.
63 ans Au bord de la mer 15536
Et bien ? Rien dans ce passage que tu cites (il faudrait dire de quel site ça vient) ne fait allusion à des séquelles irréparables.
Et au contraire, il confirme tout à fait ce que je disais plus haut. ;)
E
42 ans ICI 1394
tu me reconnaitras j'espere une qualité
quand je doute je me renseigne
voila il me semble une veritable reponse medicale
Citation:
Il n'y a pas de « nécessité physiologique » pour qu'une personne sous anovulants ait ses règles, nous confirme Dre Sylvie Dodin2, professeure au Département d'obstétrique et gynécologie de l'Université Laval. « De toute façon, les menstruations provoquées à l'arrêt des pilules sont purement artificielles. Dans un cycle menstruel classique, les menstruations sont déclenchées pour décaper l'utérus quand la fécondation n'a pas eu lieu. Mais comme les anovulants empêchent l'ovulation et l'épaississement de l'utérus, le saignement qui survient lorsqu'on cesse la prise de pilules actives ne remplit plus cette fonction. » D'ailleurs, la norme établie au départ des 7 pilules inertes sur 21 actives n'avait pour rôle que de donner l'impression aux femmes que tout se déroulait « comme d'habitude ».
Il existe quand même trois arguments s'opposant à la suppression des menstruations.
Premièrement, le saignement menstruel donne de l'information sur le métabolisme. D'une part, l'absence de saignement (ce qu'on appelle l'aménorrhée) peut signaler un problème de santé sous-jacent plus grave, tels un trouble alimentaire ou une maladie endocrinienne. Les caractéristiques du flot sanguin (couleur, odeur, abondance) sont également révélatrices.
Deuxièmement, les règles ou leur absence demeurent le meilleur moyen pour une femme de savoir si elle est enceinte ou pas; sans elles, une grossesse peut rester non diagnostiquée pendant quelques mois. On s'inquiète particulièrement des dangers que cela représente pour les jeunes filles.
Troisièmement, certains médecins affirment que les menstruations constitueraient un « système de nettoyage », permettant notamment d'éliminer les excès de fer; par conséquent, leur suppression serait dommageable3.

http://www.passeportsa...erspectives_dumoulin_l_2004_pm

L'autre question soulevée par la pilule en continu concerne la quantité additionnelle d'hormones ingérées : « Est-ce dangereux pour la santé? ». On sait que de nombreuses hypothèses scientifiques voient dans la consommation excessive d'hormones une des causes de l'accroissement des maladies contemporaines, dont les maladies auto-immunes et certains cancers. Or, prendre des anovulants en continu représente une consommation additionnelle pouvant aller jusqu'à 30 %


le National Women's Health Network, un organisme américain indépendant, a émis un avis selon lequel il soutenait l'accessibilité aux pilules contraceptives à cycle étendu pour les femmes qui le désiraient7, tout en insistant sur la nécessité de prendre une décision réfléchie. Les rédactrices de l'avis prennent la peine de préciser : « La discussion entourant la décision de prendre des anovulants en continu ne doit exagérer ni la nécessité médicale de cette option, ni ses bénéfices, quels qu'ils soient. Il ne faut surtout pas laisser croire qu'une réduction des menstruations est bénéfique pour la santé, parce que la recherche ne soutient rien de tel. Et il ne faut pas, non plus, transmettre aux jeunes filles une perception négative des menstruations et du cycle féminin. »Citation:

donc effectivement quand j'ai dit des problemes dramatiques j'avais clairement tort je le reconnais.
et dire ca ne pose aucun probleme ne me semble pas non plus la reponse la plus attribué. en fait c'est enormement plus nuancée.
63 ans Au bord de la mer 15536
Citation:
Il existe quand même trois arguments s'opposant à la suppression des menstruations.
Premièrement, le saignement menstruel donne de l'information sur le métabolisme. D'une part, l'absence de saignement (ce qu'on appelle l'aménorrhée) peut signaler un problème de santé sous-jacent plus grave, tels un trouble alimentaire ou une maladie endocrinienne. Les caractéristiques du flot sanguin (couleur, odeur, abondance) sont également révélatrices.
Deuxièmement, les règles ou leur absence demeurent le meilleur moyen pour une femme de savoir si elle est enceinte ou pas; sans elles, une grossesse peut rester non diagnostiquée pendant quelques mois. On s'inquiète particulièrement des dangers que cela représente pour les jeunes filles.
Troisièmement, certains médecins affirment que les menstruations constitueraient un « système de nettoyage », permettant notamment d'éliminer les excès de fer; par conséquent, leur suppression serait dommageable

Là je suis bien d'accord.
Notons que le dernier point est quand même sujet à discussion.

Citation:
L'autre question soulevée par la pilule en continu concerne la quantité additionnelle d'hormones ingérées : « Est-ce dangereux pour la santé? ». On sait que de nombreuses hypothèses scientifiques voient dans la consommation excessive d'hormones une des causes de l'accroissement des maladies contemporaines, dont les maladies auto-immunes et certains cancers. Or, prendre des anovulants en continu représente une consommation additionnelle pouvant aller jusqu'à 30 %
Cet argument me parait quand même discutable, et il contient dans son énoncé justement ce que je voulais lui opposer : c'est toute prise d'hormone qui est susceptible d'avoir des effets négatifs. Au lieu de me battre contre une prise supplémentaire, je chercherai plutôt à pouvoir supprimer totalement la prise d'hormone, si je pensais que ça posait un problème.
Je ne sais pas si c'est très clair :roll:

Mais pour en revenir au sujet de la pilule en continu :
- enchaîner ponctuellement 2 plaquettes de pilule prévues pour être prise avec un arrêt de 7 jours ne pose pas de problème en soi.
- il y a des pilules prévues pour être prises en continu, le but n'étant pas au départ de supprimer les règles, mais il s'agit d'un dosage et d'une composition particuliers.
A
38 ans Caen 6651
oui les mots étaient ptet un peu fort "séquelles irréparables"

mais perso je tenterai pas de prendre ma pilule tout le temps en continu en fait je l'ai fait une seule fois et ça m'a stressé de savoir si c'était pas trop dangereux, etc. et voilà c'est pas trop mon truc de stresser

et mon second argument pour pas prendre la pilule en continu... et bien ça coûte de l'argent tout ça donc pas la peine d'en dépenser plus si une pause de 7 jours fait l'affaire

bon vous aurez compris que je prends la pilule lol et que dans mon couple nous n'avons pas (jusqu'à preuve du contraire faite tous les 2 ans) de MST donc pas de préservatif et je suis jamais tombée enceinte donc 100% efficace pour l'instant chez moi hihi

merci pour les explications concernant les autres moyens de contraceptions, j'ai rien appris mais ça réactualise mes connaissances donc merci
60 ans 63 609
Il y a aussi un moyen de contraception définitif,la ligature des trompes. C'est ce que j'ai demandé et celà a été fait. Mais c'est réservé aux femmes ayant plus de 40 ans je crois.

Pour les hommes, il existe aussi la stérilisation définitive dont j'ignore le nom scientifique médicale.

Quand à la pilule inoffensive, elle a été suspectée et l'est encore parfois, sans preuve certaine, dans les cancers du sein ou autre.

Je pense que prendre des hormones n'est pas anodin.
Il en était prescrit pour les femmes ménopausées mais les études ont prouvé leurs implications dans les cancers du sein et les maladies cardio-vasculaires et donc elles sont maintenant rarement prescrites.

Ceci est un autre débat, hors sujet.

Mais bon, quant à choisir, gardons la pilule.
B I U


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