Bah je le comprends très bien ton homme...
Je suis comme Minimog, j'ai annoncé la couleur: pour moi le mariage c'est niet de chez niet.
Le concept du mariage et de sa cérémonie même dans sa version la plus simpliste me révulse depuis aussi loin que je me souvienne.
Encore que les nouvelles lois y ont apporté des amélioration (abolition du sacro saint patronyme, les époux sont libres de choisir le nom qu'ils vont porter ainsi que leurs enfants) mais rien n'y fera.
Je suis plus attirée vers le pacs quoique je ne sache pas en détails comment ça se passe.
Vois-tu, peut-être que ton homme sans te le dire franchement par délicatesse (ou par trouille ...enfin pour pas te démolir carément tes rêves quoi) déteste l'idée du mariage.
S'il voit que ton idée du mariage passe par une cérémonie avec la rorobe à franfreluches, les invités en pagaille, les bonnes femmes avec leurs chapeaux ridicules, la déco cucul et peut-être le passage à l'église (je ne dis pas que c'est ce que toit tu veux, mais peut-être sont-ce des clichés de mariage qu'il a en tête), peut-être qu'il déteste tout cela et que forcément l'idée de se marier le révulse. (en tout cas, voilà le point de vue de quelqu'un qui déteste le mariage, moi, et qui peut t'aider à avoir des bouts d'explications).
Pourtant, je suis pour l'idée du couple fidèle et qui s'aime jusqu'au bout (quand ça marche et que c'est la bonne personne) mais je ne vois pas l'utilité de rendre cet engagement public par un mariage. C'est un engagement qui ne regarde que les deux amoureux pour moi. Et peut-être que ton homme t'aime très fort et pense la même chose, il ne voit pas pourquoi il devrait signer des papelards devant une assemblée pour te prouver son engagement.
Puis tu te rends compte ce que ça coûte un mariage???
Flûte alors, quel beau voyage vous pouriez avoir pour le même prix (par exemple).
Allez, ne déprime pas, j'espère que vous trouverez une solution qui vous conviennent à tous les deux (avec les concessions que cela entends...mais se sentir privé de mariage est aussi grave qu'être forcé à en avoir un).