ils aiment les rondes... Mouai...septique...

Ca n'engage que moi et d'autres aussi vu que je ne suis pas le seul à accorder une place de choix au physique. ;)

Dans la mesure où c'est toi qui a exprimé ton opinion dans l'immédiat, ça n'engage bien que toi. Après, je ne doute pas du fait que d'autres personnes pensent comme toi. Ce n'est juste pas une théorie universelle.

là je trouve que l'on rejoint le sujet "raz le bol d'être toujours l'ami" où la discution avait dévié sur ce qui fait qu'on accroche ou pas sur quelqu'un .

une personne peut ne pas être d'une beauté classique (ou d'un physique ...) mais avoir ce truc , le charme , le charisme qui font que l'on va se retourner sur elle .

cela n'est l'apanage ni des rondes ni des minces .
on peut avoir un corps de rêve et faire autant d'effet qu'un poisson sec .

j'avais une "copine" comme ça .

de longs cheveux blonds comme les blés , un corps à tomber par terre , pas très grande .
bref la poupée .

et moi ...

elle n'a jamais compris pourquoi j'attirai autant les autres (hommes ou femmes d'ailleurs ) .
ni pourquoi j'avais autant de compliments .
n'importe où et de la part des deux sexes .

elle n'a jamais compris que derrière sa belle façade , il n'y avait ... rien ou si peu ....

Prax a écrit:

Le problème c'est que, généralement, un homme ( ou une femme ) ne se présente pas comme un salaud. Il le cache ou le devient et c'est bien pour ça que la rupture prend du temps à arriver car on se dit " Mais il/elle n'était pas comme ça au début, qu'est-ce qui a changé, est-ce que c'est de ma faute ? Allez, c'est peut-être passager ... " Et voilà. Je ne suis pas sûre de la pertinence de ton exemple sur ce coup-là.

Prax a écrit:

Je ne vais nier qu'il me semble avoir constaté que ma façon de fonctionner était atypique ( ou du moins, en marge ) mais oui, la beauté intérieure peut prendre le pas sur l'extérieure. Il y a une différence entre " amour " et " désir ". Si toi tu as besoin de désirer avant de pouvoir aimer, certains ont besoin du contraire.
Donc je ne condamne en rien ta façon de voir les choses, elle est légitime, mais ne nie pas celles qui diffèrent.

C'est vrai et en même temps non pour la beauté ...

Même si c'est subjectif, il ne faut pas tout reporter sur la minceur, la beauté du visage compte énormément (je parle dans le cas d'une personne qui attire ou pas au premier regard).

Entre mes amies minces et rondes, celles qui avaient le plus de succès ont souvent été celles qui ont un joli visage (de façon objective, peu de personnes diront elle n'a pas un joli visage).

Je me souviens justement d'une personne au lycée qui se plaignait qu'une autre fille avait un petit copain à tomber en disant : Je ne comprends pas, elle est plus grosse que moi et il est avec elle !!

Euh... oui ok elle est beaucoup plus ronde mais bon l'autre avait des cheveux long à tomber et un visage vraiment agréable et cette fille, sincèrement, avait les dents de travers et pas jolie du tout, je la trouvais même un peu vilaine.

Bref pour moi au delà des rondeurs et aussi la confiance en soi, la beauté du visage compte quand on est dans la rue.
Ça ne veut pas dire qu'une fille qui ne se fait pas aborder n'est pas jolie, il y'a une multitude de raisons...

Sinon je pense comme Yuutsu, je déteste être appelé dans la rue ou dérangée, ce n'est pas un plaisir et je me sens souvent agressive dans ces moments. Un regard ok mais les ton numéro, t'es bien chargée, bref la drague de rue :?

Rondeetalors73 a écrit:

Je reviens sur les propos de base de ce post. Il est y est bien question de se retourner sur quelqu'un, de l'aspect purement physique de l'attraction entre 2 personnes.
En aucun cas la miss ne parle de personnes qu'elle côtoie et lui ont déjà fait la conversation histoire de voir ce qu'elle a dans le citron comme on dit... ;)
Elle parle vraiment de se faire draguer par des inconnus, pas par une personne plus ou moins connue d'elle mais donc de se faire draguer pour son physique.
Et me semble t il, elle met en avant le fait d'être ronde pour le physique des rondes et du point de vue d'un atout et s'interroge sur si cela peut être un atout... ou pas!
Elle ne parle pas de la beauté de son âme.

Après Yuutsu et Chantilly, il y a être draguée dans le sens de le mec veut te séduire et se montre donc sous son meilleur jour et le gars qui veut juste pécho comme on dit et qui la sort la drague bien grasse et la phrase bien connes/lourdes et n'hésite pas à complimenter ton postérieur ou tes seins. Là tu as envie de lui rappeler que ton corps est aussi muni de mains et que s'il continue il pourrait tout à fait s'en prendre une dans la face...
mais un gars qui veut séduire prend soin de ne pas être lourd et là tu pourras juste le recevoir comme un compliment. Et il acceptera tout à fait que tu ne sois pas intéressée.
Ce midi encore j'ai voulu profiter du beau temps pour rentrer via la nouvelle avenue de la gare et je me suis pris 3 phrases bien lourdes en quoi... 500m?! "hey t'as un Q comme je les aime" était la plus soft. Ça je connais très peu de personnes qui aiment! et je n'appelle pas ça de la drague mais juste tenter de choper pour se vider les vous m'aurez comprise.
Non un gars qui veut te draguer/ séduire comme je le disais te sourira, te diras bonjour et guettera un signe de ta part pour engager la conversation. Il ne poursuivra pas d'un "oué salope" si tu n'entres pas dans son jeu.,
Après si personne ne peut plus tenter de séduire dans le rue, ça va devenir triste quand même

pecsfamily a écrit:
Même avis, puisque pour moi l'attirance physique est dissociée de la beauté physique.

- beauté physique : subjective, en fonction des personnes.
- attirance physique : objective, mon ressenti personnel.

Une femme désignée comme belle ne m'attirera pas forcément, même si pour moi aussi elle est belle. Une autre, donc avec ce petit "truc" pourra me faire craquer. Mais même ce petit truc reste physique, il n'a rien à voir avec la "beauté intérieure". ;)

(pour ZouZou-X3Again)
Dans le sens conjugal, j'ai du mal à imaginer comment je pourrais aimer une femme que je ne désirerais pas, mais je ne nie pas l'existence du contraire. ;)

Prax, c'est un autre débat que de dire la place de l'attirance physique et donc sexuelle dans un couple ;)
est ce que je peux vivre en couple avec un/une amie? après tout pourquoi pas si certains sont heureux comme ça et y trouvent leur équilibre et arrivent à dissocier sexe et couple. Mais comme je l'ai dit il me semble que l'on dévie grandement du sujet de base et comme cela a été dit, ici ce n'est pas "marre d'être toujours l'ami" ;)

reinette81 a écrit:
C'est un peu lamentable mais le quasi printemps réveille les vilains matoux.
Et puis les abords d'une gare, dans le midi de surcroît, sont souvent peuplés d'une faune patibulaire!

Je remarque qu'il y a comme une scission entre celles qui désireraient avoir un peu d'attention des hommes (sans aller jusqu'à ce malheureux exemple du boulevard de la gare bien sûr) et les autres qui excluent formellement toute forme de drague dans l'espace public.

Je n'exclus pas forcément toute forme de drague. MAIS je n'aime pas que l'on m'envisage en me dévisageant. Donner envie au mec lambda qui passe, ce n'est vraiment pas mon kiff.

Poussée de sève ?...

Aussi inquiétante dans la rue qu'au jardin.

wildtendercat, justement avant les abords de la gare avaient une sale réputation, et je te parle même pas du secteur derrière la gare (où est mon établissement, tien!) et les drôles de choses qui pouvaient se passer sous les arches, mais ça c'était avant... du moins en théorie!
le secteur derrière la gare a été totalement rasé et reconstruit, donnant des immeubles flambants neufs avec hôtels européens, parking, place dégagée, nouvelle gare routière , bureaux coquets.... et le devant a aussi été complètement réaménagé en une large avenue bordée de ruisseaux artificiels et d'arbres, tout est dégagé sans recoin sobre et glauque désormais... donc je ne m'attendais plus à y trouver ce genre de mecs. Mais visiblement si le décor change, les acteurs restent les mêmes et je continuerais à emprunter la petite rue parallèle à la grande avenue de la gare.

C'est tout le souci du gouffre de la "politique de la ville".

Ce ne sont pas les bâtiments qui font les personnes, mais les personnes qui font les bâtiments.