messages douteux de la section "Rencontres", s'ils ne sont pas
forcément toujours agréables, corroborent pourtant à 200% cet état de fait.
D'accord, après chacun a ses goûts, et tous les hommes n'ont
pas les mêmes attirances, mais globalement les rondeurs sont
une exacerbation des courbes féminines, quelque chose de
profondément naturel et qui a d'ailleurs été célébré de tous
temps et dans toutes les civilisations, que ce soit au travers
des arts graphiques et plastiques ou au travers des modes.
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Les rondeurs d'une femme sont physiquement "logiques" dans la nature.
Des deux sexes c'est le corps qui est destiné à accueillir et à nourrir,
c'est le corps qui porte en lui l'intériorité du couple, à l'inverse
de celui de l'homme qui historiquement est le corps d'extériorisation,
de projection vers l'extérieur en tant que chasseur et protecteur.
Cela ne veut pas dire que le corps féminin est plus faible que celui
de l'homme bien sûr, mais que sa force réside plus dans une
logique de résistance plutôt que dans une logique de puissance.
Les rondeurs sont un symbole féminin au sens propre comme au figuré.
Le ventre rond et la poitrine généreuse sont évidemment les symboles
naturels de la fécondité, mais par extension l'esprit "rond" peut
aussi caractériser la portée englobante, complexe et polyvalente
de l'âme féminine et de son rapport au monde.
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Nous savons bien tous que ces caractéristiques à l'apparence éminemment
préhistoriques conservent pourtant des résonances incontrôlables nichées
depuis la nuit des temps au plus profond de nous-mêmes.
Dans notre quête de partenaire, les instincts naturels se tournent encore et
toujours malgré nous vers la recherche du reproducteur le plus vigoureux et
de la reproductrice la plus féconde. en clair le besoin de perpétuer l'espèce.
Évidemment -et heureusement !- la civilisation a depuis des millénaires
rendu ces prétentions naturelles de plus en plus sujettes à la concurrence
d'autres facteurs d'ordre psychologiques, culturels, sociétaux, etc.
Nous ne sommes plus consciemment dans cette recherche primaire !
Nous sommes devenus plus subtiles, plus sensibles, plus réfléchis...
Mais il n'empêche. Ce sujet par exemple, sous des apparences légères,
prouve que bon nombre de fondamentaux restent sensiblement les mêmes.
>>>
Que regardez-vous en premier chez un homme ?
Et que regardez-vous donc ? Bon, les fesses d'accord... :lol:
Mais au-delà de ce détail que l'on pourrait peut-être qualifier de "moderne",
on peut dégager immédiatement deux caractères particulièrement dominants.
1/ un aspect hygiénique, que l'on peut mettre en
résonance avec le symbole visible d'une bonne santé.
2/ un aspect protecteur et rassurant. Les épaules robustes,
la grandeur, la voix grave, les muscles, les mains larges...
Bref, en résumé tout ce qui faisait hier un chasseur fort et en pleine vitalité !
Il faut bien évidemment ajouter à cela, et pour une part très importante quand même (!),
le charme et la psychologie, qui sont les apports culturels que j'ai évoqués plus haut.
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Mais où veut donc en venir ce raisonnement ?
Et ben... que les rondes ont de l'avenir déjà ! :lol:
Tout porte à croire que ce sont les filles maigres qui
devraient logiquement être plus éloignées de la "norme".
Et c'est d'ailleurs plutôt le cas dans les faits.
Sans forcément aller jusqu'aux rondeurs, les filles qui
ont des formes, pulpeuses et bien en chair, sont et restent
le symbole majoritaire des préférences masculines, c'est clair.
Mais voilà, il se trouve que l'époque a greffé dans les esprits
occidentaux l'idée d'une mode où la maigreur est le facteur
de beauté. Jusqu'à l'extrême et parfois jusqu'à l'outrance.
Et puis surtout jusqu'au mensonge.
Car je le répète, rien ne vérifie cela dans les préférences
réelles majoritaires de la population, pas plus que dans la
réalité du corps humain depuis les fondements de l'espèce.
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Mais qu'en est-il des hommes dans tout ça ? :P
Hé ben justement, tout ça pour en arriver là...
Les ronds n'ont pas particulièrement de place là-dedans.
Un corps masculin "gros" n'enchante particulièrement personne
dans l'histoire. Et les femmes rondes pas plus que les autres
je crois ne ressentent une attirance palpable pour ce type de corps.
Ou alors dans une proportion négligeable, infiniment plus faible
que l'attirance inverse de beaucoup d'hommes pour les femmes rondes.
Quand tant d'hommes avouent sur ce forum et ailleurs leur préférence
réelle pour les rondeurs féminines, les femmes elles, fussent-elles rondes,
n'évoquent en aucun cas cela comme une préférence.
Relisez le topic dont j'ai laissé le lien si vous voulez...
Attention, on ne parle pas bien sûr de quelques kilos en trop,
ou des hommes à la carrure un peu "nounours" (lol) qui plaisent
pour le coup à beaucoup de femmes sans aucun doute.
Non, sur un site comme celui-ci j'évoque bien évidemment les degrés au-dessus.
Tout au plus puis-je envisager qu'une femme soit tolérante vis-à-vis
des rondeurs, ou qu'elle ait une réelle capacité à ne pas se soucier
du physique pour ses choix amoureux, mais qu'elle puisse être
spécifiquement attirée, qu'elle en fasse un critère réel de choix
comme tant d'hommes peuvent le faire, non. Ça n'existe pas.
Dans la quête ancestrale du partenaire que j'évoquais plus haut,
la rondeur d'un homme n'est absolument pas un critère naturel
vers lequel l'instinct va porter naturellement. C'est même l'inverse.
Les formes étant le symbole de la féminité, elles deviennent
donc logiquement chez un homme le symbole de l'anti-masculinité.
Alors que les femmes sont atteintes dans leur amour-propre pour leurs rondeurs,
les hommes eux sont atteints dans leur intégrité de genre, de "sexe social".
Une ronde peut être humiliée d'un seul regard.
Un gros peut être émasculé d'un seul regard.
Et un "homme rond" ça sonne mal, ça veut rien dire.
Un "gros" ça sonne bien mieux mais ça fait plus mal.
On peut pas tout avoir.
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Loin de moi l'idée qu'il puisse y avoir une échelle de la souffrance
où l'un et l'autre seraient mis en concurrence pour rafler un prix
dont ils se passeraient tous les deux, mais je voulais juste par
là vous faire peut-être comprendre du chemin qu'il reste à faire.
La souffrance d'un homme face à ça peut s'avérer... troublante.
D'une autre façon que celle d'un femme.
Une étrange sensation de n'appartenir à aucun genre.
Bref... de n'être rien en somme. Une anomalie.
Jusque sur ce site finalement.
"0% complexes" certes, mais avant tout "100% femmes".
Voilà...
Les conclusions de tout ce bordèle vous appartiennent.
Moi je vais essayer de dormir en attendant... :roll: :arrow:
50 ans
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