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les mécanismes de reprise de poids post op

43 ans BanLieuSarde 1213
Très bien, donc la communication n'a pas besoin d'être.. Tu as surement raison !

J'ai du mettre l'implant, comme beaucoup de bypass, mais je l'ai retiré (contre avis medical) 3mois après  
bypass, donc je prends une pilule en cachet depuis 7 ans et demi avec un bypass et je ne suis JAMAIS tombée enceinte.
H
37 ans 120
risperdalconsta a écrit:


Quand a mourir à 24ans de complications, desolée mais je n'y crois toujours pas. Ca peut s'envenimer avec l'age mais a 24ans c'est loin d'être foutu. L'avc à 24ans, a moins de fumer comme un pompier, avec la pilule et du cholestérol a boucher une autoroute, je n'y crois pas... Pi si on croit tout ce que disent les pontes, il faut peser 36 kilos pour 1m80. J'ai des exemples de medecins qui m'ont prédit la mort pour mon accouchement et rien de tout cela ne s'est réalisé,alors faut arrêter de les prendre pour dieu.


Oui c'est sur que concernant les médicaments c 'est très préoccupant. Mourrir à 24 ans si j'y crois et même si tu n en meurt pas, bah vivre avec un diabète n est pas une mince affaire. Mon gd père paternel est mort d'un crise cardiaque à 43ans, ma grand mère maternelle est en insuffisance cardiaque depuis une dizaine d année, j ai un pouls élevé et de la tension, mes dernières analyses de sg montre que ma glycémie a bien augmentée, je n ai pas eu besoin que mon médecin me le dise. Si je la compare à des analyses d il y a 1 ou 2ans et +, alors je sais pas si dans mon cas on peut parler de prédiction ou plus de prévention....

D autre part, pour vivre comme je vis maintenant, même avec 10 kg ou 20 en moins ce n est pas ce que j appelle "vivre"
Mais effectivement je visualise parfaitement de quoi parle Papille quant au "médecin anxiogène" qui "secoue son patient", je crois que tous et toutes on a eut affaire à ce genre de médecin, moi il y a peu malheureusement :) Mais un autre médecin compétent à réussi à me faire prendre conscience de mon état préoccupant, donc je me fie pas à un seul son de cloche, mais je ne suis pas parano envers les médecin non plus.
Je me souviens également d'un ancien médecin qui me terrorisait petite, je priais pour ne pas monter sur la balance, et systématiquement bien sur, j avais le droit au sermon, et je me rends compte qu à l époque je n était que ronde. Je pense qu auj on se croiserait, je serais bonne à jeter au feu. :lol:
La manière de s y prendre n'est pas appropriée, on est tous d accord, mais quand on te dit que tu es en obésité MORBIDE, le choc est dans les mots eux mêmes, qlq soit la bouche qui les prononce.

Reste qu'il y a une prise de conscience nécessaire, salutaire, de son état de santé, mais pas une culpabilisation du patient en lui disant, je caricature "toi mon gros tu vas crever, fais toi charcuter" mais personne ne mange à notre place, personne ne pourra régler nos TCA à notre place non plus, ni même pdre rdv chez le psy...
Le début de la guérison c est peut-être justement ne plus subir son obésité, mais acter de la réalité, et se décider à faire qlq chose, pas forcément un acte chir, s'accepter mais ne plus rester sédentaire, se faire aider, consulter, fouiller son inconscient avec le psy, je sais pas, je n ai pas la vérite absolue et il y a également des décisions autour de cela à prendre dans sa vie perso (déménager, changer de mec, se marier, faire un enfant, changer de job, prendre un chien, se réconcilier avec des proches ou au contraire les virer de sa vie, j en sais rien....)

Pour ce qui est de la grossesse en surpoids, je n en dirais pas plus, le sujet mérite un post à lui tout seul, je sais que beaucoup de mamans en ont bavés..........C est horrible d enfanter avec de telles prédictions ...

Papille je n ai rien compris de ton dernier paragraphe lol, je me rappelle d une discussion effectivement sur le que faire si la chirurgie ne marche pas.
J ai l impression effectivement que dans ton cas tu as eu l intelligence de ne pas passez par la chir, qlq chose que tu considère comme invasif, mais te correspond totalement je crois, mais au moins tu auras fait un bilan de santé qui est lui, objectif.
109 ans 774
je ne quote pas parce que je ne sais pas sur quoi quoter, mais je viens de repenser à une chose que j'ai omise, et je n'y pensais pas en écrivant hier

je suis en grand surpoids depuis... pfiouf, mes 10 ans, et ça s'est installé lentement mais sûrement. Autrement dit, mon corps a grandi en tenant compte de ce surpoids. Sans avoir jamais eu de réponse à ce sujet, je me suis toujours dit que de ce fait, mon organisme avait cette habitude, mon coeur a sans doute appris à pomper différemment, mon absorption des sucres forcément aussi (même si je suis dans un taux plus haut que la moyenne, je n'ai aucun souci avec le sucre, et pourtant j'ai pris tous ces kilos essentiellement avec les produits sucrés) mes os sont sans doute plus costauds aussi... du coup, les soucis de santé sont assez éloignés de moi. Mes articulations sont sympas même si j'ai du mal avec mes genoux depuis l'été dernier (une grosse chute à vélo, donc ce n'est même pas mon corps qui a décidé de lui-même de dire stop, c'est un accident)


une nana ayant terminé ou quasi sa croissance et ayant toujours eu un poids tout à fait normal qui prend plusieurs dizaines de kilos en peu de temps, je l'imagine avoir bien plus de soucis de santé que moi, son organisme n'étant pas habitué à vivre avec un tel surpoids assez soudain. Et là je peux parfaitement imaginer un coeur qui s'emballe à mort, des os qui n'en peuvent plus...



maintenant, ce n'est qu'une hypothèse, mais ça ne me semble pas stupide et pas du tout inconcevable. En allant plus loin, je suis même persuadée que j'aurais un risque beaucoup plus grand à me faire opérer avec mon surpoids qui a quasi toujours été là (mes variations de poids sont proportionnellement faibles par rapport à ce que je pèse, pas de quoi voir une différence énorme sur ma condition physique ou autre), mon organisme n'ayant jamais eu à subir de choc lié à une grosse variation de poids.





et en revenant sur mes propos, je pense que chaque cas étant différent, ça me parait tellement sommaire d'avoir décidé qu'un patient devrait avoir exactement les mêmes examens du "panel minimum pour l'accord" qu'un autre patient alors qu'il y a des tonnes de paramètres à prendre en compte. Tous les obèses ne sont pas égaux face à la santé, pourtant j'ai l'impression que l'idée est prédominante dans la médecine.
H
37 ans 120
psychobunny a écrit:



une nana ayant terminé ou quasi sa croissance et ayant toujours eu un poids tout à fait normal qui prend plusieurs dizaines de kilos en peu de temps, je l'imagine avoir bien plus de soucis de santé que moi, son organisme n'étant pas habitué à vivre avec un tel surpoids assez soudain. Et là je peux parfaitement imaginer un coeur qui s'emballe à mort, des os qui n'en peuvent plus...

Cette nana c'est moi ](*,) avec un surpoids très jeune mais des périodes de pertes dès la primaire conséquente dus à des régimes, des reprises toutes aussi conséquentes....donc des variations importantes
je pense que ton hypothèse est tout à fait valable!

et en revenant sur mes propos, je pense que chaque cas étant différent, ça me parait tellement sommaire d'avoir décidé qu'un patient devrait avoir exactement les mêmes examens du "panel minimum pour l'accord" qu'un autre patient alors qu'il y a des tonnes de paramètres à prendre en compte. Tous les obèses ne sont pas égaux face à la santé, pourtant j'ai l'impression que l'idée est prédominante dans la médecine.


Le "panel minimum" sert à mon avis plus à prévenir les contentieux juridique possible post op qu autre chose. Mais le chir t orientent vers des spécialistes aussi en fonction de ton état de santé, donc il y a quand même une forme d'individualisation/personnalisation de la prise en charge
37 ans 1547
harper a écrit:

La manière de s y prendre n'est pas appropriée, on est tous d accord, mais quand on te dit que tu es en obésité MORBIDE, le choc est dans les mots eux mêmes, qlq soit la bouche qui les prononce.


C'est clair. Je trouve aussi "violent" les mots utilisés pour décrire le corps, comme "tablier ventral" par exemple. Mais en fait, ils font partie d'un contexte et d'une discipline, c'est une terminologie médicale.
Ce qui m'a questionné passé un temps, ça a été aussi: qu'est-ce qui est obèse ? Moi tout entière, tous les pans de ma personnalité ? Mon corps ? Est-ce que c'est devenu mon identité: "bonjour je m'appelle Papille et je suis obèse" ou est-ce que c'est une caractéristique de mon état organique: "bonjour je m'appelle Papille, je suis une jeune femme et je présente pour les médecins ce qu'on appelle une obésité morbide", est-ce que c'est une image sociale à laquelle je m'identifie, etc ?

harper a écrit:

Papille je n ai rien compris de ton dernier paragraphe lol, je me rappelle d une discussion effectivement sur le que faire si la chirurgie ne marche pas.
J ai l impression effectivement que dans ton cas tu as eu l intelligence de ne pas passez par la chir, qlq chose que tu considère comme invasif, mais te correspond totalement je crois, mais au moins tu auras fait un bilan de santé qui est lui, objectif.


Je disais juste, en gros, que je n'avais pas vu l'intégralité de ta réponse à ce que j'avais écrit.

J'avoue que ça me dérange de parler d'intelligence pour qualifier ma démarche.
Ça n'avait rien d'intelligent pour moi. Je n'ai juste pas pu faire autrement. Ce n'était presque pas un choix. Ça le devient plus aujourd'hui parce que je vais mieux. Mais à l'époque, j'étais incapable de vivre et de prendre soin de moi sans aide, et j'étais en grande difficulté pour m'en remettre à la chirurgie (je m'en voulais d'ailleurs, d'être réticente à une opération, je culpabilisais autant que de ne plus arriver à me mettre au régime hypocalorique, les deux étant pour moi, à l'époque, les seules solutions à mon problème de poids).

Ça n'a vraiment rien de valorisant de se sentir dans une telle détresse et incapacité à "agir" pour s'en sortir comme tu le dis.

Maintenant oui, je ressens que ce qui s'est présenté à moi et que j'ai utilisé me correspond, mais je ne sais ni jusqu'à quel point, ni jusqu'à quand.

Comme pour la chirurgie, le psy ou la RA n'a rien d'une solution miracle. Au contraire. Simplement, tout ça peut faire partie d'un maillage soutenant.
H
37 ans 120
papille a écrit:
harper a écrit:


Ce qui m'a questionné passé un temps, ça a été aussi: qu'est-ce qui est obèse ? Moi tout entière, tous les pans de ma personnalité ? Mon corps ? Est-ce que c'est devenu mon identité: "bonjour je m'appelle Papille et je suis obèse" ou est-ce que c'est une caractéristique de mon état organique: "bonjour je m'appelle Papille, je suis une jeune femme et je présente pour les médecins ce qu'on appelle une obésité morbide", est-ce que c'est une image sociale à laquelle je m'identifie, etc ?

De toute évidence, ton obésité n est pas ton identité : on ressent une certaine estime pour toi, tu donnes à voir à travers tes paroles que tu n est pas seulement ton obésité mais bien plus!

harper a écrit:


J'avoue que ça me dérange de parler d'intelligence pour qualifier ma démarche.
Ça n'avait rien d'intelligent pour moi. Je n'ai juste pas pu faire autrement. Ce n'était presque pas un choix.
j'étais incapable de vivre et de prendre soin de moi sans aide, et j'étais en grande difficulté pour m'en remettre à la chirurgie (je m'en voulais d'ailleurs, d'être réticente à une opération, je culpabilisais autant que de ne plus arriver à me mettre au régime hypocalorique, les deux étant pour moi, à l'époque, les seules solutions à mon problème de poids).

Si si, mois j appelle ça de l intelligence de savoir dire non, alors que ton entourage te pousse dans le sens contraire. Sa demande une certaine force de caractère quand déjà tu es déjà au bout du roulot de trouver le ressort pour se dire "ça n est pas pour moi, ça ne me convient pas, je me connais, j ai un problème, mais je ne peux pas me laisser guider ma conduite"

Ça n'a vraiment rien de valorisant de se sentir dans une telle détresse et incapacité à "agir" pour s'en sortir comme tu le dis.
Là où tu vois une incapacité à agir moi je vois une forme de résistance inconsciente...Justement quand on est dans une détresse profonde par rapport à son poids, on est capable de tout, passer sur le billard, prendre n importe quelle pillule miracle,

Comme pour la chirurgie, le psy ou la RA n'a rien d'une solution miracle. Au contraire. Simplement, tout ça peut faire partie d'un maillage soutenant.


Oui c est cela le plus dur à accepter, de renoncer à cette solution miracle...C'est dark mais c est comme ça,
43 ans BanLieuSarde 1213
papille a écrit:

C'est clair. Je trouve aussi "violent" les mots utilisés pour décrire le corps, comme "tablier ventral" par exemple. Mais en fait, ils font partie d'un contexte et d'une discipline, c'est une terminologie médicale.


Justement en parlant de violence dans les mots utilisés..
J'ai du voir un chir bariatrique en clinique, mandaté par la secu pour une abdominoplastie..
La violence des mots.. Je n'ai pas de tablier ventral. Mais tout autant à retirer, juste placé differement.
Le chir m'observe, me touche, et dis :

"mmm il n'y a pas que de la peau là ! & la graisse.. & les vergetures !! Vous auriez maigris un peu j'aurai dis oui direct.. mais vu que votre bypass est un échec.. Si vous êtes grosse c'est de votre faute... Rangez vos larmes, le psychologique n'entre pas dans les cases d'acceptation d'une chirurgie réparatrice.."

Le mot tablier ventral me semble très mignon moi ! :lol:
50 ans à la maison ! 10072
Harper, je t'ai signalé à la mosédration et je m'en explique : harper a écrit:

Beaucoup de maladies sont repérables avant que cela ne dégénèrnt oui, mais l obésité ne se soigne pas rapidement, donc faut il attendre vraiment d être malade, même si tu es en bonne santé?
Non, mieux vaut prévenir que guérir, et si tu as échoués sans chir ...Que faire?


Venir sur un forum prônant l'acceptation de soi pour y parler de l'obésité comme étant une maladie, j'ai du mal à l'avaler.
65 ans ile de france 7912
trashrap a écrit:
Harper, je t'ai signalé à la mosédration et je m'en explique : harper a écrit:

Beaucoup de maladies sont repérables avant que cela ne dégénèrnt oui, mais l obésité ne se soigne pas rapidement, donc faut il attendre vraiment d être malade, même si tu es en bonne santé?
Non, mieux vaut prévenir que guérir, et si tu as échoués sans chir ...Que faire?


Venir sur un forum prônant l'acceptation de soi pour y parler de l'obésité comme étant une maladie, j'ai du mal à l'avaler.


je ne comprends pas ton raisonnement , l obésité est bien considérée comme une maladie où est le problème ?

On peut avoir une maladie et l'accepter ou pas

si je te comprends , il ne faut pas remédier à cette maladie ?
43 ans BanLieuSarde 1213
trashrap a écrit:
Venir sur un forum prônant l'acceptation de soi pour y parler de l'obésité comme étant une maladie, j'ai du mal à l'avaler.


L'obésité EST aussi une maladie..
Et face à cette maladie certaines personnes essaient de s'accepter tout de même..

Là je ne comprend pas ta réaction.. et de signaler à la modération.. encore moins.
49 ans Paris 9874
Si vous êtes obèses en n'ayant aucune maladie associée, une prise de sang impeccable, aucune douleur articulaire, des déplacements normaux (selon entraînement bien sûr), etc.... vous considérez que vous êtes "malade" quand même? du seul fait de l'IMC?

Sérieusement?
52 ans Lorraine 4326
Je suis obese ET je ne suis pas malade !

Je n'ai aucun trouble , je ne prends pas de medoc', je n'ai aucun disfonctionnement physique . Donc non, je ne suis pas malade .


pour reflechir , un morceau du memoire donc je parle 2-3 posts plus bas




Alors qu’est-ce que l’obésité ? Est-ce vraiment une maladie ? La notion de maladie est définie dans le dictionnaire Larousse comme une « altération de la santé ». Mais cette définition pourtant consensuelle n’est pas satisfaisante, car elle ne définit la maladie qu’en opposition à la santé. Or on connaît la définition de la santé donnée par la constitution de l’OMS, pour qui la santé est « un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité15 ». Ces définitions se renvoient l’une à l’autre, sans pour autant décrire ce que sont vraiment ces deux réalités. La notion de santé est définie positivement de manière assez floue, mais surtout négativement (elle n’est pas seulement l’absence de maladie). La clinique rencontrée nous présente l’obésité comme une sorte de maladie chronique (cf. M.M. qui a toujours été obèse) ou bien comme une construction réactionnelle (cf. Mme C. par exemple). Pourtant, il n’est pas apparu lors des entretiens, que les personnes perçoivent leur obésité comme une maladie, mais ils la


voient plutôt comme une partie d’eux-mêmes, signifiante à un moment donné d’un conflit psychique.
Au vu de ces éléments, l’obésité ne semble pas pouvoir être classée comme une maladie, mais plutôt comme une manifestation d’un fonctionnement psychique particulier, et l’on pourrait donc l’appeler trouble. Ce terme peut être compris comme une « perturbation dans l’accomplissement d’une fonction physique ou psychique, pouvant se manifester au niveau d’un appareil, d’un organe, d’un tissu ».

On peut donc retenir le terme de trouble, ou même de symptôme, au sens psychique, pour parler de l’obésité.
La médicalisation de la notion d’obésité pose aussi un léger problème. Car si l’obésité est une maladie, tout le monde peut en être victime, et « attraper l’obésité » comme on attraperait un rhume. Or on a pu remarquer des variables communes dans le chemin menant à l’obésité, et il semble bien que l’histoire du sujet soit très liée à l’apparition de l’obésité.
Si la maladie se définit par ses symptômes, on voit mal comment l’obésité, qui n’a qu’une manifestation directe (l’excès pondéral) pourrait en être une. Pourtant, certains facteurs héréditaires sont parfois responsables de son apparition. L’obésité peut aussi être le symptôme d’une maladie, dans le cas du syndrome de Prader-Willi par exemple. Il semble donc difficile de circonscrire l’obésité à un cadre conceptuel restreint, même si l’obésité semble appartenir davantage au symptôme qu’à la maladie (Grangeard, 2007).
Mais l’obésité se confond elle alors avec le psychosomatique en tant que fonctionnement ? Lorsque l’on pense au concept de pensée opératoire de Pierre Marty, on doit reconnaître que tous les patients obèses ne fonctionnent pas avec ce type de pensée. Il y en a certes, mais ce n’est certainement pas le cas de la majorité des patients. Il faut donc distinguer l’obésité comme un trouble à part entière, qui ne peut être totalement appréhendée par la notion de psychosomatique.
50 ans à la maison ! 10072
poupoule a écrit:
Si vous êtes obèses en n'ayant aucune maladie associée, une prise de sang impeccable, aucune douleur articulaire, des déplacements normaux (selon entraînement bien sûr), etc.... vous considérez que vous êtes "malade" quand même? du seul fait de l'IMC?

Sérieusement?


+1000000

En clair, selon mon IMC, je suis obèse. Mes analyses sont parfaites, je suis en parfaite santé, je n'ai mal nul part, n'ai aucune difficulté à bouger, mais selon vous, je devrais me dire "malade", c'est ça ?
Franchement, lire ça sur ce forum m'effraie.
H
37 ans 120
trashrap a écrit:
Harper, je t'ai signalé à la mosédration et je m'en explique : harper a écrit:

Beaucoup de maladies sont repérables avant que cela ne dégénèrnt oui, mais l obésité ne se soigne pas rapidement, donc faut il attendre vraiment d être malade, même si tu es en bonne santé?
Non, mieux vaut prévenir que guérir, et si tu as échoués sans chir ...Que faire?


Venir sur un forum prônant l'acceptation de soi pour y parler de l'obésité comme étant une maladie, j'ai du mal à l'avaler.
. Ah tu m as signalé très bien, celle ci je ne l avais pas vu venir mdrrrrr.Je me suis mal exprimée mea culpa voici le Sous entendu que je faisais : l obésité morbide ne se soigne pas en deux temps trois mouvement, faut il attendre de déclarer une autre pathologie de type diabète (je pensais à moi essentiellement en disant cela) ....par ailleurs désolée de te contredire, ça n est pas parce qu on considère l obésité morbide comme une pathologie (comme beauoup de médecins soi dit en passant d ailleurs) qu on est contre l'acceptation de soi, et qu on verse dans le racisme anti gros..on peut chercher les soins et apprendre en même temps à s aimer en étant obèse...il ne faut pas me ffaire dire ce que je n ai pas dit. Et en plus je suis loin d être une aficionados du bistouris et loin d en faire l apologie.
H
37 ans 120
Et en plus je ne pense pas que tous les obèses sont malades....
B I U


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